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vendredi 30 mai 2014

INSATIABLE...


Entre fantasmes, rêveries et réalités, je vous livre ce petit récit. Novice de ce monde il y à encore quelques mois, je découvre, les contrastes, les variabilités, les couleurs et les possibilités infinies de la fessée et de tout ce qui l'entoure. Je partage ainsi mes petits bonheurs, et les frasques de mon imagination, espérant que vous prendrez autant de plaisir à lire, que moi à écrire...  Sur la pointe des pieds, je vous laisse plonger dans ce flot de mots, qui nous émoustille tant...


*******



Ce matin là, elle était allongée sur le lit, se prélassant à côté de lui. Il pianotait sur son ordinateur, épluchant les nouvelles du jours. C'était son deuxième jour de vacances, et elle se morfondais dans une douce paresse. Dans son petit jean moulant, elle gigotait sur la couette en flanelle, sans trouver la position idéale pour rêvasser; elle avait envie qu'il s'occupe d'elle encore, et encore... Et pourtant c'est déjà ce qu'il avait fait la veille, une bonne partie de la nuit, et lorsqu'ils s'étaient levés de bon matin. Sa petite effrontée avait eu en effet tellement de bêtises à se faire pardonner, qu'il avait été nécessaire d'y revenir à  plusieurs fois.

 
 

" - Je m'ennuie, lança t'elle avec dédain.
- Tu n'a qu'à finir d'apprendre ton texte de théâtre.
- Oh non c'est chiant, j'y arrive pas.
- Lee veux tu parler correctement ! Occupes toi, tu es une grande fille pas un bébé.
- Oui mais moi je veux un câlin !"

Il leva la tête de son ordinateur pour la regarder.

- Encore !
- Oui...
- Mais je ne peux pas passer toute ma journée à te câliner...
- Moi je pourrais passer ma vie à être câlinée...
- Je finis ce que je suis entrain de faire, et ensuite je nous ferais à déjeuner... et je te ferais un câlin promis...

Dit-il en lui caressant la joue avec douceur. Puis pour son plus grand désarroi il replongea dans son activité informatique. Agacée, elle roula sur le côté, pour la peine, elle avait décidé de bouder. Mais cela ne le fit pas réagir pour autant, et il ignora ce nouveau caprice, sans le moindre regard. Les secondes semblaient pour elle être des minutes, les minutes des heures, les heures des jours, les jours des mois, les mois des années... Est ce sa faute si elle à le diable au corps de si bon matin ? Elle soufflait agacée, comme une gamine impatiente.

A cet instant, son petit chat noir à lui, vient miauler au pied du lit, encore, et encore... Sans lever les yeux de son ordinateur, le jeune homme attrapa l'animal d'un bras, et le lova au creux de ses bras, tout en lui gratouillant le cou.

 Elle tourna la tête en direction de ce malotru qui venait déranger sa concentration pour faire la mauvaise tête... Le matou la fixa d'un air goguenard, ronronnant de plus en plus fort sous les caresses de son maitre. Jalouse d'un chat ? Non... Bien sur que non... Elle ne s'abaisserai pas à cela... Et pourtant... Oh et puis M****, elle aussi elle veut un câlin ! Oui elle est jalouse !Et alors ? Sa pose un problème à quelqu'un ?! Elle aussi voudrait être un chat... Voilà tout... Elle aussi veut son câlin... Elle avait l'impression de vivre une terrible injustice... Mais faire un caprice pour cela, ce serait vraiment ridicule, et cela risquerais d'attirer la foudre de Monsieur sur son petit cul, déjà bien marqué, par les corrections de ces dernières 24h. Alors, la jeune fille, dans un éclair de lucidité, décida, d'opter pour une autre tactique...Telle une petite chatte, elle se redressa à 4 pattes sur le lit, et vint se frotter contre le bras du jeune homme du bout du nez, en lui faisant des petits yeux tout triste pour le faire fondre...


 
 


Il tourna lentement son visage vers elle. Lui caressa rapidement les cheveux, dans un petit sourire si doux, qu'elle sentit son cœur fondre. Et une fois de plus il retourna à sa lecture. Elle eu beau lui lécher les doigts, le mordiller, le pousser du bout du nez, à part de grands sourires et quelques caresses, il était décidemment absorbé par ce maudit ordinateur. Elle tenta de pousser le chat en lui soufflant dessus, mais celui si, étala encore plus son gros popotin dans les bras de son maitre, laissant la jeune fille dans l'impossibilité de se glisser dans les bras du jeune homme...

"-  Méchant chat ! Vilain ! souffla t-elle.
- Que dit tu ?
- Non rien je parle au chat.
- Tu parles au chat ?
- Oui il prend toute la place..."
Il la regarda mi amusé, mi étonné.
"- Ben quoi ? Moi aussi j'aimerai être un chat, c'est tout !
- Un chat ?
- Oui comme ça, je me ferais câliner par les êtres humains toute la journée.
- Je ne t'ai pas fait assez de câlin aujourd'hui ?"

