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mercredi 24 septembre 2014

Le Mariage BDSM de Leïna et Zaël


 Un amour libre et éternel


Avant propos: Voici un récit complétement fictif, que je me suis amusée à écrire ce matin. En effet ayant récemment découvert la teneur d'un mariage BDSM, cela m'a inspiré cette petite romance. Ne vous attendez pas à une histoire de fessée comme j'ai l'habitude de le faire. Il s'agit plus ici, d'une romance fantasmagorique, un peu poétique, surement hors des clous réels de ce genre de mariage, et peut être un peu trop tendre pour les adeptes de ce genre d'union. Voilà une douce rêverie que je partage avec vous, et qui sait peut être qu'un jour, elle  deviendra réalité... Mais bon ne mettons pas le craker (bout du fouet qui claque) avant le manche ! Bonne lecture. N'hésitez pas à laisser un petit message de votre passage où quelques infos, ou expériences à ce sujet !

Note de la rédaction: Il ne s'agit là que d'un récit fictif, je respecte donc les adeptes chevronnés qui vivent ce genre de mariage de façon plus réglementaire et stricte, mais il me plaisait d'être plus fantaisiste, et de le faire à ma façon.

*******

  

 



Aujourd'hui est un grand jour pour Leïna, autant que pour Zaël. Fou d'amour l'un pour l'autre, ils ont décidé de se marier... D'une façon un peu particulière, dans la plus grande intimité. Un mariage pas tout à fait comme les autres, un mariage BDSM...Quand elle lui en avait parlé Zaël avait d'abord refusé...
- Enfin Leïna, je comprend que ça te fasses plaisir, moi aussi j'en aurai eu envie, mais tu sais bien ce que tout cela signifie, et pour moi c'est hors de question. Le côté esclavage complet, c'est hors de question ! Quand je voit comment ça se passe dans certains couples... Pas question. Je respecte que les gens se marient ainsi et si ils sont heureux tant mieux mais pour moi ce serait te rabaisser ça ne me plait pas....
- Mais Zaël on n'a jamais fait de cérémonie depuis qu'on est ensemble, jamais rendu hommage à ma soumission envers toi. Ça me plairait beaucoup de montrer que je suis tienne et l'officialiser... Steuuu plééééé.... ajouta- t-elle dans une moue d'enfant boudeuse.

Il l'avait alors embrassée sur le front, et tout en la serrant debout contre lui, il lui avait relevé le visage, d'une main douce, afin de fixer ses yeux dans les siens, son menton contre sa poitrine.
- Leïna nous ferons une cérémonie si tu le souhaites, avec plaisir même, mais je ne veux pas que les engagements soient ceux d'un mariage BDSM au sens où on l'entend. Nous aimons tout deux, cela autant l'un que l'autre. Mais tu sais très bien, que nous ne le vivons pas tout à fait en 24/24. Autant je tiens aux règles de Discipline Domestique que nous avons choisies ensemble, autant j'aime également te soumettre pour mon simple plaisir et le tiens, autant je tiens hors de ce cadre à avoir ma femme en face de moi à certains moments, sur un pied total d'égalité, où elle puisse être totalement libre de ses faits et gestes.
Elle avait  alors rie un peu moqueuse:
- Zaël comment peux tu penser une seule seconde, que je te laisserais régenter tous les aspects de ma vie sous prétexte d'un mariage BDSM... Tu sais très bien que je resterais toujours la femme libre que tu aimes, que je continuerais à te tenir tête quand il le faut dans les aspects de notre vie de couple hors BDSM. Et tu sais très bien que je ne deviendrais jamais "une nunuche" servile qui s'occupe de toutes les tâches, pendant que son conjoint se dore la pilule au soleil. Puis je compte bien avoir des enfants un jour, et tu sais très bien que concernant l'éducation et mon rôle de mère, jamais je ne laisserais quiconque me dicter ce que je doit faire.
 
Il avais souri un peu moqueur:
- Je reconnais qu'avec ton sale caractère, je ne devrait avoir aucun doute sur le fait que tu garderas ta liberté...
- Ah ah très drôle, sale caractère toi même ! Avais t-elle répondu avec insolence en lui tirant la langue. Défaut qu'il avait tenté de corriger pendant des mois à coups de brosse à cheveux, mais c'était bien le seul défaut chez elle dont il n'était jamais parvenu à changer. Et finalement il s'était habitué à ce que cette petite langue rose pointe le bout de son nez régulièrement ornée de son petit piercing doré habituel.
- Dis donc jeune fille, ne commencez pas à être insolente, ou je serais malheureusement obligé de vous coucher sur mes genoux...
Rougissante elle ajouta:
- Mais heu... on ne parle pas de mes fesses là. Mais de notre mariage BDSM. Tu me connais j'aime pas être dans les clous, faisons le à notre image. Et on se fout de ceux qui râlent, qui disent qu'on est pas dans les codes. On le fera pour nous, pour se faire plaisir et si ça ne plait pas tan pis. On le fait pour nous, pas pour les autres. Un lien symbolique et d'amour...
- Dans ce cas si c'est à notre main, à notre image... pourquoi pas... j'ai même quelques idées pour tes fesses moi... avait-il dit un sourire espiègle sur le visage.

Son visage s'était ensoleillé en un clin d’œil, folle de bonheur, en se jetant dans ses bras, elle lui avait demandée toute mielleuse:
- C'est vrai tu dis oui ?
- Oui souffla t-il en l'embrassant. D'ailleurs il vaut mieux s'entrainer de suite... Parce que avec toi, il y à du boulot pour que tu te tiennes sage lors d'une cérémonie comme celle-ci...
Et il l'avait emporté , l'emprisonnant contre son torse, dans la chambre à côté. Elle riant aux éclats, et lui l'embrassant tout partout... vers des ébats plus intimes.





