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samedi 6 décembre 2014

"Cool la vie"...

Les larmes de ton sourire




Quand je pense à toi, c'est ton sourire que je vois,
Une rencontre du hasard une belle soirée d'été,
Je te découvrais sous le fouet mordant ta chair en émoi,
Humble, silencieux, bien mieux que nous tous, tu savais résister.

Un verre, un apéro, une soirée, un martinet, tout en toi était généreux, 
Que ce soit discussions animées, humour, et joyeux moment partagés. 
Qu'il faisait bon de se soumettre à tes côtés,  audacieux;
Qu'il était doux de voir ton ouverture d'esprit emprise d'une soumise liberté. 

Je me souviens de cette soirée, nous 3 assis à nouveau sur ces bancs d'écoliers, 
Provoquant maitresse et pions, les fesses tendues, nos jupons relevés. 
Ce soir là nous avons esquissé toutes les pitreries à venir lors de nos prochaines nuits d'été,
Sous ton air de cancre, studieux, de la classe tu es ressorti diplômé et premier. 

On à trinqué, dansé, festoyé et virevolté au milieux des invités, 
Toi dans ta jolie robe bleue, tout à ton grain si doux de folie.
Je te revoie le lendemain, heureux de ton anniversaire ainsi fêté, 
Posant un baiser sur ma joue, comme une promesse: "on se reverra petite Lee".

Les jours ont passés, impatiente je t'attendais pour nos chaleureuses soirées d'hiver,
Mais sans nouvelles, l'impatience à laisser place à cet inquiétant silence...
Sans prévenir le verglas est revenu, lacérant la vie fragile comme le cristal du verre, 
Dans un souffle glacé ton âme s'est envolée, en nous abandonnant dans ce vide immense... 

Quand je pense à toi, c'est ton sourire que je vois... 
Seulement ce soir je ne le voit pas, car des larmes coulent dans mes yeux... 


*****


Pour certains tu étais l'ami, pour d'autre le soumis, pour d'autre cette fille virevoltante dans sa jupe bleue, cet optimiste, ce compagnon d'infortune, et pour ceux qui t'étaient le plus cher, un père... 
Je ne suis pas de ceux là... Mais à peine rencontré, je voyais déjà la beauté de ton âme, et toutes ces qualités si rares dans notre monde bien trop souvent désillusionné et peu reconnaissant.... Mais je sais qu"il faisait bon de vivre auprès de toi... Je n'ai pas besoin de crier ton nom pour que tu continues à exister... Tu es là dans nos cœurs et pensées à tous... "Cool la vie" comme tu disait... et pour toi je sécherai mes larmes, pour laisser place à un sourire que j'espère digne des tiens... 

Quelques lignes en ta mémoire, à l'image de milliers d'autres; un hommage d'une à peine rencontrée, pour soigner les plaies de ceux qui restent... Quelques lignes de poésie, pour alléger les cœurs, mais qui resteront j'espère gravés en moi, pour ne jamais oublier... Humble, mais un homme qui était à lui seul une leçon de philosophie de vie... 

Repose en paix. 
Tendres pensées à tes enfants. 

Lee. 






mercredi 26 novembre 2014

Pet play (1).

Be my Petgirl !




Note: Pour les adeptes, comme beaucoup d'entre nous, de diverses pratiques BDSM au sens large du terme, il y à une chose fort appréciable de nos jours, de mon point de vue, c'est cette multitude de possibilités et de façon de partager notre passion grâce à internet.On trouve sur la toile des sujets et des sites, vraiment pour tout les goûts. Alors pour une fois je change un peu de mes premiers amours tel que la fessée "classique" pour me tourner vers une pratique plus originale, où tout du moins beaucoup moins partagée et pourtant plus couramment pratiquée qu'on ne le pense. 

Je m'apprête donc à vous parler du Petplay; pour ceux qui connaissent où pratiquent, je serais enchantée d'en apprendre plus à ce sujet, et aurait plaisir à lire et à publier en commentaire ce que vous accepterez de nous faire partager de vos expériences sur ce thème. Dernière petite précision, même si j'y ai ajouté ma touche personnelle et que j'ai remixé le post qui suit à ma façon, cette présentation du Petplay n'est pas de mon fait, mais d'un jeune Maitre croisé au détour d'un forum qui à généreusement accepté, que je puisse partager avec vous son explication de la pratique, sur mon blog. Naphty je vous remercie donc publiquement ;) ! 
 
Bonne lecture à tous, 
Miaou !
Lee.


*******




Le Petplay c'est quoi ?
 