Oh si, chaque fois qu'elle lui avait demandé, il lui en avait fait un, avec beaucoup de tendresse même, mais elle n'y pouvait rien, elle était insatiable. Un peu gênée elle répondit:
"- Si plein...
- Bon.
- Quoi bon ?! ajouta t'elle un peu effrontée.
- Non rien. Juste bon."

Et il reprit une fois de plus sa lecture. Le diable au corps, et impatiente, elle se mit à glisser sa main, dans la manche de son tee-shirt, en s'amusant à tirer dessus. Il lui ôta la main, doucement mais fermement en lui jetant un regard sévère. Quelques secondes après elle réitéra son action. Dans un soupir il leva à nouveau la tête.

"- Lee, tu cherches quoi la ? Une fessée ? Tu en a pas eu assez ?
- Non, c'est pas ça...
- C'est quoi alors ?
- Je sais pas. J'ai envie de t'embêter...J'ai envie que tu t'occupes encore de moi...
- Oui ben tu a assez fait de bêtises comme ça ! Tu m'a épuisé là, je suis fatigué..."

Elle voulais bien le croire de bon cœur, et savait qu'elle était dans l'abus. Mais c'était plus fort qu'elle, ce besoin, d'être recadrée, dorlotée, de se sentir aimée. Elle laissa quelques secondes s'écouler, et après une longue hésitation, sachant pertinemment qu'elle jouait avec le feu, elle lança:
"- Ben en même temps si tu faisait pas la java toute la nuit !"
Un silence se fit... Il prit délicatement le temps de refermer l'ordinateur qu'il posa à côté de lui. Il la regarda sévèrement, ce qui la fit frissonner de plaisir et de honte, et l'emplie d'une nuée de papillons.

"- Tu te fiches de moi là ?
- Ben quoi ? Si tu es fatigué faut mieux dormir la nuit c'est tout...
- Ah oui Lee, reprit-il fâché en fronçant les sourcils très agacé, et rappelle moi pourquoi je n'ai pas pu dormir cette nuit, rappelle moi combien de fois tu m'a réveillé cette nuit ?!
- Je ne t'ai même pas réveillé, c'est toi qui à le sommeil léger, pouffa t'elle.
- Lee, j'en ai marre de ton insolence, si c'est une raclée que tu cherches crois moi, tu vas la trouver ! Parce que celle qui s'est comportée comme une chipie toute la nuit, c'est toi. Encore la première fois, quand tu as voulu que je te fasse l'amour, j'ai fermé les yeux, et je crois même avoir pris soigneusement le temps de répondre à ton envie. Mais ensuite tu m'a mené un cirque d'enfer !! Jusqu'à je ne sais quelle heure dans la nuit. Tu m'a chatouillé, tu as renversé la bouteille, t'es levé je ne sais combien de fois, et même la promesse d'une fessée magistrale ne t'a pas calmée. Il à fallut que je t'attaches...
- Ce n'est pas de ma  faute j'avais une insomnie !
- Et cela t'oblige à me réveiller ?! La fessée magistrale de ce matin pour ce comportement ne t'a pas suffit, il faut que je recommence ?
- Non ce n'est pas juste ! Non ...
- Alors arrête ton insolence tout de suite. Est ce que c'est clair ?
-...
- Lee ?

Elle baissa les yeux sentant que sa allait barder pour de vrai.
- Oui c'est clair...
- Bien...
-...
-...

Mais chasser le naturel, il revient au galop et elle ne put retenir une dernière insolence:
- N'empêche que ce que j'en dis moi c'est que tu n'as pas assez dormi et que tu es bougon !
Cette fois-ci, elle avait dépassé les bornes. Ni une, ni deux, il se leva du lit contrarié, il l'attrapa par le bras, et la mis debout, en lui assenant une claque sur la cuisse.
"- Tu va être puni Lee ! Très sévèrement crois mois; puisque tu ne comprends toujours pas. Mais je sais que ce que tu cherches là c'est une fessée, alors tu vas me faire des lignes..."

Etonnée par cette annonce, elle se laissa entrainée fermement par le bras jusque dans le séjour. Des lignes ? Était-il sérieux ? Jamais il ne lui en avait fait faire... Elle n'allait tout de même pas faire des lignes... Elle demanda mal à l'aise:

"- Tu ne vas pas me faire faire des lignes quand même ?
- Oh que si jeune fille, penchée sur le bureau, avec la règle s'abattant sur tes fesses.
- Oh non...
- Oh que si... ajouta t'il en allant chercher une feuille et un stylo.
- Non s'il te plait, c'était juste pour t'embêter... C'était pour rigoler...
- Non tu es insolente, et cherche la fessée comme une gamine, alors tu vas la recevoir comme tel ! Penche toi sur la table.

Inquiète elle se tourna vers lui.
- Non s'il te plaît pardon... Je ne vais tout de même pas faire des lignes... Je m'excuse...
Il prit son visage entre ses mains.
- Lee, je t'avais déjà dit que si tu continuais à être insolente je te ferais faire des lignes. Et bien tu as gagné, et en prime, tu les écrira en recevant une magistrale fessée... Sans parler du fait que je t'ai déjà dit que l'on ne s'excuse pas soi même !
- Je m'en fous je les ferais pas...
- Et bien je te fesserai jusqu'à ce que tu les ais faites... Et je me fiche du temps que cela prendra !"