*** Quelques mois plus tard ***

Le grand jour était donc enfin arrivé. Ils avaient passé des semaines, et même des mois, à penser, et repenser cette cérémonie. Quels invités ? Quel lieu ? Quels témoins ? Quels symboles forts pendant la cérémonie ? Fallait t'il quelqu'un pour mener la cérémonie ?  Ils avaient passé des heures, des journées entières, des semaines à organiser ce mariage à leur image, sans écouter les quand dira t-on. Quelque chose qui leur ressemblait et leur correspondait, à l'image de leur amour mutuel et de leur conception de la soumission, à la hauteur de la tendresse qu'ils se portaient tout deux. Pour l'occasion ils avaient donc loué une petite salle de théâtre à un ami proche. C'est Zaël qui avait insisté, parce qu'il savait que ce serait un peu comme réaliser un des rêves de petite fille de Leïna. Une petite salle de spectacle , avec une petite scène en bois ébène, assez près du sol, recouverte de chaque côté par deux grands rideaux rouges et or. Il l'avait loué sans lui dire... et quand il l'avait emmené visiter pour lui faire la surprise, elle en avait perdu ses mots, sous l'émotion. Seule la larme qui avais perlé sur sa joue ce jour là, avait traduit à quel point elle l'aimais pour ce cadeau. Elle n'aurait pas pu imaginer de lieu plus parfait pour une telle occasion. L'endroit cosy et parfait pour célébrer leur bonheur...

*** Quelques secondes avant le début de la cérémonie. ***
*** Derrière un grand rideau blanc.***
 
A présent elle se tenait là, dans les coulisses qu'elle avait crées pour l'occasion, situées derrière le public, un grand rideau blanc la camouflais soigneusement. Elle était seule et nue. Le brouhaha des invités déjà présent dans la salle lui parvenait. Il y avait une petite cinquantaine d'invités, leurs amis les plus proches, les vrais, les intimes, ceux qui possédaient le même respect qu'eux aussi bien pour le BDSM, que pour la liberté de la femme, que pour la liberté de l'homme. Elle était également ravie que Zaël ait trouvé son idée de parrainage judicieuse... Et puis il savait que certaines personnes de son passé et présent avaient beaucoup compté dans sa soumission. Dès qu'elle lui avais posé la question, il avait su quels seraient les fameux désignés, qui étaient désormais également ses amis à lui aussi. Il aimait cette idée, que elle petite soumise novice choisisse un parrain et une marraine, qui se chargeraient durant ce mariage d'organiser une sorte de passation de soumise. Et que lui l'homme sombre et ténébreux, il viendrait la dérober, pour qu'elle lui appartienne enfin. Comme deux anges gardiens qui lui confierait pour l'éternité leur petite protégée. Leïna quant-à-elle, était si honorée et touchée qu'ils aient accepté, cela comptais tant pour elle. Tandis qu'elle se souvenais de ce fameux jour où elle leur avais fait sa demande de parrainage pour l'occasion... Sa marraine vint justement interrompre sa rêverie pour l'embrasser, et la serrer dans ses bras une dernière fois avant le début de la cérémonie. 

Leïna la chérissait de tout son corps, de tout son cœur et de toute son âme; cette femme, qu'elle admire tant. Elle était son modèle, sa référence, et sa présence lui était essentielle en cette journée si importante.
- Prête ma jolie ?
- Oui je crois S. Je suis peu angoissée quand même... Je dirais même au bord de l’apoplexie...
- Tu vas t'en sortir à merveille... Tout se passera comme tu le souhaites...Et tu es ravissante...
- Mais je suis nue...Répondit Leïna en riant...
- Ben oui c'est ce que je dis. Ajouta sa marraine en riant à son tour. 





 
C'est vrai que Leïna était magnifique. Sa longue chevelure d'un rouge violine tombait en cascade sur ses épaules, et ses grands yeux verts-bruns étaient maquillés dans de jolies couleurs sombres et rouges qui rehaussaient sa beauté. Sa marraine avait pris soin de la maquiller elle même, ce qui avait beaucoup ému Leïna, qui était très sensible à ce genre d'attention. Un rouge à lèvre rouge sang lui recouvrait également les lèvres, ce qui les rendaient pulpeuses à souhait. Sur le bout de chaque téton, des petits caches noir et rouge magnifiques ornaient et mettaient sa poitrine un peu trop volumineuse en valeur. Ses 20 doigts étaient également vernis de rouge à la perfection sans fausses notes et recouverts d'arabesque noires et fines. De longues boucles d'oreilles noires pendaient à ses oreilles... Et la fourrure de son sexe, avait été entièrement taillé, il ne restait qu'un petit cœur de poils taillé à la perfection qui donnait envie de l'embrasser à cet endroit avec de doux baisers. Elle portait également de grandes chaussures noires compensées qui creusaient son dos et faisait ressortir son magnifique fessier blanc. Immaculé. Des semaines qu'elle ne l'avait pas fait rougir, mais malgré la frustration de ne pas être fessée elle avais tenu bon, afin qu'il soit parfait pour ce jour si précieux à ses yeux.
 