Le Petplay mot anglais, signifie littéralement le "jeu de petit animal". Il s'agit bien entendu d'une pratique de l'univers BDSM où l'on fait incarner/incarne ce qu'on appelle un totem BDSM. Autrement dit la personne soumise "joue" le rôle d'un petit animal de façon plus ou moins poussée et le Maitre doit s'en occuper, l'éduquer, le nourrir, le soigner, la câliner, etc.
 

Dans la liste des totems on trouve le chat, le chien, le porc, la vache, et le poney… Même si après rien n'empêche à l'imagination humaine de se tourner vers des animaux moins classiques.
 

Le petplay est une pratique de la catégorie Bondage et Discipline, de fait cette pratique ce veut plus érotique que dur dans le fond. Au sens où le but premier n'est pas d'humilier la personne, mais avant tout de s'abandonner à son instinct animal, à sa liberté, tout en se laissant entièrement guidée par le Maitre ou la Maitresse qui nous domine. Le Petplay, est donc a priori une discipline plus domestique, où le bondage y a aussi souvent un rôle important, avec parfois, par exemple l'utilisation de manique de poignets ou de prothèses. En effet, pour les plus avertis il est possible de faire enfiler à son animal de compagnie (=personne soumise/totem) de fausses pattes de chiens par exemple, ou bien une laisse; auquel cas on considère qu'il y à une contrainte, une entrave et donc bondage.

En résumé la singularité principale de cette pratique, est que le soumis est totalement tributaire de son Maitre, et cela renforce le caractère du statut Dominant/dominé… Jeux, soins, alimentation, activité, sommeil. Le Pet Play est une pratique BDSM qui permet, une grande libération psychologique et émotive, laissant de côté les obligations d’une vie d’homme, laissant l’animal aux manettes, jouant un tour pour obtenir remerciements et récompenses.



Parmi ces totems (animaux) comment choisir  ?


Là encore, diverses possibilités à l'image de la variété du BDSM:

* Le Dominant recherchant  un/une pet d’un totem précis imposera dans sa recherche et orientera donc l’issue de celle-ci. Il imposera un animal à incarner à son/sa pet.


* Le soumis s’identifie à l’un des totems, par ses ressemblances, goûts, attitudes, réflexions, envies…

Et voue par exemple une passion à un animal en particulier qui lui donnera donc envie de l'incarner.

* Dernier cas plus rare, ou plutôt moins visible, le couple D/s visant ou pratiquant une rotation du totem à incarner. Le/la pet change d'animal à incarner, selon les circonstances. On retrouve ce cas dans les jeux provisoires notamment, ou dans le cas où le PetPlay est utilisé comme humiliation, usage de litière, gamelle, étable, compagnie d’animaux de ferme… Dans le cas d’un amusement particulier aussi, jeu de rôle a durée défini, essais de la palette BDSM…






Pour commencer ...
 

On parle de phase de Dog-training, visant a asseoir les bases des ordres, la gestuel, le comportement, l'obéissance et aussi les positions... De manière plus direct, je dirais qu'il s'agit d'une phase de "dressage", où on entraine le soumis à se comporter comme le totem qu'il est sensé incarner. Si la pratique ce veut "soft" on ne lui faire obéir qu'à des choses simples: Boire ou manger dans une gamelle (sans l'utilisation des mains), se balader à 4 pattes en laisse, rester allongé aux pieds du Maitre tandis qu'il travaille, attacher son pet dans le jardin et revenir le chercher plus tard, lui faire porter un rosebud avec une queue, etc. Des choses légères, sans forcément aller plus loin, ni évoluer, chacun son Petplay. 


 


En revanche pour les adeptes plus avertis ou qui veulent aller plus loin, on entre dans un vrai dog-training beaucoup plus poussé. On diminue l’utilisation de l’oral de la part du soumis que l’on remplace par l'intermédiaire de bruits et sons animales. Autrement dit si la personne soumise incarne un chien, on va la faire aboyer, geindre, grogner mais plus elle va évoluer dans sa pratique, moins elle utilisera le langage lorsqu'elle incarnera son totem.
 L’alimentation peut également être adaptée à ce petplay. En effet même si l'alimentation animal ne peut être utilisé pour l’homme que de manière sporadique et très ponctuelle, il existe de nombreux palliatifs, biscuit apéritif en guise de croquette, ragoût a la place de pâté pour animaux, etc. Sur internet, je pense même que vous pourrez trouver des fausses boite de pâté pour petgirl ou petboy, avec à l'intérieur de la boite de conserve de la nourriture humaine à l'aspect de celle des animaux domestiques. 
On peut également transporter son pet dans une caisse de transport ou le faire dormir dans un panier; même si  j’attire votre attention toute particulière sur le fait que les soumis sont a l’étroit dans ce genre de contenant et de fait peuvent souffrir de complications circulatoires. J'appelle donc à beaucoup de vigilance.