Sur cette bonne résolution il la tourna dos à lui, la pencha sur la table, une main sur son dos. Lui descendit son jean et sa petite culotte noire, qu'elle ne réussit pas à retenir; il lui glissa un stylo dans la main, et lui assena un premier coup de règle. C'était la première fois qu'il lui donnait la règle. Une petite règle en plastique qui ne payait pas de mine, mais qui dès le premier coup imposait une certaine sévérité.

- Lee tu m'écriras 30 fois, je ne serais plus insolente avec Monsieur.
-...
- Lee ?
- ...
- Lee, je te parles ! Dit-il en lui assenant un coup de règle sur chaque fesse.
- Et moi je te boude !

Exaspéré, par cette chipie trois étoiles, il commença la correction à grandes volées. Encore et encore, tout en la maintenant fermement. Son cul déjà bien marqué, rosissait à vu d'œil. Cette fois-ci il ne plierai pas, dû-t-il la corrigée pendant une heure. Elle se mit rapidement à onduler du bassin, afin de modifier le point d'impact des coups. Mais rien à faire la règle continuait de s'abattre sans répits, lui mordant le derrière. Alors elle supplia...

"- Monsieur... pardon, j'ai compris...
- Ecris tes lignes Lee... Je ne cesserai cette punition que quand tu auras fini.
D'une petite voix plaintive, elle supplia, encore.
- Monsieur... pardon... aie... Aie pardon...
- Lee je ne céderai pas... écris ces lignes....

A contre- cœur, les fesses en feu, elle se mit à écrire, le cœur gros. Sans savoir pourquoi elle avait envie de pleurer, des larmes libératrices. Mais elle ne réussit pas à faire couler la moindre larme. Qu'il était dur de se concentrer. Le stylo ripait à chaque coup, et chaque ligne mettait un temps interminable à être rédigée. Plus le temps avançais, plus les coups pleuvaient, moins elle se concentrait et plus son trouble augmentait... Délicieux cercle vicieux.. Certes ses fesses étaient à présent un brasier... Mais son entrecuisse était trempé comme jamais... Sentit le mâle dans son dos contre ses fesses, lui soufflant à l'oreille : "Tu es punie pour ton insolence comme une gamine ! Ecris droit ou je te fait recommencer ! Dépêche toi Lee ! Tu n'a pas honte de recevoir la fessée comme ça"... Plus il la disputait plus son désir montait... Voyant que sa chipie avait enfin accepter son sort et malgré les difficultés qu'elle avait à faire sa punition, elle continuait sagement, le souffle saccadé qui traduisait le plaisir qu'elle y prenait... Qu'elle était belle le cul ainsi tendu, couchée sur la table, offerte... Alors sans crier gare, il ralentit la fessée... Et la prit là pendant sa punitions, là, sur la table, au beau milieu du salon...

 
 


Quand elle sentit son sexe se glisser en elle, son cœur s'emballa, et chavira. D'autant plus quand il lui chuchota à l'oreille: "Tu vois Lee, c'est comme cela qu'on punit les sales gamines... Et je vais continuer à te punir ainsi jusqu'à ce que tu ai fini d'écrire tes lignes". Il se mit alors à lui faire l'amour, avec fermeté... Elle soufflait de plaisir... impossible...de continuer sa punition, d'écrire le moindre mot... Il la chevauchait avec fougue... Elle s'accrocha à la table... Qui grinçait... Oh oui !Que c'était bon !.... Un orgasme vient poindre du bout des lèvres... Et ils jouirent main dans la main...Puis il se coucha sur son dos, en l'enlaçant de toute la tiédeur de son corps... épuisé... Béats de plaisir... Ils souriaient tous deux... Elle souffla un petit merci tout en l'embrassant...

Jamais elle n'avais ressentit une telle honte, ni reçu une telle fessée... Quel bonheur ! Elle lui promis dans un dernier baiser de ne plus être insolente... Mais au fond d'elle, elle savait qu'elle ne pourrait s'empêcher, de provoquer à nouveau une telle fessée...




Je voudrais être un chat, pour être câlinée à longueur de journée !




Insatiablement, Lee.

mercredi 28 mai 2014

Je Grelotte sous la Grêle des Grelots...

 

Grelotte-t'-en-rêve
 
 



J'aurai voulu le silence, fermer les yeux, sombrer en rêves.
A la place j'entend des cliquetis, éveillant mon insomnie.
Je me concentre sur ce bruit qui envahit mon esprit.
Je suis un grelot.
C'est la nuit, je doit être discrète et ne pas faire de bruits.
Seulement je suis tenue par l'envie, par cette bille au creux de moi.
Que j'aimerais faire rouler à l'infini dans l'inconnu contre mes parois.
Un grelot enflammé.
Le grelot tintinnabule, milles directions et saveurs possibles.
Pourtant le son sera doux, que si on sait le faire sonner.
Fruit interdit, c'est la nuit, je doit respecter le sommeil d'autrui.
Le grelot s'ennuie.
Je suis posée sur la table j'ai interdiction de bouger.
Seulement quand j'ai croisé votre brise j'ai été emportée.
Ce n'est pas de ma faute si je suis tombée, si j'ai chaviré.
Le grelot à sonné.
 