Son parrain BDSM pour la cérémonie arriva à son tour. Elle rougie comme à son habitude quand il fixa son regard dans le sien. Il embrassa d'abord sa femme (la marraine de Leïna, qui s'enfuyait en courant pour assister au début de la cérémonie), puis il s'approcha à pas lents de sa petite protégée, humant l'instant. Il l'embrassa sur le front et sans un mot la serra tout contre lui tendrement. Depuis le temps, ils n'avaient plus besoin de se parler pour comprendre l'émotion qui les trahissait tout deux. Il sortit alors de sa poche un petit coffret en bois qu'il lui tendit:
- Tiens ouvres...
Le cœur battant, délicatement, elle ouvrit la fameuse boite. A l'intérieur, posé sur un écrin rouge, un collier... très simple... noir et élastique... avec de jolies arabesques un peu comme de la dentelle... Cette vision lui fit perdre ses mots mais ses yeux trahissaient l'affection qu'elle portais à ce collier. Elle fût submergée par une vague de souvenirs douce et bouleversante.
- Zaël m'a demandé que tu le portes pour le début de la cérémonie...
- Vraiment ? Dit-elle la larme à l’œil.
- Oui Leïna, vraiment. Tu me permets que je te le noue autour du cou une dernière fois...
- Oui Monsieur M, avec plaisir.
 
Alors il se glissa dans son dos et avec soin, lui noua autour du cou. Les pendentifs du collier, qu'elle avait elle même rajouté il y à bien longtemps de cela, ornaient à présent sa nuque. Un petit losange en argent gravé d'un P, pour la protection, avec inscrit Lee au dos de celui-ci (un nom qu'elle avait longtemps affectionné et qui faisait ce qu'elle était aujourd'hui: Leïna). Et de chaque côté du losange, deux autres pendentifs, soit deux ailes argentées. Au dos de l'une d'elle un S, derrière l'autre un M. Une fois le collier attaché, il l'embrassa à nouveau sur le front. Et sortit d'un deuxième écrin une longue laisse dorée fine et simple. Il l'attacha à un anneau de la même couleur qu'il avait ajouté récemment au collier qu'elle portais désormais. A cet instant la musique de Rose for Epona commença, il était temps, la cérémonie commençais.
- Prête ?
- Prête.

Elle s'agenouilla alors sur le sol, et se laissa guider, vers son avenir.

Il enroula la laisse, longue de plusieurs mètres autour de son poignet afin que celle-ci soit moins distendue, et ils quittèrent leur cache secrète. Quand ils sortirent de derrière le rideau blanc, tous les invités s'étaient levés, le sourire et l'émotion sur le visage. Il tirait sa petite protégée au rythme de la musique, entre les deux rangées de convives. La tête haute, le buste relevé, la croupe tendue dans une concentration non dissimulée, elle avançait tel une petite chatte sensuelle vers la petite estrade. Elle savourais cette traversée, honteuse, bercée par un grand bonheur, tout en évitant d'écorcher ses genoux. Heureusement son doux amant avait tout prévu, en installant un tapis rouge tout doux, pour que sa princesse, ne se fasse pas de mal, pendant sa petite balade à quatre-pattes. Elle voulais savourer chaque instant de ce mariage. Son parrain, Maitre.M, marchait à ses côtés aussi fière et ému qu'elle, tout vêtu de noir. Les invités soufflaient des bulles de savon sur leur passage. Qui pour certaines lui retombaient sur le creux du dos, laissant de petites auréoles à peine visibles sur la peau. Si elle n'avait pas eu peur de perdre sa concentration, elle aurait fermé les yeux pour arrêter le temps. Dans un coin de l'estrade, Zaël la dévorais du regard. Elle plongea son regard dans le sien, et passa sa langue sur ses lèvres. Il fut le seul à le voir, mais c'était leur secret. Une lèvre mordue languissante rien que pour lui. 

Arrivée devant l'estrade, son parrain d'un soir la fit monter toujours à quatre pattes, les trois petites marches qui surélevaient celle-ci. Au centre de la scène pendait deux anneaux de cuir noir. La musique avait cessé, et dans un silence religieux, il lui intima l'ordre se mettre dans la position la plus humble qui soit. Alors elle se coucha à ses pieds, ses deux bras étendus vers l'avant, au plus loin, la tête vers le sol. Il déposa la laisse doré sur son dos, sur plusieurs longueurs, avec douceur. Une nouvelle musique douce emplissait à présent la pièce. A cet instant un ami fidèle qu'elle avait choisit avec Zaël pour l'occasion, s'avança sur la scène dans son long manteau de cuir noir, afin de remplir la lourde tâche qui lui incombait: Maitre de cérémonie. Il hissa sa voix grave par dessus la musique:
- Maitresses, Maitres, soumises, soumis et électrons libres, je vous souhaite à tous la bienvenue aujourd'hui. En ce jour si particulier, vous serez les témoins de l'engagement de ma douce amie et soumise Leïna envers son Maitre Zaël. Et l'engagement de mon ami et Maitre Zaël envers la douce Leïna. J'espère que ce mariage à leur image vous émouvra autant que je le suis déjà, et que celui-ci les comblera de bonheur pour l'éternité. Je propose donc au parrain de notre petite protégée de commencer par la fouettée réglementaire de son dressage, afin de laisser ensuite la main, au Maitre, auquel elle est destinée. Maestro musique !
La salle applaudit avec fougue. Et une musique un peu rythmée commença.