Pour finir sur cette partie, j'ajouterais que le Petplay a proprement parlé a de nombreuses et diverses formes car il y a autant de pet que de race de pet... si on peut dire. Mais c’est bien là que l’aventure commence, dressage au quotidien, exposition de soumis-pet, concours de beauté, parcours d’obstacle, training sportif, organisation de saillies, attelage, labour, courses et tant d’autre encore... Autant de possibilités, que de pratiques BDSM, la seule limite reste l'imagination du Maitre. 
 

Et la sécurité dans tout ça ?

Le petplay  nécessite une sécurité très importante sur plusieurs aspects qu'il ne faut surtout pas négliger au risque de se bruler les ailes et de fragiliser sa relation avec son partenaire:

Tout d'abord, une précision essentielle s'impose selon moi; qui est que contrairement à un esclavage ou une soumission BDSM ou D/S en 24h24h, 7j/7j, le petplay ne peut pas être pratiqué en continue. Cela semble assez logique, puisque on ne va pas aller au boulot en laisse, et que le/la pet reste un être humain avant tout qui à besoin de communiquer avec son/sa Dominant(e), et ne peux pas par exemple se voir imposer systématiquement l'utilisation de bruitages animalier à la place de la parole. Je rappelle que un des aspect vital du BDSM est la communication entre le/la Dominant(e) et la personne qui lui est soumise. 




Il est donc obligatoire de convenir d'un safe-word oral et/ou gestuel lorsqu'on se lance dans le petplay. Car c'est une autre de manière "de jouer", et le dominant à beau très bien connaitre celui ou celle qui lui est soumis, les règles du jeu et les ressentis sont bien différents d'une séance BDSM plus classique. 

Pour finir j'ajouterais que au delà de la sécurité physique, la sécurité psychologique dans cette pratique à un rôle important pour la bonne évolution de son pet. Cette pratique bien que pouvant humilier n'a pas pour but de rabaisser la personne soumise, ou de la torturer. Le but est de l'aider à mettre de coté, durant un labs de temps déterminé ses soucis, ses contraintes et ses entraves liées à la complexité de l'espèce humaine; pour laisser place à un instinct animal plus spontané et moins pudique. 




Le pet s'abandonne aux mains de son Maitre et se laisse guider de A à Z, pour revenir à des sentiments simple, comme pourrait le faire un chien. Exemples: jouer à la balle avec son Maitre et être heureux, se coucher aux pieds du canapé tandis que son Maitre regarde un film et ronronner sous les caresses de celui-ci. Pour que le Pet puisse vraiment se laisser aller sans crainte et sans honte de cet instinct animal retrouvé, le Maitre doit être garant de son bien être et doit poser un regard bienveillant, et s'assurer si la séance de petplay est public, que le regard d'autrui est également bienveillant...


( A suivre...)

 


PS: Chacun pratique à son rythme et en fonctions de ses envies et ses capacités. La preuve en est que je parle du Petplay au sens large du thème, alors que je n'ai pas pratiqué un dixième de ce que je vient de vous partager dans ce post, et que pour l'instant je n'en ressent pas le besoin. Une petite ballade en laisse suffit amplement, pour la petite Lee.  

lundi 24 novembre 2014

Pour le plaisir d'antan...


Apothéose tout comme j'aime... 
(Dégradé de couleurs d'un fessier qui rougi..)


On ne change pas une équipe qui gagne, ce spankin_daddy fait des vidéos toujours aussi troublantes, et celle-ci tout particulièrement, car je trouve que la luminosité de l'image donne un cachet d'antan encore plus émoustillant. Un jeu de lumière sombre sur tout le fond mais qui met en valeur et en lumière le fessier de la demoiselle qui se colore à vue d’œil. Au-delà de la qualité de l'image, j'aime les premiers mots échangés entre Monsieur et sa punie, je trouve qu'ils plongent de suite dans l'ambiance feutrée d'une fessée. En effet, pour ceux qui ne comprendraient pas l'anglais, elle le sollicite d'une toute petite voix pour s'excuser avec toute la sincérité de son cœur. Lui, tendrement, avec bonté, accepte ses excuses, laisse quelques secondes de suspense, et ajoute qu'elle doit toutefois recevoir sa punition quand même. Intransigeant. J'adore. Rassurant. Il lui pardonnera et sera là pour elle, et c'est bien pour cette raison qu'il ne cédera jamais à ses bêtises, pour qu'elle se sente toujours aimée et entourée. C'est mon interprétation personnelle, il est vrai, mais je trouve que c'est une façon d'aimer l'autre, une preuve d'amour intense.