                                   *******

Si vous entendez ce grelot, ce n'est pas que vous êtes musicien,
A chaque grelot son oreille absolue.
A chaque grelot sa ficelle pour le tenir en laisse.
Je suis un grelot.




Lee, qui grelotte.

samedi 24 mai 2014

Je veux un pyjama !

 
Pyjamas !!!


En ce moment j'ai une obsession dont je n'arrive pas à me défaire, en effet j'ai très envie d'un pyjama ! Mais attention pas n'importe lequel, une jolie grenouillère, avec une petite poche à déboutonner pour révéler un joli popotin à fesser. Or, un grand sage disais (on s'en fous de qui s'était) "le meilleur moyen de résister à une tentation c'est d'y céder ..."


Par conséquent Monsieur,
sachez que dès à présent j'entame un gros caprice,
car ne pas posséder un tel pyjamas est un supplice,
je vais vous faire vivre un enfer,
à moins que vous me trouviez une de ses jolies grenouillères,
et comme je vous aurez pendant de longues semaines agacé, 
promis vous pourrez déboutonner la petite poche pour me fesser.
 
*****
 
 
Une âme généreuse, saurait elle ou je peux trouver un tel trésor ?


 
 










 
 
 
Lee qui veut et exige un pyjama !
 

dimanche 18 mai 2014

Recette pour lui montrer combien vous l'aimez...



De A à Z ...



Pour ceux qui sont comme moi des grands fans du blog d'Amandine (qui est juste, méga, giga extra, ultra, génial) ; vous avez du surement apercevoir le défi qu'elle s'est lancée: faire un post tout les jours sur notre sujet préféré, en utilisant chaque fois une lettre différente. Ne cherchant certainement pas à imiter ce qu'elle fait ni à lui faire de la concurrence, cela m'a toute fois inspiré ce petit post. Je me suis donc amusée à vous faire un petit écrit en utilisant également toute les lettres de A à Z. Une sorte de recette sur comment traiter sa petite soumise... Bonne lecture !



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Attrapez votre soumise par les cheveux et trainez la où bon vous semblera
Bâillonnez la en serrant bien fort, jusqu’à ce que la bave lui dégouline de la bouche
Caressez lui les cheveux comme une petite chienne au pied de son Maitre
Déshabillez la sans ménagement, déchirez et déchiquetez ses vêtements
Examinez tout son corps avec vos doigts dans chacun de ses orifices
Fouettez la, sur ses fesses nues jusqu’à ce qu’elle se soumette docilement
Giflez la au moindre signe de rébellion ou pour votre bon plaisir
Humectez son anus de votre salive et glissez-y le rosebud de votre choix
Insérez votre queue dans sa bouche sans oublier de lui remettre le bâillon après
Jouissez dans sa bouche jusqu’à ce qu’elle ait avalé chaque goutte de votre semence
Kidnappez son entre cuisses pour la pilonner à volonté sauvagement
Ligotez lui les mains dans le dos, ou glisser lui une laisse autour du cou
Marchez, évoluez dans la maison en la promenant derrière vous à 4 pattes
N’hésitez pas à l’objectaliser en vous en servant de table ou de tabouret
Osez lui faire lécher vos pieds au moindre signe de plaisir qu’elle prendrait
Pincez, tordez, léchez, pétrissez lui seins et tétons, car désormais ils vous appartiennent
Quittez-là un long moment, la laissant attachée seule dans le noir, comme oubliée
Raclez son corps à l’aide d’un gant de crin tout en lui faisant prendre son bain
Sodomisez la en levrette et effleurez son bouton d’or de votre doigt
Tout en fessant ses dunes déjà rougies avec une grande fermeté
Utiliser votre savoir faire pour l’amener aux rives de l’orgasme multiple
Veillez à ce qu’elle jouisse seulement sous votre injonction
Warranter sur le fait qu’elle jouira bruyamment sans retenu comme un animal
Xeres vous lui ferez boire de force dans un verre en cristal, afin d’enivrer la catin qu’elle est
Yeux dans les yeux, son menton dans le creux de vos mains vous l’embrasserez
Zébrez la à volonté, mais n’oubliez jamais de la choyer à la hauteur de combien vous l’aimez


Lee, au pied de la Lettre.

lundi 12 mai 2014

Sans culotte et sans rideaux...





Pourquoi ne peut elle s'empêcher de provoquer ?
De faire des bêtises, alors que le rideau n'est pas fermé ?

******

Oh oui elle l'a reçue sa fessée, tant méritée...
Il l'a même mise au coin, pour qu'elle réfléchisse à ses méfaits...
Et comme le rideau était ouvert, elle a penché la tête pour regarder par la fenêtre...




Lee qui aime regarder les paysages à la fenêtre,
surtout quand son cul est bien rouge,
mais qu'au dehors personne ne peux le voir.

vendredi 9 mai 2014

Songe d'une Lee d'été...