Son parrain Maitre.M la fit se relever avec douceur et après l'avoir embrassée pour la troisième fois sur le front (signe de protection) il lui attacha les poignets aux anneaux suspendus. Elle était là les bras tendus au dessus de la tête, ses pieds touchant tout juste le sol, le regard droit, la respiration déjà haletante, tous les regards rivés sur sa nudité. Ce moment qu'elle avait tant attendu était arrivé, le mariage BDSM commençait. Elle prit une grande inspiration et se promis de savourer l'instant. Elle senti alors les mains de son amie et marraine S, lui poser un bandeau noir sur les yeux, elle jeta alors un dernier regard vers son cher et tendre, et finit par se soumettre au noir complet qui lui étais imposé. 




Les martinets vinrent alors rapidement lui lécher le corps. Avec douceur. Les seins, les fesses, le dos, le sexe. Puis sans crier gare, la fouettée devint plus vive, plus dure. Assez pour faire balancer sensuellement son corps suspendu sous la force des coups et faire rosir son corps; trop peu pour laisser la moindre marque, mais assez pour la faire danser. Son cœur se mit à battre la chamade, et elle se laissa ainsi bercée au gré de des coups tendres et vifs. Elle entendait très légèrement les anneaux grincer au fil de ses balancements. Elle avait occulté tout ce qui l'entourait, seul son touché était aux aguets. C'était un dressage après tout, aucune limite n'avaient été fixées. Mais si il y à bien une personne en qui elle avait totale confiance c'était Maitre.M. Il jouait avec habileté de ses deux martinets et frappait ou caressait sans prévenir de façon déstabilisante et très troublante, tout son corps était dans un grand émoi. Elle serra les cuisses, mais ses tétons pointaient sous les caches rouges et noirs, ce qui ne laissait planer aucun doute. Le rouge lui montait aux joues à cette idée. La fouettée ralentit alors et de longues caresses vinrent s'apposer sur son dos.

Une main, deux mains, trois mains, quatre mains, cinq.. Elle en perdit le compte, pourtant elle arrivait par le toucher à reconnaitre les doigts aussi bien de sa marraine, de son parrain et de son Maitre adoré Zaël. Entre les caresses, les petits picots qui roulaient sur son corps, les martinets tantôt doux, tantôt cinglants, les baisers, les petits gratouillis, son corps perdait la tête, et se mit à trembler. Six mains et/ou objets lui parcouraient le corps de façons différentes, partout. De la tête au pied celui-ci était sollicité, pour un trouble hors du communs. Le fait de ne pas voir décuplais ses sens, et la rendait fébrile, à fleur de peau. Chaque effleurement était démultiplié et accentuais son trouble. Les êtres qu'elle chérissait le plus étaient tous les trois autour d'elle, réunis pour son bonheur, et pour troubler toutes ses sensations et repères, pour dresser son corps de soumise. Elle sentais cette pression dans son entre-jambes et se mordais les lèvres au sang pour ne pas gémir de plaisir. Elle eu beau serrer les cuisses, elle ne put retenir un orgasme d'une intensité honteuse et inouïe. Son corps entier se mis à trembler, et elle eu beau pincer les lèvres, un petit couinement de plaisir s'échappa malgré elle, du fond de son âme. Intense et long. Elle avait l'impression d'avoir passé des heures sous leurs doigts respectifs. Les diverses sensations qui la submergeais cessèrent enfin, lui permettant de reprendre son souffle. Elle sentit un doux baiser sur ses lèvres, nul doute que que c'était celles de Zaël qui l'avait effleurée.  

Après quelques secondes de répit, seul un long fouet venait s'enrouler autour de son corps, désormais. Elle reconnue sans l'ombre d'un doute la frappe de son Maitre. De son doux et tendre aimé Zaël. Elle rêvais de l'embrasser, de parcourir son corps, encore et encore mais ainsi attachée, cela resterais fantasme pour l'instant. Au même moment, elle sentie que sa marraine lui dénouait le bandeau qui lui recouvrait les yeux, et elle se souvint tout à coup de la présence de tous ses amis dans la pièce. Elle les avait presque oublié, prise par l'intensité de l'instant. Elle plissa les yeux pour se remettre de l'éblouissement de la lumière et pû enfin plonger ses yeux dans ceux de son bien aimé, qui continuait à tourner autour d'elle en l'enroulant de son fouet. Bien que ce ne soit pas son objet préféré, elle l'avait choisit pour Zaël, et cette idée la troublais, de lui faire plaisir à lui aussi. Elle était fière qu'il puisse montrer son savoir faire aux yeux de  tous, et fière de tenir sous les cinglées sans le moindre cris. Son corps commençait légèrement à se zébrer, à se tortiller. Mais elle tenais bon pour lui, une façon de lui montrer tout son amour, toute sa soumission, à quel point elle pouvait se dépasser par amour, et lui obéir. Après trois derniers coups d'une force inouïe qui la fit se cambrer de douleur, il cessa. Elle était là le corps tendu et légèrement meurtri. Mais un sourire lumineux lui fendais le visage, dans une sorte d'extase d'avoir relevé ce défi sans la moindre plainte. Son Maitre vint glisser sa main fermement dans ses cheveux et couvrir ses lèvres de baisers. Tout en continuant à l'embrasser il la délivra, et lui massa tendrement les poignets.