Ensuite  cette fessée est progressive, au début, la demoiselle l'accepte docilement, mais il est clair que la brosse ça fait mal, très mal... et qu'elle finit donc par battre des jambes. Raison pour laquelle je vous bassine autant avec la brosse, c'est que je n'y peux rien, même si c'est un objet que je crains beaucoup, il me fascine. Ce que je préfère ici, ce ne sont pas seulement ses ruades ou sa façon de se débattre, ce sont ses couinements, ses pleurs qui s'accentuent peu à peu... Je suis une horrible sadique c'est vrai, mais j'ai toujours une nuée de papillons qui vient faire des loopings au creux de mon ventre quand j’entends les larmes d'une fille sous la fessée. Des vraies larmes, sincères, celles de l'abandon, et de la réelle douleur de la fessée... Pour moi c'est un cadeau offert au Maitre, une façon de se laisser aller, de s'abandonner à ses mains... et bien souvent d'ailleurs c'est le moment où la punie arrête de se débattre, il ne reste que ses sanglots pour couvrir le bruit des claques.

Bien entendu après de telles larmes, il ne faut jamais oublier de réconforter sa soumise et de lui pardonner, avant, ou après la mise au coin, si il y en a une. La rassurer que vous l'aimez toujours. Cette forme d'abandon pour moi doit rester exceptionnelle, mais c'est un moment libérateur, dans lequel je me sens aimée, je sens qu'on ne me laissera pas tomber, ... Et c'est un peu ce que je ressens dans cette vidéo. Pas besoin de hurler, pour la faire obéir, beaucoup de tendresse dans les mots. Bon je sais je blablate comme d'habitude; dans tous les cas j'espère que cette vidéo vous troublera autant que moi, et qu'elle mettre vos sens en éveil....


Couinez-bien
Lee.




mardi 18 novembre 2014

La belle et la bête (15)



La belle et la bête

 



Notes: Non non vous ne rêvez pas. Voilà le chapitre 15.. Certes ce n'est pas le plus long, mais pour moi il est un moment charnière de l'histoire, car il donne par la suite un tout autre horizon de ce qui pourrait arriver ... Mais je n'en dis pas plus. En espérant que ça vous plaira. 
Pour ma part je suis partagée, car j'ai tout relu depuis le début avant de publier, forcément, et j'ai eu l'impression que je m'étais soumise à ma propre plume et à ses personnages. Nous verrons bien. 
Merci en tout cas à tous ceux qui continue de me lire au travers de cette histoire, ça aussi c'est une grande aventure pour moi, et j'espère ne pas vous décevoir. 
Amitiés, Lee.  

***

Chapitre 15: Se libérer de ses démons

Narrateur: Monsieur

MERCREDI 15 JUILLET (au soir, suite)
Elle fila donc se mettre à genoux sagement dans un coin. Immobile elle semblait être dans un état d'obéissance complet. Je lui glissais un oreiller bien moelleux sous les genoux pour les protéger. Tandis qu'elle réfléchissait à son comportement des dernières heures je finissais de ranger la salle de bain. Quelle histoire... J'avais du mal à me remettre de sa crise d'hystérie concernant le refus de reconnaitre qu'elle recherchais mon affection. Si j'avais su que avec une simple plaisanterie elle se mettrais dans une rage pareille... Quand elle avais mis sa chambre à sac, et s'était jetée point fermés dans ma direction, il est vrai que je n'en avait pas mené très large, elle m'avait déstabilisé...

Et finalement cette douche froide bien que rude, avais permis de faire fondre sa colère comme neige au soleil, pour laisser place à un bain chaud qui l'avait détendue et apaisée. Et de nouveau cette rébellion dans son bain... Et puis qu'est ce qui m'avais pris aussi à moi de la laver ? Je fut tout à coup envahie par une vague d'angoisse... Moi qui avait plus ou moins volontairement occulté de mon esprit qu'elle s'octroyait des petits plaisir solitaires émoustillée d'après mes déductions par les fessées que je lui donnais; j'étais assez stupide pour la laver comme un bébé. Certes mon but était avant tout éducatif, lui apprendre l'humilité et l'obéissance toujours dans l'intérêt qu'elle murisse et obtienne son bac. Est ce qu'au fond de moi plus ou moins consciemment je n'avais pas finalement utilisé le prétexte de la punir, pour avoir le plaisir de la laver ? Avais-je été troublé ? Je ne savais pas moi même... J'étais un peu éberlué de la soirée qui venait de se passer, j'avais tout fait à l'instinct, spontanément.

A mesure que je rangeais la salle de bain, le temps filais et Kyara m'attendais toujours sagement au coin, même si je voyais bien que ce quart d'heure lui paraissait une éternité. Mais elle prenait sur elle. Je finis par m'asseoir sur la chaise en bois près de son bureau et lui intima de venir me voir. Elle se leva, se retourna et approcha à pas timides, les mains dans le dos, les yeux baissés.

