La belle et la bête
Notes: Et oui encore et toujours... J'ai mis milles ans à publier la suite... On ne changera pas une chipie qui gagne n'est ce pas ?! J'espère simplement que vous ne vous lassez pas de Kyara, même si personnellement, je ne vais pas vous cacher, que j'aimerais prochainement, d'ici quelques mois mettre le point final à cette histoire, afin d'avoir le temps d'écrire tout un tas d'autres choses. J'aime ces personnages et ce qu'ils racontent, mais entre la première ligne et la dernière, j'ai moi aussi pas mal évoluée.. Et par conséquent Kyara aussi. En espérant ne pas vous décevoir, je vous dit à très vite pour la suite ! Et bonne rentrée à tous ! Soyez sage !
Lee qui file ranger sa chambre,
O tragédie, O désespoir, que je déteste ça...
*****
Chapitre 23: Philosophie de la fessée
Narrateur: Monsieur
Samedi 25 juillet
Qu'elle ne fût pas ma surprise d'apercevoir ma petite ingénue dans le hall d'entrée à 17h pile, prête à aller faire ses excuses à Sandra. Moi qui pensais qu'elle était prête à faire ses valises pour de bon, une chape de plomb s'envola de mes épaules quand je fus rassuré que son départ n'était pas pour tout de suite.. J'aimais sa présence dans ce grand manoir où la solitude me pesait parfois. Et son sourire si joyeux, cette petite fossette au coin de l’œil lorsqu'elle rit, ses petits yeux si pétillants, me réchauffaient le cœur chaque fois que je la voyais. Lorsque je vins à sa rencontre dans le couloir, je lui expliquais que Sandra se portait beaucoup mieux mais que malheureusement, nous allions reporter notre visite, car elle avais un empêchement professionnel. Je proposais donc à Kyara d'aller marcher dans le parc ce qu'elle accepta timidement. Au début? le long des allées de thuya, nous n'échangions pas le moindre mot. Seul un pivert caché dans des branches d'arbre, et le bruit du vent dans les buissons agrémentaient notre ballade d'une douce mélodie. C'est finalement elle qui pris la parole au détour d'un pommier:
- Monsieur... Vous êtes fâché ?
- Non Kyara je ne suis pas en colère, je suis plutôt contrarié par ce qu'il s'est passé, et j'aurais aimé comprendre, mais puisque tu m'a dis dans le hall tout à l'heure que tu ne t'expliquerais qu'avec Sandra et bien je n'ai d'autres choix que d'accepter ton silence n'est ce pas ?
- Heu...oui.
- Cependant je suis assez fière que tu ai pris cette décision même si tu n'échapperas pas à la sanction que je t'ai promise pour ton attitude.
- Oui. dit elle contrite.
Nous continuions à marcher, à présent dans une petite allée de graviers bordée de lavande. Près de là où je l'avais punie à la canne la première fois, à cette idée un délicieux frisson parcouru mon corps mais je m'auto-sermonnais dans ma pensée aussitôt, considérant cela déplacé. De nouveau un silence de quelques minutes s'était installé quand elle reprit:
- Monsieur ?
- Oui Kyara ?
- Vous savez....
Elle s'était arrêté de marcher et triturais ses pieds dans les graviers, le regard vers le sol, n'osant plus me regarder et semblant très intimidée.
- Oui..
- Je...comme vous m'avez demandé...ben j'ai réfléchis... à ...voilà... une sanction... enfin une punition... Pour mon attitude avec Sandra... a ce que je ...
Je fus étonné qu'elle prenne l'initiative du sujet et l'invitai à poursuivre.
- Et bien jeune demoiselle je trouve votre démarche très courageuse, je vous écoute.... A quoi avez vous pensé...
- Ahem... ben je sais pas trop comment dire.. je...
Elle rougissait, et ses joues viraient au rouge écarlate, et cela était si troublant, impossible de retenir ce trouble en moi, j'aimais tellement la voir gênée et vulnérable ainsi... Je savais pertinemment que de tels sentiments m'étaient interdits mais c'était plus fort que moi, incontrôlable.
- Je sais à quel point il est difficile de demander sa punition soit même Kyara, mais je suis un homme patient, je suis sûre que tu vas réussir à prononcer ton idée...
- Ahem... et bien j'ai pensé à .. uhhh...
- ....
Elle prit une grande inspiration et dit à voix basse:
- Je mérite....Je mérite une.. une fessée...
Sa réponse me laissa pantois, je m'attendais à tout sauf à cela. Certes il lui était déjà arrivée de me demander de la punir à sa demande lorsque j'avais voulu la mettre à la porte pour avoir griffé le visage d'Anna.. Mais... quand je lui avais suggéré de trouver une sanction ce n'était pas à cela que j'avais pensé...
- Et bien Kyara je suis surpris lui dis-je, tandis qu'elle continuais de triturer ses pieds dans les graviers comme une gamine honteuse. Je t'avoues que quand je t'ai proposé une sanction en plus de t'excuser auprès de Sandra, je ne pensais pas forcément à cela, plutôt à une rédaction sur le sujet, et à une corvée comme laver les boxs des chevaux... Mais si tu penses que c'est ce que tu mérites...
- Et bien je... je sais que vous avez été gentil avec moi... parce que... je n'ai pas expliqué pourquoi j'ai agis comme ça... mais...