 La nuit était tombée. A travers les carreaux, son regard s’était posé sur la ville. Une douce nostalgie, lui réchauffait le cœur. La clope au bec, elle laissait échapper  des petites bouffées de fumée, et à chacune d’elle, elle prenait plaisir à imaginer la magnifique journée qu’elle aurait pu passer… Elle prenait plaisir à imaginer que...




Il l’avait prise en voiture, et à toute vitesse, avait traversé villes et collines, glissant de temps à autre une main sur sa cuisse.
Elle avait finie par repérer une jolie forêt bien cachée, de celle où l’on peut s’amuser, quelques petits regards langoureux avaient suffit à le convaincre.
Il l’avait alors fait descendre de la voiture et là aux yeux de tous, il avait lentement fait descendre sa petite culotte, pour la glisser dans sa poche.
Elle avait eu beau protester, rien n’y avait fait, elle marchait à présent à ses côtés dans les sentiers, s’enfonçant dans la forêt, les fesses à l’air.
Il la faisait marcher devant elle, pour avoir le plaisir, de glisser sa main sous sa jupe, voir même de lui relever, pour voir ses fesses se balancer à chaque pas.
Elle sentait sa présence dans son dos, sa main se glisser sur ses fesses, ses claques qui parfois la surprenaient, son souffle dans son cou.
Il avait trouvé l’endroit idéal, il l’a pris par surprise, ne lui laissa pas le temps de réfléchir, la plia sous son bras, et claqua vivement ses deux belles pommes.
Elle entendait sa fessée résonner dans toute la forêt, deux oisillons colorées l’épiant de leur branche, elle eu beau supplier, impossible de s’échapper, son cul s’enflammait.
Il l’avait déshabillée, et avait reprit sa volée ; qu’il aimait saisir avec passion ses fesses, sentir qu’en cet instant elle lui appartenait sous le regard de deux oisillons moqueur.
Elle, Coincée sous son bras, entièrement nue, se faisant grondée comme une gamine, risquant d’être vue, honteuse, le rouge au joue, elle mouillait.
Il avait étendu une petite couverture, l’avait agenouillée à quatre pattes dans l’herbe mouillée, pour la fustiger, d’une fine baguette de bois ramassée.
Elle était à présent, la croupe tendue, le dos cambrée, le sexe trempée, les seins pointés, soumise à ses désirs, elle lui appartenait.
Il l’avait caressée, claquée, fouettée, embrassée, léchée, tout partout, dans chaque recoin de son corps, pendant de longues minutes.
Elle avait tremblé de tous ses membres, elle avait eu beau serrer les lèvres, son souffle rauque, avait trahit le plaisir qu’elle avait pris.
Il aimait entendre qu’elle jouissait sous ses doigts, que son plaisir dépendait de son bon vouloir à lui ; que là dans cette forêt, il la pénétrait.
Elle s’était glissée dans ses bras pour arrêter le temps, humer l’instant, s’imprégner de chaque sensations, se les coller à la peau, épuisée par ses baisers.
Il aimait sentir l’odeur de ses cheveux, la dorloter, malgré la pluie qui s’était invitée, il avait continué de la tenir serrée contre son torse.
Elle s’était rhabillée, apaisée, sur son petit nuage, envahie d’une douce chaleur qui lui recouvrait le cœur, le postérieur, et tout le reste de son âme.
Il l’avait longuement câlinée, embrassée, telle une petite fille qui à besoin d’être rassurée, il aimait la protéger, sentir qu’il était là pour elle, comme un repère.
Elle s’était résignée après un long moment à accepter, de retourner à la réalité, de cesser de rêver, elle était repartit envahie d’une douce nostalgie.

Elle fût tirée de sa rêverie, au moment ou sa cigarette avait finie de se consumer,  car il ne restait plus aucune bouffée de rêverie à tirer…




A présent, la jeune fille écrasait sa clope dans le cendrier. Il était temps de sortir de ce songe, de cette imagination débordante. Il était temps d’aller se coucher. Elle n’était plus une gamine, il fallait cesser de rêver. Pourtant quand elle  passa la porte se dirigeant vers sa chambre, la lune éclaira son corps nu, son cul, marqué par les songes de la journée… 



Lee.
 

samedi 3 mai 2014

La belle et la bête (12)

La belle et la bête






Notes: Bon je sais que je suis très irrégulière dans la poursuite de mon histoire... Vous n'avez presque rien eu pendant des semaines, et voilà le 3ème chapitre que je publie en deux jours. Mais bon j'ai du temps et de l'inspiration, donc interdit de vous plaindre !! Photos à venir, promis.  A ce propos je serais vraiment très touchée si certains souhaitais me faire quelques retours sur cette histoire par commentaire, car je voit bien que j'ai de plus en plus de lecteur, mais du coup mystères et boule de gomme, je ne sais point qui me lit. Et puis c'est l'occasion pour moi de savoir si sa vous plait et de m'améliorer ! 

En tout cas merci à tous de passer par là, commentaire ou pas, je suis ravie de partager ce récit avec vous. Il existe des récits sur la fessée bien mieux, écrit, mais cela me fait quand même plaisir de savoir que mon écriture plait à certains.