- Jeune fille approchez encore je vous prie.

Alors elle fit quelques pas de souris supplémentaires et vient se poster juste en face de moi. Ses gambettes à quelques centimètres de mes genoux.Le visage penaud.

- Kyara regardez moi s'il vous plait.
- Monsieur j'ai trop honte....
- Vous pouvez Kyara avoir honte de votre comportement. Il y à de quoi...
- ...
- Kyara, obéissez.

Elle relava la tête lentement le regard fuyant. Elle tentais de soutenir mon regard mais très vite rougissante elle se détournais, puis tentais à nouveau de relever les yeux. Je décidais que c'était à elle d'analyser et de faire un état des lieux de son comportement.

- Jeune fille que pensez vous de votre comportement de ce soir ?
- Je me suis mal comportée Monsieur.
- Mais encore ?
- Je me suis emportée, je ne sais pas ce qui m'a pris.
- Est ce que tu te rend compte que tu as osée lever la main sur moi ?
-...
Elle se mordis la lèvre, le visage défait.
- Kyara je vous parles.
- Oui Monsieur.
- Que feriez vous à ma place jeune fille ?
- Je ... Je ... serais ... punirais...
- Comment ? Quelle sanction donneriez vous et pour quels raisons ?
- Oh Monsieur ... Je ne sais pas...
- Et bien réfléchissez y. Le coin devrait vous avoir aidé, si je ne m'abuse !
Les mains dans le dos elle tortillais sa cheville droite sur le sol, une lèvre mordue.
- Monsieur... je ne sais pas...je suis désolée pour tout ça...dit en elle en geignant.

J'abattais alors une claque bien sèche sur sa cuisse dénudée.
- Kyara, arrêtez de me prendre pour un idiot et de geindre comme si vous étiez une gamine ! J'attends des explications... de suite... Moi qui croyais que j'avais plutôt été clément ce soir étant donné votre accès de rage démesuré... Moi qui pensais que vous seriez mortifiée.. Non à la place vous geignez, et n'avez rien à me dire... Je suis déçu... Si c'est tout ce que vous avez à me dire... Alors sachez que vous serez punie en conséquence demain matin, puis ce que c'est tous ce que vous êtes capable de comprendre Kyara, en attendant filez vous coucher, je ne veux plus entendre un mot.
Elle me fixa alors le regard inquiet et écarquillé. Elle se glissa mécaniquement dans les draps toujours aussi muette. Je m'appretais à me diriger vers la porte quand elle se releva d'un bond face à moi.. 
- Monsieur ... attendez...
Je la devisageai alors le regard interrogateur. 
- Monsieur... Bien sur que je suis désolée... Je ne sais pas ce qui m'a pris. Je...
-...
- C'est vrai j'ai mentit... J'avais pas peur du film... c'était un prétexte... pour... pour...
- Un câlin ? 
- Oui voilà. 
- Mais ça me faisait mal de me l'avouer... que vous le deviniez... J'étais en colère... en colère de ressentir cela... J'ai envie de vous détester pour tout ça mais j'y arrive pas... 
Des larmes silencieuces coulaient pendant qu'elle parlais, la voix chevrotante. 
- Alors j'ai provoqué... mais une fois dans ma chambre... j'étais frustrée par ma colère... et ma .. un manque... et j'avais envie de tout détruire... je vous en voulais de ressentir tout ça.. J'avais envie d'aller à l'affrontement... de tout détruire.. de déverser ma rage... 
- ... 
- Et puis il y à eu cette douche froide... puis ce bain... pour m'apaiser... et vous avez été si gentil... ça m'a ... touchée... mais que vouliez vous que je dise... des excuses pour vous avoir insulté injustement, après cette superbe soirée DVD que vous m'avez organisée, après avoir mis cette chambre sans dessus, dessous... je trouvais les excuses trop légères pour justifier mon attitude... c'est pour ça que j'ai rien dit... parce que les mots.. je les trouvais pas... et aussi parce que j'ai eu peur que vous me fichiez de nouveau dehors... J'ai pas envie de partir vous comprenez... 
Elle éclata alors définitivement en sanglots. 