 
Leur Maitre de cérémonie après les avoir laissé savourer cet instant repris le micro:
- A présent que la soumise est dressée et obéissante, et qu'elle à prouvé son mérite, il est temps qu'on l'habille dignement, afin qu'elle soit présentable pour son Maitre.
Sa marraine vint alors la chercher, et l'entraina dans un coin de la scène. Tandis qu'à l'avant-scène, le Maitre de cérémonie, poursuivais son propos:
-  Pendant ce temps, que Maitre Zaël s'installe dans son grand fauteuil rouge, afin de châtier les chairs offertes par sa soumise. Qu'il honore et colore les offrandes de celle-ci. Je demande donc aux cinq jeunes femmes choisies par notre douce soumise Leïna de s'avancer, afin d'être châtiées et d'éprouver le savoir faire, l'endurance, l'autorité, la tendresse, la persévérance et la bienveillance de Maitre Zaël. Afin que celui-ci prouve aux yeux de tous qu'il est à la hauteur de la soumise qui lui est offerte aujourd'hui. Que les hostilités commencent !
 
Tandis qu'elle dévorait la scène des yeux, son amie et marraine S, se mit à lui lacer sur le corps un magnifique corset rouge, que Leïna avait fait faire sur mesure pour l'occasion. Au centre de la scène se déroulait une toute autre scène. Son Maitre à présent installé dans un grand fauteuil rouge, retroussait ses manches. Cinq magnifiques femmes dans le plus simple appareil vinrent alors sur la scène. Des amies qui avaient acceptées de se prêter au jeu pour l'occasion. Les unes après les autres, sur une musique endiablée, vinrent se coucher sur les genoux de celui qu'elle aimais tant. Et une à une il leur caressa le dos et les fesses tout en entrecoupant ses douceurs de vives claques sur leurs fessiers rebondis. De belles femmes plantureuse à la peau douce. Elle les avaient choisies pour faire plaisir à son Maitre, cela l'enchantait qu'il puisse jouer avec d'autres femmes, et prouver ainsi qu'elle n'avait aucun doute sur sa fidélité et sur ses qualités de Maitre et de Dominant. Quand à lui, le défi était à présent de prouver, qu'il pouvait toutes les soumettre, les unes à la suite des autres, sans faillir, faiblir, ou outrepasser leurs limites respectives. Une myriade d'objets cinglants avait été mis à sa disposition. 

Chacune d'elle fut donc fessée, cravachée,ou encore paddlée avec vivacité, caresses et tendresse; Jusqu'à ce que chacunes de leur fesses soient assez rouge, pour que le public puisse en savourer la couleur, même de loin. Parfois il variait les positions imposées à ces demoiselles. A genoux, penchée en avant, sur le dos jambes relevées... Chaque fois que l'une d'entre elle finissait d'être châtiée, elle se relevais alors du mieux qu'elle pouvais et venait se placer à gauche du fauteuil. Tandis qu'il fessait la dernière, le corset de Leïna était à présent lassé, et elle enfila une petite jupe de cuir noire. Et profita de cet instant de répit pour se blottir au creux des bras de son amie S, qui la rassura. Les jeunes femmes semblaient ravies de leur séance avec Maitre Zaël, ce qu'elle confirmèrent d'ailleurs au micro, suite aux questions du Maitre de Cérémonie.

Une fois leurs fesses incandescentes, les cinq femmes au fessiers rosis, emmenèrent alors Maitre Zaël, dans l'autre angle de la scène en même temps que le Maitre de cérémonie annonça:
- Sous vos yeux Maitre Zaël vient de prouver sa bravoure et son savoir faire, même si pour ma part je n'en doutais pas un seul instant. Il n'a même pas une goutte de sueur pour perler sur son front et trahir l'effort que cela lui à demandé de châtier des demoiselles comme celle-ci. Ahhh... il à vraiment tout pour plaire. Dit-il en rigolant. A présent, à la demande de nos deux tourtereaux, nous allons les soumettre à un difficile exercice. En se liant pour l'éternité dans ce mariage BDSM, ils ont choisit de se jurer fidélité de leur jouissance. Afin de prouver leur volonté respective à tenir cet engagement, que chacun se soumette à la torture respective qui lui est réservé pour l'occasion et retienne son plaisir. Que les ré-jouissances, commencent ! 

Debout et fière, Maitre Zaël, laissa donc les cinq femmes qu'il avait châtiées, lui défaire sa chemise. Il devait à présent résister à leurs caresses langoureuses sans faillir, sans jouir. Chacune d'elle s’évertuait à lui caresser le torse, à l'embrasser de partout (sauf sur les lèvres, interdiction formelle de Leïna), à le caresser avec de petites plumes, et à lui mordre les tétons. Immobile il gardait toute sa concentration pour sa chère et tendre. Il faisait preuve d'un sang froid incroyable. Leïna rigolais intérieurement. Quelle homme pouvais se vanter, d'avoir ainsi 5 femmes nues à ses pieds, tentant de le faire plier. Mais elle n'eût que peu de temps pour y songer, car pour elle s'annonçait d'autres hostilités. Un deuxième fauteuil rouge avait fait son apparition. Sa marraine et son parrain s'installèrent alors dans chacun d'eux. Et comme prévu elle vint se placer sur leurs genoux, fesses vers le public. Le Maitre de cérémonie intervint alors à nouveau:
- Même loin du cœur, loin de la chair et loin du fouet, chacun de ses deux êtres s'engagent à résister à ce qui pourrait les détourner de leur route. Chacun s'engagent en cet instant à s'aimer sans faillir.