Sans un mot de plus,
je vous laisse,
Bonne lecture, Lee


********

Chapitre 12: Sans un mot ...

Narrateur: Monsieur


DIMANCHE 12 JUILLET


Elle était adossée à la fontaine, se tenant les mains, le visage penaud, osant à peine lever les yeux pour me regarder. Je croisais les bras. J’étais fou de colère. Une réelle colère froide. Elle m’avait fait une belle frayeur. Je restais là de longue minutes, en la fixant sévèrement, face à elle. J’étais tellement en colère que je me laissai le temps de me calmer. Plus le silence s'apesantais et mon énervement s'accroissait, plus je la voyait se balancer d'un pied sur l'autre de plus en plus mal à l'aise. J’avais juste envie de lui hurler dessus une bonne fois pour toute, mais je savais que cela n’aurai eu aucun effet bénéfique. Au bout de quelques minutes de ce silence complet hormis le bruit du vent, elle leva, la tête et me dit droit dans les yeux la lèvre tremblotante :
-           Monsieur… Je me suis mal comportée, je vous ai désobéis, j’ai profité de la confiance que vous m’accordez pour monter à cheval… J’ai… Je ne sais pas pourquoi… J’ai voulu aller un peu plus vite et il s’est emballé… Je sais que vous me l'aviez interdit… Je vous prie de m’excuser… Je voit bien que vous êtes fâché... Mais je vous en pris ne me... 
-         
-     Ne me punissez pas. Ajouta t'elle d'une voix à peine audible.
-          Je vous en prie... Je vous demande pardon…
-     ...

Je ne prononçai pas le moindre mot. En fait à cet instant le contre coup était tel, je réalisait à quel point elle l'avait échappé belle, et je tentais de garder mon sang froid, me préparant à lui administrer une magistrale correction, mais je ne voulais pas non plus la punir comme un enragé. Sévère certes mais pas une torture non plus. Puis je sentais bien que mon silence, la mettais encore plus mal que si j'avais élevé la voix. Je continuais à la fixer, ce qui lui fit venir les larmes au bord des yeux.

-   Monsieur je vous en prie dites quelque chose... Crier, fâcher vous, je comprendrais... Mais ce silence... C'est pire que tout...

Je ne prononça pas le moindre mot, lui lançant un regard glaciale. J'étais satisfait que mon silence soit pour elle comme une douche froide. Je lui désignait du menton ma cravache qui sortait de la sacoche de mon cheval. Elle regarda la cravache, puis se tourna à nouveau vers moi les yeux suppliants et étonné comme si elle n'était pas sûre de bien comprendre. Je lui désignais à nouveau. Elle me fixait avec un regard de chien battu, mais je décidais d'être intraitable. Sentant que je ne céderai pas, elle se dirigea à pas lent vers l’instrument de sa punition, sortit délicatement la cravache, et revint face à moi. Je tendis une main. Après un long instant d’hésitation elle baissa la tête, et me la tendit maladroitement. Je lui fit signe de se tourner. Ce qu’elle fit. Elle se pencha au dessus de la fontaine, les mains sur le rebord, les fesses bien tendues. Je tirait sur son short. Elle le déboutonna, l’abaissa, jusqu’à ses chevilles, et le retira entièrement, le posant à côté d’elle sur un rocher. Je fit descendre sa culotte, ce qui la fit frémir mais à aucun moment elle ne fit le moindre geste pour m'empêcher sentant qu'il était largement préférable de se faire le plus discrète possible.Je posais sa petite culotte blanche à côté de son short. Je lui tournait la tête vers la fontaine, afin qu'elle ne puisse pas deviner quand le premier coup allait s'abattre.

Je fouettai l’air avec la cravache. Et je vit sont joli derrière rond et rebondi tressauter, le bruit l’avait fait sursauter. Je passais à plusieurs reprises la cravache sur ses fesses, lentement, très lentement. Je voulais qu’elle prenne le temps de réaliser la situation. Puis sans crier gare je lui assenai un coup. Je la sentit couiner. De nouveau je cinglais et je sentit qu'elle tentais d'inspirer le plus calmement possible. De nouveau je passais la cravache entre ses deux fesses,  dans sa petite raie, lentement, et abattit un troisième coup. Je lui cingla son pulpeux derrière encore et encore à grandes volées. Alternant une cravache tantôt caressante tantôt cinglante. Laissant le temps à chaque coup d’apparaitre sur son derrière afin que le coup suivant morde à nouveau là où j’avais déjà striés ses fesses. Je prenais tout mon temps...

 Pour la première fois, je lui cinglai aussi les cuisses. Ce qui la faisait trembler à chaque coup, et couiner comme une petite souris. J’attendait chaque fois que le tremblement de ses jambes s’arrête pour abattre de nouveau la cravache. Le vent soufflait. Pas un mot. Juste le bruit de la cravache qui cingle l’air et des grillons dans les hautes herbes, ainsi qu'une chaleur étouffante digne d'un été de canicule. On se serait cru dans les désert du far-west, quand seul un ballot de paille roule signifiant la tension qui règne dans le far-west. Au bout d’une bonne centaine de coup, son derrière affichait des marques de couleurs variées, allant du rose, au rouge foncé, en passant par un rouge éclatant. Je n'y avait pas été de main morte, mais c'était amplement mérité. 