Je m'approchai d'elle à pas lent. Enfin elle s'était livrée, me faisait un brin confiance, et cela me touchai. Je me sentais utile, protecteur, responsable d'elle. Alors je la pris dans mes bras avec douceur et fermeté. Et je la berçai tout doucement contre moi. Au début crispée, comme combattant ses propres démons, elle finit par se détendre et par m'entourer de ses petits bras tout tendres. Au bout de longues minutes. Elle chuchota toujours agrippée comme un petit koala, d'une toute petite voix:
- Monsieur vous allez me punir ? 
- Non pas ce soir Kyara... tu as su m'expliquer et je sais à quel point c'était difficile pour toi de mettre des mots sur tout cela. Et je sais que tu t'en veux. Donc non, je fermerais les yeux pour cette fois-ci. Mais ce sera le seule et unique fois. Tu n'a pas intérêt à me refaire un truc pareille. Est-ce que c'est bien compris ? 
- Oui Monsieur. 
- Bien. 
- Monsieur ? 
- Oui Kyara ? 
- Merci. 
Je resserai alors mon étreinte, émue par cette petit chose qui glissait tant d'espoir et d'affection maladroite en moi. J'avais envie de la protéger de toute mes forces. Sa sensibilité, me touchais. Tout à coup des soubressaut agitaient ses épaules. Je m'écartai, inquiet qu'elle pleure à nouveau...Mais en réalité elle rigolais...
- Vous savez que si vous me serrez aussi fort je vais mourir étouffer ? 
Je me mis à rires de bon coeur avec elle et la borda tendrement dans son lit, en déposant un dernier baiser sur son front.
- A demain Kyara, fais de beaux rêves. 
- Vous aussi Monsieur Bonne nuit. 
Et j'éteignis la lumière, en savourant cet instant du calme retrouvé. Heureux.

( A suivre...)

vendredi 14 novembre 2014

A coeur perdu . . .





Ce n'est pas dans la jouissance que consiste le bonheur, c'est dans le désir, c'est à briser les freins qu'on oppose à ce désir.

Le Marquis de Sade. 

 

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Par l'amour aveugle Robinson crut Zoé
Mais son cœur fit naufrage quand elle tourna la page
C'était un samedi à cause de vendredi.

Jean-Michel Baeza




 


jeudi 13 novembre 2014

Pour se faire pardonner !


Forum quand tu nous tiens !!!

Note: Bonjour à toutes et à tous, je commencerais cet article en vous présentant mes plus plates excuses, cela fait un petit moment que je n'ai rien publié, sans donner de nouvelles à tout mes lecteurs et lectrices qui me sont toujours aussi fidèles. Et cela m'a terriblement manqué, mais la vie oblige parfois à faire des choix compliqués, qui ne laisse plus de temps pour d'autres plaisirs. Mais me voilà de retour, avec pleins de nouvelles choses et expériences à vous faire partager ! N'espérez pas que le petit diablotin que je suis vous "foute la paix" de si tôt ! Rires.
Pour me faire pardonner je ne reviens pas les mains vides.... Surprises.... 

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Comme vous le savez ce cher forum de FESSES A CLAQUES, ferme ses portes très bientôt pour notre plus grand regret à tous ! C'est un lieu où j'ai fait toutes mes premières rencontres et découvertes et c'était juste fabuleux. J'en profite d'ailleurs pour rendre hommage à Fraisounette qui l'a tenu d'une main ferme dans un gant de velours. Et je suis bien consciente que c'était une tâche parfois lourde et très contraignante même si le partage de notre passion commune était un plaisir pour elle. Merci pour tout ces bons et doux moments passés ensemble !

La bonne nouvelle dans tout ça, c'est que j'ai un ami qui m'est proche et que j'apprécie beaucoup, qui vient justement d'ouvrir un forum aujourd'hui même ! Celui-ci est moins axé sur la fessée des puristes, mais s'adresse à des pratiques plus vastes et larges, et principalement BDSM. Mais tout le monde y est le bienvenu !

Avertissement !! 
L'idée de ce forum est avant tout un espace respectueux, ouvert d'esprit où l'écoute de chacun et le partage sont de mises. L'ambiance recherchée est bonne enfant, même si on est là aussi pour parler avec sérieux. Humours et discussions argumentées sont au programmes. Les dominant(e)s qui ont un égo plus gros que leur cul sont priés de passer leur chemin, et les petits soumis(es) rigolos, qui ne sont là que pour flooder les post peuvent s'enterrer vivant. Oui je sais je suis terriblement méchante, mais qu'est ce que vous voulez on se refait pas, ça doit être mon côté sadique refoulée ! :p 

 En espérant que vous y trouverez un endroit convivial et chaleureux ! 
Les mineurs y sont bien entendus interdits, et chacun doit se présenter AVANT de pouvoir accéder au forum ET au chat, de manière complète ! 

Voici le lien: Trinity-bdsm




Au plaisir et impatiente de vous y retrouver, 
Lee !

mardi 14 octobre 2014

Tendre la courbe...