Les mots semblaient bloqués dans sa gorge, et cela avait l'air de lui demander un effort surhumain de m'avouer tout cela et je trouvais cela si attendrissant.
- Mais ?
- Mais... je ... je sais que j'ai blessé Sandra volontairement... Et qu'ensuite je vous ai inquiété d'être partie...et la brûlure de méduse s'est douloureux, je le sais... Je veux dire, je sais que mon attitude est assez grave quand même... et je ne veux pas être ce genre de personne...
- Je suis content que vous m'avouiez cela jeune fille, cependant je pense effectivement qu'il faut marquer le coup, pour que la leçon soit apprise. Hors trimer huit heures pour laver des boxs de chevaux cela laisse le temps de réfléchir ... Donc si je vous donne une fessée... elle sera sévère... J'espère que vous en avez conscience...
A cet instant je la vit resserrer les cuisses sous sa jupette bleue comme si elle essayais de devenir invisible.
- Oui Monsieur je sais... J'ai peur mais je sais... je....
- Très bien Kyara si c'est ce que tu veux. Tu seras punie ainsi...
Je lui laissais quelques secondes pour bien assimiler ce que je venais de dire et repris:
- Voilà comment ça va se passer. Comme je considère que tu dois sérieusement réfléchir à ton attitude, tu seras en pénitence toute la soirée... est ce que c'est bien clair ?
- Oui Monsieur. dit elle la voix tremblotante.
- Kyara, regardez moi quand je vous parle, assenais je fermement reprenant de l'autorité.
Elle leva yeux en se mordant une lèvre.
- Vous allez donc filez tout de suite dans votre chambre et me faire votre devoir de philosophie qui était prévu pour demain, aujourd'hui. Et je vous ai trouvé un sujet parfaitement adapté à votre cas qui s'intitule: "la violence porte t'-elle atteinte à la liberté ?". Vous pourrez entre autre utiliser les textes que nous avons déjà travaillé ensemble, en revanche pas de recherches internet; je veux tester vos connaissances et au passage faire le point sur où vous en êtes du cours de philo. Et soit dit en passant chaque faute d'orthographe sera sanctionné. Je veux deux copies double. Vous avez 4 heures. Anna viendra vous amener votre repas dans la chambre.
- Oh pas une dissertation... sérieusement ?
- Je vous demande pardon Kyara dis je en colère, en approchant mon visage du sien.
Gênée elle détourna le regard.
- C'est pas ce que ... ce que je voulais dire Monsieur c'est juste que...
- Il n'y à pas de c'est juste que, Kyara ! Vous être punie à votre demande, maintenant vous baissez les yeux et je ne veux plus entendre un mot. Vous aurez une fessée, et un supplément si vous laissez des fautes d'orthographes. Et c'est quatre heures et pas une minute de plus, est ce que je suis clair ?
Elle soupira.
- Oui Monsieur.
- Et tu arrêtes de souffler.
Elle leva les yeux au ciel.
- Très bien Kyara, tends tes mains, dis je en dégrafant ma ceinture.
Le visage de Kyara devient livide et ses yeux s'arrondirent dans ma direction, apeurée.
- Obéis !
Le visage triste elle tendis les mains, silencieusement
- La paume vers le haut, mains tendues assenais-je.
Elle exécuta les bras mal habile presque tremblotante. Je glissais ma main sous sa main droite pour la repositionner, et frappais d'un coup sec dans le creux de la sienne. Aussitôt, elle la retira en la secouant comme pour ôter la douleur.
- Tu replaces ta main immédiatement, ce n'est pas fini. J'étais décidément intransigeant.
- Monsieur...
- Kyara obéis, ou c'est les fesses à l'air que tu vas finir, ici au beau milieu du jardin, sur mes genoux.
Sa lèvre se mit à trembler, et elle replaça sa deuxième main tendu devant elle. Je frappais alors un deuxième coup dans la même main et elle ne bougea pas. Je pris sont autre main et lui donnais deux coups de ceinture bien appliqués également. Ses petits yeux verts se remplirent de larmes sans en laisser couler une seule.
- Tu peux ranger tes mains Kyara lui dis-je avec douceur.
- Merci Monsieur souffla t'elle.
-Bien.
- As tu des questions sur ce que tu dois faire à présent ?
- Non Monsieur dit elle.
Je sentais qu'elle avais leur gros, alors je lui déposais un baiser sur le front, ce qu'il la surpris et fit apparaitre un demi sourire contrit sur son visage.
- Allez file t'a du boulot. Et elle disparue au loin en trottinant vers la tâche que je venais de lui confier.
Quelques heures plus tard j'entrais dans la chambre de Kyara qui était studieusement attelée à sa tâche, et croquant dans un sandwich. Je m'assis sur le lit le temps qu'elle se relise et insistais sur le fait que je ne voulais voir aucune fautes d'orthographes. Elle s’exécuta consciencieusement. Je lui demandais alors d'aller se mettre au coin, mains sur la tête, tandis que je relisais sa copie. Le développement de son sujet était très pertinent et elle s'était inspirée de théories des philosophes des Lumières qui correspondaient parfaitement au sujet donné, j'étais impressionné. Pendant ce temps je la voyais s'impatienter dans le coin, essayant de maitriser son impatience. Je comptais toute fois près de 53 fautes d'orthographes. Après un long moment, je lui demandais de venir près du bureau sur lequel j'étais assis entrain de relire sa copie. Elle avançais à petits pas en se triturant les mains, les yeux rivés au sol.