Je frappais encore une dizaine de coup les uns à la suite des autres, forts, cinglants avec une grande amplitude, sans lui laisser le temps de respirer. Son fessier se balançais de gauche à droite, elle geignait. Mais je n’en avais que faire, cette petite sotte, aurait pu se tuer… Rien que d'y penser ma colère revenait et mon coeur se serrait... Il fallait qu’elle comprenne… Je cinglais à nouveau plusieurs coups, les uns à la suite des autres... Je sentais que c'était très douloureux pour elle, et qu'elle était prête à s'écrouler sur le sol, tellement les tremblements avait envahit tout son corps. Pleurait elle en silence ? Impossible de savoir... Je finit par cesser. Je lui tendit son short avec rudesse et la plantait là toujours sans le moindre mot. Je finis de remballer nos affaires tandis qu'elle s’essuyait une larme discrètement. Je la vit se tortiller et grimacer en enfilant son bas, mais je n'avais que faire. On voyait dépasser de son short les jolies marques de la cravache. J’avais envie de passer ma main, sur ses traces légèrement boursouflées, mais je n’en fit rien.J'étais peinée et avait envie de la câliner, mais je savais qu'il fallait que je soit impassible, pour qu'elle comprenne la gravité de ce qu'elle avait fait.

J’attachais les rennes de son cheval à l’arrière du mien, l’aidai à monter sur sa selle, et enfourchai la mienne. Je la vit grimacer en posant son fessier sur la selle, mais elle ne pipa mot.  Nous priment le chemin du retour, toujours sans échanger le moindre mot. De temps à autre je tournais la tête et chaque fois elle baissais la tête, en triturant ses rennes. La balade fit redescendre ma colère. J’en étais pas moins contrarié que cette journée qui avait si bien commencer finisse ainsi…Arrivée en bas de la colline, à une dizaine de minutes du manoir, je lançais les chevaux au trot. Nous sautions sur la selle. Et plus les minutes passaient, plus je sentais qu’elle retenait ses larmes. Je me retournai, elle soutient mon regard, tout en se mettant à pleurer en silence. Je n’arrêtait pas pour autant le trop. Elle avait beau serrer les lèvres, plus le temps avançait, plus ses fesses rebondissaient, plus ses gémissements sortaient malgré elle de sa bouche, de plus en plus fort, accompagnés de gros sanglots. Arrivés au écuries,  ses gémissement étaient devenus quasiment des cris. Une fois descendu de sa selle ; je lui laissai le temps de reprendre ses esprits; elle finie par sécher ses larmes qui avec la poussière avait laissées de jolies traces noirs sur ses joues. David vient nous accueillir.
-          Alors cette balade ?
-          Ah mon cher David, fabuleux, j’adore monter là haut l'été, c'est vraiment splendide. Kyara à beaucoup apprécié. Nous avons d'ailleurs fait un joli galop...
Ah ces mots je vit les joues de Kyara s'empourprer, de la même couleur que les zébrures qui dépassaient de son short sur le haut de ses cuisses.
-          Ah oui dans les sentiers ? Me dit David sans saisir l'allulion. C’est pas très prudent... C'est bourré de cailloux par là...
-          Nous avons fait très attention. Kyara à été particulièrement prudente d’ailleurs… . Elle va d'ailleurs vous aider à frictionner les chevaux, à les curer, à changer la paille des box, et à brosser les crinières, avant d’aller se laver. Comme cela elle apprendra à prendre soin de sa monture.
-          Bien Monsieur pas de problème.

Je les laissai là et partit moi même m’ôter la crasse et la sueur dont j’étais recouvert... En s'occupant des chevaux, j'espérais, qu’elle prenne également conscience qu’elle avait mis en danger sa monture. Et pour cela quoi de mieux que de participer à ses soins.