RUBY ROXX







Le petit mot de Lee: Mes petits lecteurs préférés, je m'excuse d'abord pour ces quelques jours d'absences qui sont amenés malheureusement à se répéter. Et oui ma réalité à rattrapé mon virtuel, et malheureusement impossible de trouver le temps de poster, même si cela n'empêche pas mon esprit de bouillonner d'idées à vous faire partager. J'aimerais avoir plus de temps... Mais d'abord je pense avoir trouvé mon bonheur dans notre grand monde BDSM, et du coup ça prend du temps de faire rougir mes fesses résistantes, rires. Puis la réalité professionnelle et mes études ont eu raison de mon envie de bloguer... Mais promis je ne vous oublie pas !

Le sujet que je choisis de vous faire partager aujourd'hui me tient particulièrement à cœur depuis de nombreuses années, et c'est un grand pas pour moi que de vous le partager...  Comme certains auront pu le voir dans ma présentation, le rapport au corps, ma confiance en moi ont été bien longtemps malmenés, et ma féminité ainsi que le fait de m'assumer sont venus avec ma découverte de la fessée et de tout ce qui s'ensuit. On voit aujourd'hui partout, dans les pubs, dans les films, les journaux, à la télé, le cliché de la femme mince et parfaite. Sans courbes, et nous sommes dans cette époque terrible du "taille gap" et des régimes en tout genre, qui renvoie une image déplorable aux femmes, un effet miroir difficile à vivre. Les femmes se torturent, à façonner leur corps au lieu de le sublimer. On entend toute la journée autour de nous cette obsession du corps parfait... Et ce fût longtemps douloureux à vivre pour moi, j'ai tout essayé mon corps est tel qu'il est et je l'abime à vouloir le changer, alors que je suis en bonne santé; parfois même plus que celle qui taille un 34 d'anorexique. Je vous passerais sous silence les moqueries de l'adolescence, les remarques désobligeantes des divers amants de passage, et les lapins posés quand ils ont réalisée que j'avais des formes. Pourtant je ne suis pas si forte que cela, mais oui j'ai un cul, oui j'ai des seins, et quand on sait enfin les mettre en valeur, et bien je les trouve bien beaux, j'en suis fière, et j'en prend soin à rendre verte de jalousie certaines !

J'apprends à m'aimer, à me sublimer, à m'accepter et je réalise que c'est cela qui me rend jolie. Ne pas perdre mon temps à modifier mon corps mais consacrer du temps à le sublimer.. Coiffure, manucure, épilation, lingerie fine, maquillage, robes, talons et j'en passe... Une fille bien dans ses pompes, qui prend soin d'elle, c'est une fille qui attire l’œil quoi qu'on dise. Et je me rend compte aujourd'hui que plus je rayonne plus c'est moi que l'on regarde et non plus la fille parfaite, qui se modélise pour ressembler aux mannequins des magazines, en effaçant sa personnalité. Et mon caractère est aussi mon charme... Tout cela pour vous dire que même si je n'en suis pas encore au stade de me baiser les pieds (quoique, rires), je commence à m'aimer et à vouloir jouer de ce corps et de ce charme. Une sorte de revanche. Et pour moi c'est un grand pas...Et je le doit à certaines personnes, certaines rencontres, des amis, des rencontres, des amants, à tous ces gens qui m'ont aimée et prise comme j'étais au fil de ma vie, des regards qui me rendent belle (Je vous avoue ça me fait tout drôle de me dire je suis belle, c'est pas trop mon genre même si il n'y parait pas, de me faire ce genre de compliment à moi même ! Mais pour une fois je le dit je suis JOLIE !).

Et pour pousser la réflexion j'aimerais vous présenter quelqu'un en espérant qu'elle en fera réagir certains et certaines, et que vous les filles, plus jamais vous ne laisserai les autres façonner votre image et votre confiance ! Tout dépend de vous... Quand on veut on peux, à l'image de Ruby Roxx ! Croyez moi, vous finirez pas trouver celui qui aimera votre corps pour ce qu'il est, et qui sera votre miroir de beauté. Les hommes aiment les courbes et les croupes qui s'assument et qui leurs tiennent chaud la nue, pas les os pointus et sans vie. Et si je m'apprête à vous parler de cette mannequin Ruby Roxx, c'est avant tout pour illustrer mon propos mais aussi un début pour pousser à la réflexion ceux qui le voudrons et en auront la capacité...  Je terminerais mon petit grand aparté en vous faisant partager cette phrase, qui est ma grande philosophie du moment:

Ne rêves pas ta vie, mais vis tes rêves !



Ode à la beauté des femmes,
Lee.




Qui est Ruby Roxx ? 