- Bien Kyara, le devoir est bon mais il reste 53 fautes d'orthographes. Alors tu vas te pencher sur le bureau et relire ta copie, et je vais t'aider à les corriger moi, jusqu'à ce que elles s'imprègnent dans la peau de ton derrière.
- Oh Monsieur...
- C'est pas toi qui m'a demandé d'être punie par une fessée Kyara ?
- Si mais...
- Mais quoi ? Tu croyais que j'allais être tout gentil parce que c'est à ton initiative ?
- Ben...
- Oh crois moi jeune fille tu vas pleurer.
Elle se mordit la lèvre à nouveau. Je la penchais sur le bureau, relevais sa jupe, et la coinçais dans sa petit culotte noir. Je pris ma ceinture et lui intimais de faire la lecture.
- Je lis ? Heu... à haute voix ? demanda t-elle ses fesses tendues toujours penchée en avant sur le bureau.
- Oui tu m'a très bien compris. Je veux que tu me lise ta copie.
- Heu d'accord ok...
Elle pris une grande inspiration et commença:
- Depuis l'apparition de l'homme "a" la préhistoire, la violence a toujours existé..
Je lui assenais un coup de ceinture qui la surpris et lui coupa net la parole.
- Il y à un accent sur le a, car c'est une préposition que tu ne peux pas remplacer par le verbe avoir. Continue.
- Je...
- Obéis Kyara, continue la lecture.
Elle semblait déstabilisée mais repris.
- ... à toujours existé que ce soit au travers de guerres, de conflits "familliales"...
Un deuxième coup cingla son derrière rebondi, ce qui la coupa net à nouveau. Elle encaissa le coup en soufflant comme si cela lui demandais un effort.
- On dit familiaux, c'est au pluriel. Reprend.
Et ainsi de suite, elle relue toute sa rédaction qui fut parsemée de 53 coups de ceintures sur sa petite culotte, ce qui laissais de magnifiques traces rouges, de plus en plus écarlates au fil du temps. La ceinture étant un objet de punition sévère, je vérifiais toutefois de lui laisser le temps de récupérer entre chaque coup et modérais un tant sois peu l'impact de mes slaves de cuir. La lecture fut longue et pénible pour elle. Elle arriva au bout les larmes aux yeux, qui finirent par rouler sur sa copie.
- Bien relèves toi.
Penaude elle se tourna vers moi. Je m'assis sur la chaise de son bureau et la positionna face à moi.
- Bien maintenant je vais te donner une fessée déculottée sur mes genoux comme une petite fille désobéissante, jusqu'à ce que tu pleures toutes les larmes de ton corps et que j'entende des excuses sincères sortir de ta petite bouche. Maintenant je veux que tu baisses ta culotte, en me regardant droit dans les yeux.
- Oh Monsieur... Je suis désolée je vous en prie, j'ai compris. Je vous demande pardon, je le ferais plus.
- Ça ne me suffit pas , baisses ta culotte tout de suite.
Je lui assenais une claque sur la cuisse. Lentement à nouveau les yeux embuée de larmes elle la descendit lentement et maladroitement. Je la couchais alors sur mes genoux et entama la fessée sur ses fesses déjà flamboyantes. Rapidement elle glissa sa main, pour m'empêcher de lui claquer le postérieur, et je lui bloquais aussitôt dans le creux du dos. Des petits gémissements sortaient du fond de sa bouche et ses fesses rouges comme deux grosses fraises juteuses se dandinaient pour amortir l'impact des coups.
- Monsieur pardon je suis désolée...
Clac, clac, clac.
- Il fallait y réfléchir avant, sur la plage.
- Je ..
Clac clac clac clac clac clac.
- Je (clac) ne supporterais pas (clac) que tu (clac) continue (clac) à te comporter comme (clac) une gamine désobéissante. Et chaque fois (clac) je te mettrais (clac) une fessée déculottée (clac) sur mes genoux (clac) jusqu'à ce que la leçon (clac) soit apprise. Tu devrais (clac) avoir honte, que je sois obligé (clac, clac) de te mettre une fessée, (clac) déculotté (clac, clac) à ton âge ! dis je d'une voix hachée et essoufflée entre chaque impact de ma main brulante sur ses fesses.
Elle se mit à pleurer.
- J'aurais pas du je sais... dit elle d'une voix sanglotante. Promis (clac, clac, clac) je le ferais plus... (clac)... je suis désoléééééé... Je voulais lui faire mal... c'est vrai elle.. (clac, clac, clac) elle m'agaçais dit elle en ayant du mal à reprendre son souffle. Monsieur (clac, clac...) je vous décevrais plus... pardonnn... pardon.. dit elle en pleurant, éteinte.
Je lui donnais encore une dizaine de claque très appuyées et cessais enfin en relâchant ma prise. Je passais une main sur son derrière brûlant et me mis à le caresser. Elle était là sur mes genoux, et s'était complètement abandonnée, s'était si attendrissant. J'avais tant envie de la caresser, mais je me retint. Puis je la relevais et la pris sur mes genoux pour la blottir tout contre moi. J'avais l'impression que cela faisait si longtemps que je ne l'avais pas tenue ainsi pelotonnée contre moi. J'humais l'odeur de ses cheveux qui sentait le miel et l'orange et attendit patiemment qu'elle se calme...