 
 
Sa jupe de cuir noire fût alors relevée, et une tonitruante fessée à quatre mains s’appliquait désormais sur son postérieur, tandis qu'elle entendait les cinq femmes glousser, continuant de caresser son mari, tentant de détourner son Maitre de son engagement. La fessée était vive et caressante comme elle les aimes. Tantôt des claques sèches et sévères venaient s'abattre, tantôt elles venaient s'enrouler sous ses fesses, ce qui bien entendu déclenchais toujours chez elle un plaisir difficile à retenir. Mais elle se devait désormais n'accorder ce plaisir qu'à son Maitre. Mais ainsi placée sur les genoux de ces deux êtres qu'elle chérissait tant, qui savaient la lire si bien, et qui l'avait fessée si souvent, il lui était difficile de résister à l'appel de la chair. La fessée était douce et douloureuse, mais si plaisante. Mais sa peur de faillir,  ne la faisais rêver que d'une chose, courir vers son Maitre à elle, afin qu'il l'enserre enfin dans ses bras. Alors l'émotion l'envahie et elle se mit à pleurer de bonheur, troublée, angoissée que l'un des deux craque, et très émue de recevoir sa dernière fessée, avec ceux qu'elle aimais tant et avec qui elle avait tant partagé... Sanglotant le plus légèrement possible, la musique s'arrêta enfin, et la fessée cessa. Et se laissa alors épuisée par toutes ces émotions, glisser sur le sol. A genoux sur le bois elle laissa alors son parrain et sa marraine d'un soir, l'entourer de leurs bras si tendres, et la réconforter comme ils savaient si bien le faire. Ils lui chuchotèrent à l'oreille:
- Nous aussi on t'aime Lee, mais il est à présent temps de laisser place à Leïna. On te souhaite tout le bonheur que tu puisse souhaiter.
- Moi aussi je vous aime tous les deux si fort. Chuchota t'-elle en resserrant son étreinte.

Solennellement Maitre Zaël se rhabilla, tandis que soumise Leïna finissait discrètement de sécher ses larmes. Les fauteuils furent ôtés de la scène. Et les cinq femmes s'alignèrent en fond de scène. Son parrain Maitre.M et sa marraine et amie S vinrent se placer à genoux devant elle. A présent s'étaient eux qui tenait le micro. D'un même voix il déclamèrent alors:
- Lee notre petite protégée nous te libérons de la soumission à laquelle tu t'étais engagée envers nous. Afin que tu fleurisses et t'épanouisses petite pâquerette et deviennes définitivement Leïna. Tu as trouvé un Maitre à la hauteur de la soumise que tu es, et nous sommes fière de ce que tu accompli aujourd'hui. Nous te souhaitons le plus grand des bonheurs. Va, vie et devient. Carpe Diem !
 Ils dénouèrent alors son ancien collier pour la dernière fois. Ils l'embrassèrent tremblant, et sous le coup d'une vive émotion, et se relevèrent. Toujours à genoux, avec sa longue laisse doré toujours accrochée autour du coup et éparpillée sur le sol, Leïna releva la tête très émue, pouvant enfin s'adonner complétement à son cher et tendre. 

Son Maitre aimé se tenait à présent devant elle, sérieux et doux. Près d'eux avait été placé un petit feu de joie, qui crépitait comme un brasier. Son Maitre s'agenouilla alors face à elle. Ému et bégayant il parla enfin dans le micro, tout en ouvrant un écrin en bois.
- Leïna, ma tendre aimée, ma femme, ma soumise, ma compagne pour la vie, acceptes tu ce collier, signe de mon engagement envers toi. En t'offrant celui-ci, je m'engage à te faire évoluer, à te soumettre pour ton plaisir et pour le mien. A sublimer la belle femme que tu es, à t'aimer à te chérir, à te protéger envers et contre tout, à toujours m'assurer de ta sécurité et de ton bien être. A être à la hauteur de ta soumission dévouée. A t'aimer et à t'être fidèle sans ne jamais faillir.
- Zaël, mon amour adoré, mon mari, mon Maitre, mon compagnon pour la vie, j'accepte ce collier, signe de mon engagement envers moi. En acceptant ce collier, je m'engage à progresser, à me soumettre, à t’obéir, pour ton plaisir et pour le mien. A représenter fièrement le Maitre que tu es, à t'aimer, à te chérir, à te protéger envers et contre tout, à toujours m'assurer de ton bonheur et de ton bien être. A être à la hauteur de ta domination dévouée. A t'aimer et à t'être fidèle sans ne jamais faillir. 
 
Il se releva alors solennellement, passa le collier au dessus du feu afin d'effacer les douleurs du passé et d'éloigner les démons, tandis qu'elle se couchais humblement à ses pieds. Il lui noua alors le collier  de cuir rouge et noir autour du cou. Un collier simple et doux au touché, tout à son image. Un grelot y était accroché avec un P gravé dessus. Et à l'intérieur leurs deux prénom, qui comme des petites billes venaient faire sonner le grelot à chaque mouvement. Ils ont choisit soigneusement le son de celui-ci chez un horloger, un bruit, une musique unique bien à eux, qui trahira désormais le moindre de ses pas. Il la releva enfin et l'embrassa avec une fougue non dissimulée. Leurs amis applaudirent alors vivement, certains sifflaient même,  tandis qu'ils s'embrassaient sous une nuée de pétales rouges jetées par les cinq femmes qui se tenaient depuis en fond de scène. Ils sentaient en cet instant tout l'amour qu'ils se portaient mutuellement les envahir et les saisir de tout leurs êtres.