Le soir venu, je la laissai manger seule dans la salle à manger en compagnie d’Anna, je ne lui avait toujours pas adresser le moindre mot. Je demandai à Anna de me l’envoyer sur la terrasse une fois son repas prit. J’était là sur la petite table extérieur, entrain de rédiger une lettre, quand je la vite apparaitre dans l’embrasure de la porte fenêtre. Elle portait une jupe légère en dentelle blanche, lui arrivant à mi cuisse. Ainsi qu’un petit débardeur noir et un un petit gilet de coton de la même couleur. Son visage désormais bronzé, encadrés par une natte de chaque côté. Elle était ravissante, et paraissait légèrement plus jeune ainsi vêtue. Je lui fit signe de s’approcher. Elle s’avança et vient se placer à ma droite. Je continuais  de rédiger. Puis levai la tête vers elle.
-          Assied toi.
Elle se glissa sur la chaise à ma droite du bout des fesses. Je finit ma lettre encore quelques instants puis rangeai mon papier à lettre . Je posais les deux mains sur la table, et la regarda.
-          Regarde moi Kyara.
Elle secoua la tête. Je reprit avec douceur.
-          Kyara ce n’est pas une question. Regarde moi.
Elle le va la tête. Sa lèvre inférieur tremblais, ce qui me serra le cœur. Mais il n’était pas encore le moment de la consoler.
-          Kyara pourquoi je t’ai punie cet après midi ?
-          Parce que je vous ai désobéi.
-          Oui et parce que tu t’es mise en danger, ainsi que la vie de ton cheval. Est-ce que tu réalise une seule seconde que tu aurai pu mourir ?
-          Oui… Monsieur.
-          Tu imagines une seule seconde, ce qui ce serait passer si tu t’étais blessée, comme sa en pleine montagne. Tu aurais pu chuter, finir tétraplégique, en fauteuil roulant toute ta vie ! Assenai-je sentant que la colère me revenais.
-          Oui… je suis vraiment désolée… Je vous demande pardon.. J’ai été stupide.
-          Ah sa tu peux le dire ! Une vraie sotte !
-         
-         
-          Vous êtes fâché me regarda t’elle les yeux embuées de larmes ?

Je prit mon regard et ma voix la plus glaciale.
-          Je suis fâché, et surtout déçu. Une fois de plus je ne peut pas te faire confiance, et tu te comportes comme une gamine impulsive, en mettant tout le monde en danger. Mais puisque tu ne comprend toujours pas, je vais te traiter comme une gamine. Maintenant tu files au lit tout de suite. Et je ne tolérai aucune négociation.

Elle se leva, et à peine m’eut t’elle tournée le dos, que je vit les soubresauts de ses larmes secouer tout son corps. Je but un une tasse de thé, sur la terrase. J’avais été sévère, certes, mais cette fois-ci j’étais certains que la leçon était apprise. Je prit le temps de finir ma tasse, et décidai de monter la voir.
 Je toquai à la porte avant d'entrer. La lumière était éteinte, mais je la voyais distinctement, à plat ventre la tête dans son oreiller, la nuisette relevée, les fesses à l’air, éclairée par le reflet de la lune. J’étais ému. Son fessier encore rougeâtre et nue dans le faisceau de la lune, ressemblait à une magnifique peinture. Je m’approchais d’elle et m’assis sur le bord du lit. Et je fit en enfin ce qui me démangeais tant depuis le début de l'après-midi et passais ma main sur ses jolies fesses encore cramoisies, où des petites marques violettes commençaient à apparaitre. Je la caressa longuement, les cuisses, les fesses, sa petite raie, tout mignonne. Elle glissa sa petite main dans la mienne. Je resserrai ma main autour de la sienne et continuais de passer l’autre dans toutes les sens sur son derrière rougeoyant... Je la sentais de temps à autre tressaillir au passage de mes caresses, mais je sentais que cela apaisait sa douleur. Je sentit son souffle ralentir et tout son corps se détendre, comme si un poids en elle s'était envolée. Comme si elle était soulagée de se sentir enfin pardonnée. Je rabattit le bas de sa nuisette, l’embrassai sur le front et la laissa dormir. Je fermai la porte.
J’allais partir vers ma chambre dans le couloir, quand tout à coup j’entendis des gémissements provenant de sa chambre. Je collai mon oreille à la porte. Je cru au départ qu’elle pleurai, mais ses bruit plaintifs ne me faisait pas penser à des larmes, j’entendais ses pieds frotter sur le matelas, son souffle s’accélérer… Des petits gémissement sortir du fond de sa gorges... Je n'étais pas sure de moi... Mais si c'était cela... Elle jouissait !!!

Je partit le plus discrètement et le plus vite possible vers ma chambre, tiraillé par de nombreux sentiments. Mes corrections la stimulais ? Je n'avais pas vu venir une telle éventualité... Je ne vais pas mentir… Moi aussi j’avais une érection parfois lorsque je frôlais ou claquais ses fesses juteuses . Seulement je ne laissai jamais rien paraitre et ne me permettrai jamais quoi que ce soit… Et puis les punitions que je lui administrais était disciplinaire... Je ne partageais pas là une fessée érotique avec une amante... Ah je m’en voulais d’avoir de telles pensées… Devais-je cesser de la corriger ainsi ? Cela devenait surement dépasser, si la jeune demoiselle y trouvais un plaisir sexuel ? Et en même temps je ne suis pas nigaud, je savais que c'était un risque qu'elle apprécie ces corrections, et se découvre adepte de la fessée... J'étais pétrifié par cette idée... Je me sentais coupable... Nous avions 11 ans d’écart. Il était exclu pour moi qu’il puisse se passer quoi que ce soit. C’était une gamine. Et même si cela faisait bien longtemps qu’une femme n’avait pas partagé mon lit,  je me jurai que cela ne se produirai pas avec elle. J’allais m’imposer une strict discipline pour ne pas déraper. J'étais tourmentée par une grosse remise en question, à savoir si je pouvais poursuivre une telle discipline avec elle dans ses conditions ? Je me glissais dans mon lit très tourmenté.

(A suivre...)