( A suivre...).
très heureuse d'avoir enfin lu la suite . dis donc coupine il y a beaucoup de fautes ! (oui je sais c'est l’hôpital qui se fou de la charité ) rires attention a la féssée ..
RépondreSupprimersuper récit j'adooooooooooooore
oui je sais, pour les fautes c'est la loose, en plus il y à une big erreur avec la préposition du A pour laquelle Kyara se fait punir du coup ça casse tout. Je vais le modifier dès que j'ai deux min... Tanpis. Merci ma poulette bisouille !
SupprimerBonjour Lee,
RépondreSupprimerJe suis ravie de te revoir ou plutôt de faire ta connaissance. Je me permets de te tutoyer, non par manque de politesse mais plus par facilité par rapport à ce qui va suivre. J’espère que cela ne te blesse pas…
J’ai découvert ton blog il y a quelques mois maintenant, par le biais de « Au fil des jours ». Je suis tombée sur un texte « Fessée d’anniversaire » et j’ai un peu halluciné ! Je trouvais que l’écriture était bonne, le texte fluide, les sensations allant crescendo et les dialogues bien trouvés. Même si trop de fautes d’orthographe à mon goût…Mais bon, on ne peut pas être douée en tout… Le pseudo Luciole m’a fait sourire aussi. Et je me suis arrêté là…J’ai mis ton blog dans mes liens favoris en me disant que je reviendrais sans doute un jour. Et en faisant du nettoyage sur mon ordinateur, je suis tombé dessus et sur le lien du texte de la fessée d’anniversaire. Je l’ai relu en prenant vraiment le temps cette fois-ci et au fur et à mesure de la lecture, j’ai eu un choc, mais un vrai choc…
Il y a dix ans, j’ai rencontré mon partenaire de jeux, mon amant et enfin Celui qui deviendrait mon Maître. Et quand on s’est rencontré, j’avais pour pseudo Luciole et j’avais 23 ans…et ce texte m’a catapulté dix ans en arrière car au-delà de ton histoire à toi, je me suis retrouvée à 200 % dans tes attitudes, dans les piques que tu envoies, dans ta provocation, tes bouderies et dans ton amour pour l’autre. Et c’était très déstabilisant pour moi de lire les propos de quelqu’un d’autre qui collaient parfaitement à ce que j’étais à l’époque à tout point de vue. Je me voyais à ta place. Aujourd’hui, j’en ai dix de plus et je suis devenue Kamalika. Luciole reste un souvenir…
De plus l’attitude de ton Maître était appropriée car j’ai eu droit à certaines réflexions similaires…Et du coup, j’ai vraiment adoré ce texte. J’y lisais une partie de ma vie avec les mots de quelqu’un d’autre et ce miroir de moi-même a été vraiment stupéfiant. J’ai compris que tu n’écrirais pas la suite, vu le temps qui a passé maintenant…J’aurais bien aimé savoir comment ce week-end d’anniversaire s’est terminé, mais je comprends aussi tes autres envies et/ou obligations.
Bonjour Kamalika,
SupprimerAucun problème pour le tutoiement, je suis pas du tout le genre guindée. Je suis très touchée par ton message et ravie que tu t'y sois retrouvée. Tu as l'air d'avoir acquis pas mal d'expériences depuis.
Pour l’orthographe je sais... On est pas très copine elle et moi. Mais mon Maitre est entrain d'y remédier... Et faut que je le retouche cette épisode de toute façon.
Pour l'anniversaire de Luciole, bien sur que la suite viendra... Mais tu t'en apercevras vite, je mets souvent beaucoup de temps à publier les épisodes, car j'ai souvent du mal à être sur tout les fronts en même temps, aussi bien dans ma vie "normal" que BDSM. Donc avec un peu de patience, promis tu auras la suite.
Merci pour ce long et gentil message,
Bonne rentrée,
Lee.
Je n'ai pas spécialement pour habitude d'envoyer des fleurs, juste pour envoyer des fleurs...(je préfère en recevoir et les humer, lol) mais je ne pouvais pas passer à côté de tes écrits sans t'en parler (un peu, beaucoup...)...sourire...
SupprimerJ'imagine bien que tu ne peux pas être sur tous les fronts et remarque, moi non plus ! C'est humain finalement ! Mais je suis une femme (soumise) et lectrice patiente...donc je sais que je prendrai plaisir au moment où quelque chose apparaîtra sur ton blog.
D'ici là, belle rentrée à toi et demande à ton Maître de trouver des techniques peut-être un peu plus "radicales" ou alors plus pragmatiques pour t'éviter trop de fautes...Je ne sais pas si je dois te plaindre ou t'envier pour le coup...rire...
Et si vraiment, c'est avec plaisir que je pourrais te corriger tes textes avant que tu ne les publies si tu le souhaites...(sans punition ou autre derrière...lol et ne crois pas que je souhaite prendre la place de ton Maître, j'ai déjà fort à faire avec le mien...sourire...)
A plus !
Merci pour la gentille proposition de correction des fautes, et promis si un jour je suis trop en galère je n'hésiterais pas... Pour l'instant Mon Maitre, qui est un pro de l'orthographe n'a pas trop le temps, mais dès qu'il le pourra je suis sure qu'il s'en donnera à coeur joie, pour me fustiger le derrière, tandis que je suis penchée sur le bureau entrain de corriger les fautes dans mes posts....