Il restait à présent la cérémonie des roses, à laquelle ils tenaient tant tout les deux, et qui fût annoncée par le Maitre de cérémonie avec émotion:
- A présent que leur relation D/S est scellée par ce magnifique collier, preuve de leurs engagements respectifs, il est temps de lier l'amour de ces deux être pour l'éternité en faisant couler le sang. Qu'on apporte les roses...
A présent debout l'un en face de l'autre, on leur amena deux roses. Une blanche pour elle signe de sa pureté, comme une petite chose fragile et naissante, et une rouge pour lui preuve de sa bienveillance et de sa maturité... Ils avaient décidé de ne pas prononcer de grands discours, car les silences sont parfois bien plus fort que les mots. Et puis de toute façon l'essentiel avait été dit pendant la pose du collier. Elle prit d'abord la sienne , en détacha une épine et se piqua le doigt afin de faire perler le sang sur celui-ci. Elle fit tomber trois gouttes sur la rose blanche et trois gouttes sur la rose rouge. Puis tout en jetant l'épine dans le feu elle déclama:
- Mon Maitre en faisant perler mon sang, je m'engage, à souffrir pour toi envers et contre, et à t'aimer et me soumettre pour l’éternité.
A son tour Zaël détacha une épine de la magnifique rose rouge qu'il tenais à la main et se piqua le doigt, jusqu'à en faire perler son sang, avant de jeter l'épine dans le feu.
- Ma Soumise en faisant perler mon sang, je m'engage, à souffrir pour te protéger envers et contre tout avec bienveillance, et à t'aimer et te dominer pour l'éternité.
Alors leurs deux doigts griffés entrèrent en contact l'un contre l'autre et leur sang se mêlèrent signe de leur engagement et de leur amour éternel. 




A cet instant chaque convive présent alluma un cierge distribué à chacun pour l'occasion et tous furent invités par le Maitre de Cérémonie à participer:
Maitresses, Maitres, soumises, soumis et électrons libres, je vous invite à présent à venir allumer votre cierge dans le feu de joie ici présent, et à passer votre flamme sur la la chaîne et laisse de la douce soumise Leïna, afin ensuite que nous scellions leur amour et leur relation de Maitre et soumise à jamais. 
Les convives, un à un , vinrent donc allumer leur cierge, et brûler quelques secondes la laisse de plusieurs mètres qui pendait au cou de Leïna, et trainais sur le sol. Toute la chaîne doré fut ainsi brûlée de part en part. Les convives retournèrent s’assoir et  Maitre. M et sa femme S, saisirent alors la chaine et  au nom de tous leurs amis, ils les entourèrent tous deux  avec pour les lier à jamais.
Pendant qu'ils restaient lier, le regard plongé chacun dans celui de l'autre dans une très intense émotion, sa marraine, pris de l'encre de chine et une aiguille de tatouage. En effet Zaël ne voulant pas marquer sa bien aimée au fer, ils avaient convenu de tout deux se tatouer à l'encre de chine. S fit donc un point avec l'aiguille entre le pouce et l'index de la main droite de Maitre Zaël, dans le petit creux entre les deux doigts. Et fit de même sur la main gauche cette-fois ci, de Leïna.

Pendant l'acte le Maitre de cérémonie tout en chuchotant précisa:
- Maitre Zaël et sa Soumise Leïna ont choisis l'encre noir afin de marquer sur leurs corps cette journée à jamais, car le BDSM est un engagement de corps, d'âme et d'esprit. Par ces deux points respectifs, chaque fois qu'ils seront en difficultés, ou à l'inverse très heureux, ils devront se rappeler qu'en se donnant la main, leurs points seront côte à côte et qu'ils seront ainsi plus fort face à l'adversité, mais aussi plus heureux en partageant leurs réussites.
Une fois les points ancrés dans leur peau, on défit la chaîne qui les liait. Elle fut remise dans l'écrin rouge du début de cérémonie, afin comme le veut la tradition , que celle-ci soit offerte à un autre couple qui ne pourrait l'utiliser que dans l'unique condition où ils feraient eux aussi une telle cérémonie. En effet une chaîne de mariage BDSM ne sert qu'à cela et se doit chaque fois d'être offerte à un autre couple comme le plus grand des trésors à perpétuer. Leïna a sa petite idée de à qui l'offrir, mais cela, elle ne l'écrira pas dans cette histoire. Pour finir le Maitre de cérémonie prononça alors les paroles tant attendues:
- Je vous déclare à présent mariés Soumise Leïna et Maitre Zaël pour l’éternité , vous pouvez fesser la mariée... Heu pardon embrasser la mariée. 

Alors tout en lui assenant une douce caresse sur les fesses, Zaël embrassa Leïna, et il glissa son autre main dans la sienne afin que leur deux points se retrouvent côte à côte. Épanouis comme jamais, ils savourèrent leur bonheur, et avant de partir trinquer avec leur amis, ils se promirent de vivre heureux et d'avoir beaucoup d'enfants... Dans un dernier "je t'Aime" ils s'embrassèrent, lèvres contre lèvres, âme contre âme, corps contre corps, cœur contre cœur
 



Lee.

jeudi 18 septembre 2014

Pour le plaisir d'une bonne fessée...


Un crescendo parfait !
(Dégradé de couleurs d'un fessier qui rougi..)


La fessée parfaite est pour moi un tout. Un mélange de choses essentielles. Comme le fait d'être sermonnée, de sentir cette pression monter. Sentir que notre fessier chauffe progressivement, que les claques s'accélèrent, que ses doigts frôlent nos fesses incandescentes afin d'abaisser notre culotte. Sentir sa paume sévère qui malaxe, la fesse, la caresse, la frappe de part en part. Sentir nos jambes qui gigotent. Notre poignet enserré dans son autre main. Se sentir maintenue sans échappatoire. Avoir mal et aimer qu'on nous l'impose. Pleurer, gigoter, couiner. C'est tout ce mélange de sensation qui la rende si jouissive...