SupprimerCe n'est pas pour me plaindre, mais c'est vrai qu'un tel blog prend un temps fou, et j'ai de plus en plus de lecteur, et de commentaire... Alors poursuivre tout les récits entamées pour ne pas décevoir les lecteurs qui me suivent, répondre aux commentaires, trouver les photos, visiter les autres blogs, répondre aux mails de Lee, ça me prend un temps de dingue, chose qui me manque souvent cruellement...
En tout cas les fleurs que tu m'a envoyées sont magnifiques, je les ais mise soigneusement dans un vase. Et j'apprécie particulièrement ta critique parce qu'elle est à la fois touchante et sincère... Au sens, où les gens me compliment certes, mais ils ont souvent peur de me dire, ou de m'écrire les points négatifs... Or si ils sont justifiés comme pour les tiens, au contraire, ça me permet de progresser, et cela compte beaucoup pour moi...
Merci,
Au plaisir de te recroiser à nouveau ici ou ailleurs,
Lee
Le texte m’a « travaillé » quelques temps et je suis venue le relire. Puis j’ai exploré ton blog, j’ai lu d’autres articles. Je trouvais que tu écrivais vraiment bien, c’est un style qui me correspond parfaitement. Les images sont toujours très bien trouvées, les vidéos aussi (soit dit en passant, celle du 31 août est juste sublime !). Un choc aussi en lisant les sms que tu Lui a envoyé en étant bourrée, car pour le coup, je venais de faire la même chose quelques jours avant…Je me suis dit : « ce n’est pas possible, cette nana va me rendre folle avec ses textes !» Rire…
RépondreSupprimerUne fois que j’avais tout lu tes articles, il ne restait que le texte de « La Belle et la Bête ». Et je t’avoue franchement que je n’avais aucune envie de venir lire 22 épisodes d’une histoire tirée de Walt Disney et remixé en version spanking et /ou bdsm. Disons que le titre et la photo du dessin animé ne m’ont pas du tout donné envie. Je suis restée figée dans cette impression de remix. J’avais déjà eu l’occasion de lire ce genre de choses et cela ne m’avait pas plu.
Du coup, j’étais un peu déçu qu’il n’y ait pas plus d’articles sur ton blog car je m’ennuyais du coup. J’avais quand même remarqué que les commentaires concernant « La Belle et la Bête » étaient souvent « On attend la suite Lee ! ».
J’ai mis un moment avant de venir prendre le temps de lire ce récit. Je me disais que tout ton blog était intéressant alors pourquoi refuser de lire ce récit ?
Je me suis donc lancée et là, comment dire…je me suis prise une gifle en pleine figure ! Je m’en suis vraiment prise plein la gueule ! et ce, dès le premier chapitre ! Ca a été pour moi un texte révélateur de toutes mes envies, de tous mes fantasmes et de tout ce qui faisait que j’aimais lire tout simplement…J’ai beaucoup lu sur le sujet, voir dévoré un nombre incalculable d’ouvrages, mais cela faisait vraiment très longtemps que je n’avais pas lu quelque chose d’aussi bon. J’ai commencé à lire en début d’après-midi et je ne voulais rien faire d’autres tant que je n’aurais pas fini les 22 chapitres existants ! J’ai terminé vers 17h et je suis partie marcher car ce récit avait été trop intense pour moi, il fallait que j’évacue un trop plein…de bonheur, de perplexité, d’envies, d’hallucinations et de peur aussi…Car oui, cela m’a fait peur de trouver (enfin) un texte où il y a tout ce que j’aime presque sans exception.
Je suis flattée, que le texte de la belle et la bête t'es autant emportée... Je vais rougir si tu continues... Merci pour tout ces compliments, même si je pense personnellement pour avoir lu moi même de nombreux autres récits, que je n'ai pas une plume particulièrement magique, même si j'aime écrire, inventer, mettre en mots mes fantasmes....
SupprimerEt si je les publie c'est justement pour le plaisir de partager et d'échanger avec les différents lecteurs qui viennent gentiment me lire, alors que tu me laisse un si long message détaillé, me touche vraiment. :) Merci .
Pour le coup, je n’étais pas une mauvaise élève, je n’ai jamais eu besoin de soutien scolaire et donc, de ce point de vue-là, je ne me retrouve pas dans l’histoire.
RépondreSupprimerPar contre, pour tout le reste, j’ai trouvé vraiment que ce récit était extrêmement bien construit. J’ai aimé les personnages, les lieux, les degrés de sévérité des punitions, les détails qui changent toute la compréhension de l’histoire, les dialogues (le contraste entre le tu et le vous est très bon, une fois ou deux j’aurais inversé… sourire…pour que la distanciation soit plus nette), les retenues, les attitudes entre les protagonistes, les évolutions personnelles et mutuelles des personnages. J’ai trouvé que tout cela sonnait très juste, était habilement amené à quelques exceptions.
J’ai effectivement un peu tiqué sur certaines réactions où je me suis dit, « ça ce n’est pas tout à fait crédible ça, ça semble surjoué…ou là, ça manque un tout petit peu de cohérence…» mais sur 22 épisodes, c’est vite oublié. Car il y a beaucoup de surprises dans ton récit. J’ai envie de lire des choses et je les trouve là où je veux en règle générale mais parfois il y a des moments de pure intensité où je me dis que là « chapeau ! elle m’a prise de court la nana, trop fort ! »
Et ce que j’aime par-dessus tout dans ton récit est le fait qu’il n’y ait pas de tabou. Pour avoir lu de nombreuses choses, je remarque que tout le corps humain peut être source de plaisir et de punition mais la plupart du temps, la gifle reste l’élément tabou. Personne ou très peu de personne se permettent de raconter, décrire ou même mentionner la gifle dans un texte. Et toi tu es capable d’en « coller » deux d’affilé parce que Kyara a griffé Ana au visage…sans aucune gêne. J’adore ! Il y a une forme de violence calculée qui est dérangeante la plupart du temps et qui ici passe très bien. Ta violence n’est jamais gratuite mais elle est cinglante dans tes mots et dans leurs attitudes respectives. En plus, pour ma part (et ce n’est que mon avis) je trouve que la gifle a un impact souvent plus grand que la fessée. Moi, elle me transforme si je viens à en recevoir une de mon Maître. Donc voilà peut-être aussi pourquoi j’aime la lire dans ton récit.
J’ai donc dévoré les 22 chapitres comme une affamée (sourire) et j’ai attendu que tu reviennes de vacances…pour avoir la suite. Je suis venue tous les jours sans exceptions durant l’été pour voir si tu avais mis quelque chose de nouveau. Et je suis toujours aussi heureuse de retrouver la suite de leurs aventures même si pour ce chapitre 23, il y a vraiment de très grosses erreurs à mon goût qui m’ont un peu gâché la lecture.
Je ne sais pas si tu fais des brouillons avant de venir poster ton article ou pas, mais pour ce chapitre-là, il y a beaucoup de mots qui manquent ou qui ne sont pas les mots exacts (ça se voit de suite si tu relis le texte), on sent que cela a été vite écrit ou recopié, il y a, je trouve, vraiment beaucoup (trop) plus de fautes d’orthographe que d’habitude et il y a une énorme erreur (à mes yeux bien évidemment) dans la narration.
Ben figures toi que je l'ai relu, mais j'étais tellement fatigué que je crois que j'ai vu les fautes sans même m'en rendre compte... Et c'est vrai que je viens de recorriger le texte à l'instant, et en me relisant, mon Dieu... Tu as raison, il manque des mots, il y à des grosses erreurs de ponctuation et je devais surement penser à plusieurs choses en même temps en l'écrivant car parfois ce ne sont même par les bons mots dans la phrase... Shame on me... Je suis navrée... En plus je suis bien d'accord ça casse la fluidité de la lecture.
SupprimerJe ferais plus attention, c'est promis !
En effet, Kyara a fait 53 fautes d’orthographe. Or, dans le premier exemple que tu cites, ce n’est pas du tout une faute d’orthographe ! On ne met pas d’accent sur le « a » car c’est un passé composé et non une préposition. Du coup, Kyara avait écrit sa phrase juste, elle reçoit donc un coup de ceinture pour rien et Monsieur perd en crédibilité…très sérieusement…Je trouve que cela change beaucoup le contexte de l’histoire vu que son but est de faire réussir Kyara à avoir son bac. Son rôle de précepteur est vraiment mis à mal.
RépondreSupprimerBelle surprise en revanche des coups de ceinture sur les mains, je ne m’y attendais pas du tout. Par contre, je suis étonnée du contraste entre la fessée reçue pour avoir griffé Ana et celle pour avoir blessé volontairement Sandra. Dans les deux cas, ce sont des personnes chères à Monsieur et je trouve qu’elles n’ont vraiment pas le même degré de sévérité. Celle-ci paraît moindre en comparaison avec celle reçue pour avoir maltraité Ana. Je ne sais pas si c’est lié au degré de proximité entre Ana et Monsieur et Sandra et Monsieur. Cela m’a laissé un peu perplexe.
Ce récit est diablement intelligent car il donne non seulement envie de lire la suite, de suivre leurs aventures mais il donne envie d’avoir d’autres sortes de réponses aussi…J’aime les passages où elle se rebelle (ça doit rester en moi ça, indéniablement), qu’elle essaie d’une certaine façon d’affirmer qui elle est. Je sais que j’aimerais bien lire un passage où clairement, elle l’envoie chier, elle refuses tout en bloc parce que maintenant, elle sait ce qu’il attend d’elle (donc fini les Monsieur à la fin des phrases, plus de yeux baissés, plus de politesse élémentaire)…bref, qu’elle sente aussi une saturation et qu’elle ose se déchaîner…(Je ne parle pas de son pétage de plomb dans sa chambre qui s’est fini par la douche glacée, car dans cette situation-là, elle s’est faite surprendre par ses propres sentiments qui ont pris plus d’ampleur que prévu…) Dans une sorte de tests de limites en fait, où elle affirme ou tente de réaffirmer ses propres positions…en sachant vraiment maintenant à qui elle a affaire.
Alors je sais que cela n’est sans doute pas possible vu le lien et l’attachement qui les unissent maintenant, mais ça m’aurait bien plu de lire ta plume sous cet angle-là…
En attendant le chapitre 23, je me suis faite la réflexion qu’il y avait pleins de sous-entendus, de choses non expliquées et il est devenu agréable d’extrapoler la suite du récit…
Je me suis demandée comme d’autres peut-être :
RépondreSupprimerQue va-t-il se passer en Kyara et Monsieur ?
Va-t-elle réussir son bac ?