Je vous ai donc pour l'occasion sélectionné une petite vidéo publiée récemment par spankin_daddy. Ce n'est pas la première fois que je vous partage une vidéo de ce Monsieur mais faut dire que le bougre je le trouve assez doué. Il habiterais moins loin je passerais bien lui rendre une petite visite moi. Parce que être fessée ce n'est pas seulement dire dès que je couine tu t'arrêtes. Parfois on pleure mais on à quand même envie qu'il continue, à condition d'être câlinée à la fin. Je sais que cette vidéo est punitive, mais je l'adore, elle m'a beaucoup troublée. Bien sur elle doit faire mal, mais adepte de discipline domestique, elle me fait chavirer.

Et le bonus de cette vidéo, hormis que la demoiselle à un fessier appétissant et qui rougi à merveille; c'est que non seulement elle à l'air de prendre son pied, vu les "tsss" qu'il fait à la vue de l'état de sa petite culotte; mais en prime il finit le tout à la brosse. Une vrai brosse en bois, large , à l'ancienne et bien lourde. Oh oui, la raclée doit être douloureuse, mais il la maintient si bien, que je suis désolée mais moi ça me fait envie... Je finirais surement à couiner comme elle, mais j'adore, je trouve même que la séance de brosse est un peu courte... Et le pire c'est qu'il la fait compter le bougre. En fait ce que je préfère dans toute cette vidéo c'est qu'il la vie avec elle, il y à une interaction , elle n'est pas juste passive et lui n'est pas un métronome abattant sa main. Ils sont en lien, dans une bulle, il y à une émotion forte entre eux. Voilà en espérant qu'elle vous plaira autant qu'à moi.


Pour le plaisir de la brosse,
Lee.




lundi 15 septembre 2014

Et si c'était le destin...



Il n'a pas de mots...





 Cette terrible impression d'avoir rêvé.
Comme un songe d'une nuit d'été.
Comme si tout avait été effacé.

Et pourtant autour de son cou un collier.
Ébène de sa couleur il lui encercle le cou.
Eux seuls savent tout ce qu'il signifie.

Elle l'a offert sans prévenir, pour les surprendre.
Il l'a noué autour du cou de leur petite protégée.
Humblement et émue, elle s'est soumise. 

Un cadeau qui n'a pas de prix.
Une aventure humaine qui l'a saisie, 
Un million de prières ne suffiraient pas à leurs dire merci.

Rien ne les prédestinais à ce hasard.
Ils viennent de lui faire le plus beau des cadeaux.
Ils ont partagé la générosité de leur âme.

Elle pleure toute émue.
Elle sourie tout heureuse.
Jamais on ne lui as autant réchauffé le cœur. 

Et si c'était le Destin....






A deux ailes.
Lee.

samedi 6 septembre 2014

Les drôles de Z'azar de la vie...


Mon doux Saphyr *


Parfois il arrive que le hasard soit surprenant. Que dans notre recherche des plaisirs, on tombe sur des êtres à part, des perles rares. Pas de celles qui nous feront forcément plier le genou comme un vœu d'obéissance. Simplement une rencontre pleine d'humanité, de celle qu'on croise rarement dans sa vie et qu'on oubliera jamais. Une personne au grand Cœur qui donne tout sans ne jamais rien demandé en retour, son bonheur c'est celui des autres. De si belles qualités, qui deviennent invisibles tellement ce don de soi est pure et intégré par ceux qui l'entourent. Admirative, espérant suivre tes pas, sans jamais effacer tes traces, je te regarde avec bienveillance. Rien qu'une fois, je voudrais crier haut et fort que je te vois, et au nom de tous ceux qui ne te l'ont jamais dis, je te remercie, ce poème que j'ai écris pour toi, parle pour moi...

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Les joyaux les mieux cachés sont souvent les plus précieux.
J'en ai trouvé un bien caché, comme si on avais voulu le punir.
Tandis que l'or se pavane, arborant son orgueil facétieux.
Mon joyau est là pour l'admirer, l'applaudir, et le soutenir.
Tandis que le rubis de sa braise rouge séduit odieusement
Mon joyau le suit docilement ravie de son épanouissement.
Tandis que le diamant brille de ses milles facettes scintillantes
Mon joyau essuie la moindre trace qui rayerais ses couleurs brillantes.
Tandis que l'émeraude écoule ses reflets d'eaux précieuses
Mon joyau se cache docilement pour ne pas faire l'ombrageuse.
Tandis que l'ambre vante ses vertus comme une religion méconnue
Mon joyau hoche la tête avec sincérité sans idées obtues.
Mais qui s'occupe de ce joyau caché et aux autres si dévoué ?
Suis-je la première à voir , à tomber amoureuse de ses reflets?
Son grand cœur pourtant si généreux et si précieux serait-il invisible ?
Suis-je donc la première à la colorer de mon regard si sensible ?
Alors je serre le joyau contre ma poitrine pour lui rendre son mérite
Et je chuchote la promesse que moi je lui rendrais cet inégalable mérite.
Mon doux Saphyr.

 

* Certains accords sont au féminin au lieu d'être au masculin, il s'agit là d'un choix volontaire de ma part.
 

Lee.
 

mardi 2 septembre 2014

Désillusions.

 
 
Jamais je n'ai été autant respectée et sublimée que dans le BDSM.
A la hauteur des désillusions de ce monde.
 
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