Va-t-il continuer de prendre de ses nouvelles une fois rentrée chez elle ?
Capucine va-t-elle aussi faire un coucou ?
Est-ce qu’elle aura de nouveau droit à son portable avant la fin de son séjour ?
Restera-t-elle jusqu’au bout ?
Va-t-il se rendre compte qu’elle est jalouse de Sandra ?
Est-ce que ses parents vont une fois prendre de ses nouvelles ?
Que cache le livre du manoir de Kergoas ?
Va-t-il lui offrir un jour le corset steampunk qu’elle avait essayé ?
Comprendra-t-on pourquoi il a autant de dextérité à lacer un corset ?
Quelle est sa relation aux femmes ? Qu’aime-t-il faire avec elles ?
David va-t-il révéler des secrets puisqu’il connaît Monsieur depuis sept ans ?
David va t-il faire payer à Kyara le fait d’avoir blessé Ana ?
Bref, pleins de questions qui se distillent au fur et à mesure que tu y ajoutes des détails plus ou moins importants. Alors je comprends que tu aies envie de passer à autre chose, que ce récit commence à être peut-être « pesant » pour toi car tu as grandi, évolué, découvert pleins de nouveaux trucs aussi et que tu souhaites pouvoir les partager et les écrire. Mais ne bâcle pas la fin de ton récit…Tu vois bien…il y a trop de questions dans l’air pour que tu les fasses juste s’aimer ou juste se séparer à la fin de l’été sans en savoir plus avant…Prends le temps qu’il te faut, mais termine-le…bien…C’est une demande, une faveur, une requête, une envie, une supplication…
Et continue d’écrire d’autres choses car j’aime tous les à côtés aussi…et comme il semblerait que tu fourmilles d’envies depuis ce début de rentrée…je m’en réjouis d’avance.
Je me suis permise d’imprimer le texte (pour mon plaisir personnel), de corriger les fautes pour ne pas être perturbée dans la lecture en continue et il m’arrive de temps à autre de relire un chapitre au hasard avant de me coucher…alors merci…tout simplement…
Je suis désolée pour la longueur de ce post, je voulais t’envoyer un mail privé mais je n’ai pas trouvé de lien pour le faire. Alors tu es en droit de retirer le post de ton blog si tu le souhaites. C’est vrai que cela n’intéressent peut-être pas tous tes lecteurs.
En tous les cas, merci, belle rentrée et au (grand) plaisir de lire ta/tes suites…
Cordialement
Kamalika
Pour ce qui est de la différence de la sévérité de la fessée entre l'histoire d'Anna et de Sandra, je pense qu'elle est voulue... Pour deux raisons, d'abord parce que pour Anna, c'était vraiment un caprice, une agression pure, violente... Et qu'en plus, Kyara s'est mise en rage...
SupprimerLà c'est différent, Monsieur est attachée à elle, on sent qu'il à la hantise de la perdre et surtout qu'il ne comprend pourquoi, elle à fait ça... Et un dominant qui ne comprend pas le geste de sa chipie, ne peux pas correctement châtier... Et pour le coup, il à cru qu'elle avait fui, puis elle est rentrée froide, distante, ça à coupé l'envie de Monsieur de la punir, ça la refroidit... Et une punition pour un fait similaire, peut être d'une sévérité différente, sans empêcher pour autant que la leçon soit apprise... C'est un choix que je dirais sentimentale au vu du contexte. ^^
L'histoire est loin d'être terminée, et j'y tiens trop et ne comptes certainement pas la bâclée, mais il est vrai que je commence à songer à la fin, ce qui signifie à mon avis, au vu de tout les détails que j'y ai glissé encore une bonne vingtaine de chapitres... Donc pas d'affolement, rires. Je tiens à cette histoire car elle correspond, au fil rouge, qui à permis à Lee, c'est à dire moi, de grandir et de s'épanouir, pas d’inquiétudes à ce niveau là... Et les intrigues parallèles vont continuer, c'est promis....
Aucun problème pour ce long message, qui m'a beaucoup touché, on m'en à peu écris des comme ça, je me suis d'ailleurs permis de publier ton argumentaire, que je trouve assez juste et pertinent et qui du coup me fait beaucoup réfléchir à mon histoire... A la fois cela remet en question beaucoup de choses, et en même tu m'a donné très envie de continuer à écrire...
Merci milles fois Kamalika,
Bon weekend,
Lee.
Très jolie suite. En revanche "la violence a toujours existé" s'écrit bien ainsi. On peut remplacer par le verbe avoir à l'imparfait, ce qui donne "la violence avait toujours existé". Le "a" est ici le verbe avoir à la troisième personne ce n'est pas du tout une préposition. Désolée d'insister là dessus, ce n'est pas pour être désagréable mais ce détail m'a complètement coupée dans ma lecture. Bien sûr j'ai pu reprendre ensuite mais la crédibilité du monsieur en prend un coup. A part ça merci d'avoir publié la suite et continue (et fais toi relire par un monsieur sévère !)
RépondreSupprimerUne demoiselle fan de ton histoire
Oui je sais la préposition crains, du coup j'ai modifié, je me suis trompée.. Et il y avait beaucoup de fautes que j'ai essayé de corriger aussi car ça cassais la fluidité de la lecture... Merci d'avoir laissée une trace de ton passage.
SupprimerEt effectivement mon Monsieur commence à songer à me corriger sévèrement pour l'orthographe, aie... ouille je sens qu'il va m'en cuire.
Bonne soirée,
Lee.
Contente de te lire à nouveau, l'été fut long sans les mises à jour des différents blog ;).
RépondreSupprimerUn texte joliment écrit, mais là tu t'es surpassée pour les fautes d'orthographe, on dirait moi quand j'écris un texte en vitesse sans me relire et où Monsieur se fait un mâlin plaisir de me reprendre et de me corriger dans les 2sens du terme. Comme le dit Kamalika, prends ton temps pour écrire la suite parce que toutes les questions qu'elle se pose, je me les pose aussi, j'aime vraiment ton style (mais ça je pense que tu le sais déjà).
Par contre j'espére que ton Monsieur n'est pas déjà passé par là parce que je crois que tu vas avoir le droit au même sort que Kyara, sinon bon courage (rires).
Au plaisir.
Cléa
Ma chère Cléa,
SupprimerRavie de te recroiser par ici... Oui l'été fût long et l'impossibilité pour moi de toucher à mon blog m'a beaucoup manqué aussi. Si justement Monsieur est passé par là hier... C'est bien pour ça que je viens de le recorriger aujourd'hui... :) Je pense que j'en ai loupé quelques unes mais au moins j'ai essayé de modifier les grosses bourdes. Et je ne comptes certainement pas bâclé cette histoire, sur laquelle je me suis autant investie.
Merci pour le soutient,
Bise,
Lee.
Salut Lee,
RépondreSupprimerTu pourrais aussi profiter de cette erreur de la part de Monsieur pour cette faute d'orthographe qui n'en est pas une pour le rendre encore plus humain et qu'elle puisse une fois prendre l'ascendant sur lui. Par exemple, elle pourrait être en droit de lui demander une permission pour quelque chose (genre savoir ce qu'il y a dans le fameux livre du manoir de Kergoas ou une autre sortie mais que les deux cette fois-ci...)
Elle lui montrerait sans le rabaisser que son enseignement a quand même porté ses fruits depuis qu'elle est chez lui puisqu'elle a remarqué son erreur à lui toute seule. Ou alors plus simplement, juste avant qu'il ne décide de lui administrer cette fessée déculottée, elle ose vite lui en faire la remarque et cela changerait ou pourrait changer sa manière de la fesser...
Voilà quelques idées qui me sont venues...
Au plaisir de voir tes modifications...
Bises
Ben du coup, j'ai modifié le texte, pour que ce soit bien Kyara qui est commis une faute d'orthographe et pas Monsieur qui se soit trompé hé hé hé... Idée de Mon Maitre qui est passé par là et m'a demandé de corriger le texte... Même si il l'avait pas demandé je l'aurait fait parce que j'avoue comme le dit Cléa, je me suis surpassé niveau bourdes orthographique, promis je serais plus vigilante car je tiens malgré tout beaucoup à cette histoire...
SupprimerJe voit un peu ce que tu veux dire dans le fait que Kyara s'impose plus, ou déstabilise Monsieur, mais c'est prévu depuis bien longtemps déjà, qu'un moment de ce goût là arrive, mais il aura lieu surement un peu plus tard, à un moment qui j'espère sera clef dans l'histoire.
Amicalement,
Lee.
Très beau récit, Lee. C’est rare de lire des personnages qui ont une réel existence, un poids psychologique, Kyara est vraiment touchante dans ce chapitre 23, on a envie de prendre dans ces bras pour la consoler.
RépondreSupprimerHeureusement Kamalika que vous n’aviez pas l’adresse privée de Lee ! Cela nous aurait privé d’un extraordinaire témoignage d’affinités électives assez troublant…
Je dois avouez que j’ai pris le récit que depuis le chapitre 19 mais je vous promets Lee de lire les 18 premiers. J’aimerais les prendre à rebours, pour découvrir petit à petit l’origine des relations entre Kyara et Monsieur, en même temps ce n’est pas très respectueux de votre travail d’écriture.
Kamilika : votre intransigeance concernant la grammaire vous honore. Pour ma part cela ne me dérange pas trop. Il y en a une faute d’orthographe qui est très mignonne chapitre 22 : « Jeanne n’était pas une enfant de « cœur » », c’est presqu’un lapsus.
Dernière chose Kamilika, mais vous le savez sans doute : La belle et la bête ça n’est pas un dessin animé de Walt Disney mais un conte universel qui existe dans tous les pays et écris en France par madame Leprince de Beaumont
Merci Bertrand pour ce joli commentaire, que j'ai trouvé d'une Bienveillance touchante...
SupprimerEt oui choeur et pas coeur.... Vous avez raison... C'est un jolie lapsus, il est vrai mais bon... En revanche je suis d'accord avec Kamalika pour l'orthographe, un parce que je veux faire honneur à Mon Maitre qui à une écriture impeccable, et deux parce que la forme compte autant que le fond... et quelques fautes c'est pardonnable, mais là le chapitre 23, c'était trop... Mais c'est pas grave, c'est justement l'occasion pour moi de progresser, j'aime les remarques quand elles sont juste et argumentée, ce qui est le cas ici, je ne peux donc que m'améliorer :)
Et chacun est libre de lire ce récit dans l'ordre qu'il le veut, peut être que cela vous donnera une vision différente que celles qu'on les autres lecteurs, qui peut être ma foi tout aussi intéressante.
Merci en tout cas,
Lee.