En Anglais: Ruby Roxx is a model based out of Vancouver, B.C.  She specializes in Pin Up, Vintage, Glamor, Fashion, Lingerie and Alternative Modelling.

Ruby was born in Vancouver and has been modelling for six years.  She has had the opportunity to work with many talented local and international photographers and has been featured in ad campaigns for such businesses as the Colour Box hair salon, Cherry Velvet Plus, Forever After Bridal Brooch Bouquets, Coquette Lingerie, Deadly Couture Latex, Shiverz Designs, Pinup Vixen Beads and The Pourhouse restaurant. She has runway experience and has walked for such designers as All Tied Up Corsets, Crone Designs, Skye Davies, Boring Sydney Hats, Carolyn Bruce Designs, Maggie Fu, Boo La La Costumes, and Sans Soucie.   She has been published countless times, including 5 covers.  Referred to as "an inspiration to every woman on the planet", Ruby tries to stay true to that by maintaining a healthy and happy body image.  She truly believes that beauty is not determined by a number on the scale, or a dress size, but it is in fact a frame of mind.  All women are beautiful regardless of their shape, or size, and Ruby hopes to help everyone realize this.  




En Français: Je serais bien incapable de vous traduire cette petite bibliographie en mot à mot, mais dans les grandes lignes pour les bilingues comme moi, voilà ce que je peux vous dire à son sujet:
Ruby Roxx est une top modèle de plus en plus connue, spécialisée dans tout ce qui est Pin up, vintage, glamour, lingerie fine, ect. Elle est née à Vancouver, et pose pour de grands photographes et à participé à de grandes campagnes de pubs. Elle à fait également de nombreuses couvertures de magazines. Après une adolescence difficile dont elle parle entre autre sur son blog, et des tentatives vaines pour changer la taille de son corps elle à fini par l'assumer et le sublimer. Provenant d'un milieux ou la sexualité et la sensualité dévoilé au grand public n'était pas admise, elle à fini par s'y complaire et à décider d'imposer à ses proches son choix d'en être. Elle prône entre autre le fait que la beauté n'est pas déterminée par une histoire de taille de robe ou de fesse, mais plutôt par la taille, l'ouverture de notre esprit. Et elle espère aider les gens à se réaliser, et se sublimer, à s'assumer à avoir confiance en soi, pour se sentir désirable, sensuel, beaux et élégants. 




Si voulez en savoir plus à son sujet, je vous laisse quelques liens:



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Pourquoi je l'admire tant ? 

Pleins de raisons diverses et variées font que j'ai de l'admiration pour cette femme hormis le fait qu'elle assume ses rondeurs, en joue d'une sensualité incroyable et sait se sublimer. Premièrement elle n'a pas peur de montrer ses formes, contrairement à se qu'on pourrait croire et malgré que certaines photos soient retouchées, elle n'a peur d'assumer ses courbes. Elle ose montrer son décolleté, sa poitrine volumineuse, laisse parfois apercevoir son ventre rond, ses cuisses dodues, et je la trouve sublime, ainsi !
  
Des courbes visibles et assumées




Un ventre ronde et doux pour la mère Noël !




Des cuisses et des bourrelets dans une forêt dans laquelle son corps nous enchante ! 


 


Des jolies courbes visibles malgré la lingerie...




Pour ceux qui penseraient encore qu'elle triche sur ses rondeurs ! 


 

Une poitrine à en faire tomber plus d'un raide mort... Rires. 




Pour une fois toute habillée... :D 


 

Les formes de dame nature...




Elle sait se mettre en valeur, il y à pas à dire...





Nue, et à croquer quand même !




Sous le voile, toute sa beauté !


Alors c'est vrai qu'elle est loin d'être l'aide je veux bien reconnaitre, en attendant elle à également le cran de poser entièrement nue, et là est tout son art, c'est qu'elle le fait toujours en étant à son avantage ! Et pour le coup je pense même que cela se passe de commentaires, juste le plaisir des yeux... La dernière est sublime !

Elle ose poser nue










 








Elle ose se montrer au naturel ! 

Pour finir j'ajouterai pour ceux qui diraient encore que tout est dans le maquillage, la coiffure ou le vêtement que c'est une des rares mannequin qui n'a pas peur de reconnaitre les artifices dont elle use sur les photos (vêtements, maquillage, ect...); attributs dont nous disposons toutes, peut être pas autant qu'elle, mais vraiment les filles, avec quelques astuces, croyez moi vous avez tout pour plaire sans régime draconien. Et c'est pour ça que Ruby Roxx ose également sortir et se montrer tel quel est sans maquillage, avec un bon jean, sans retouches photos, et je la trouve quand même très belle !


 





 


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Ruby Roxx et le BDSM ? 


Comme je vous l'ai plus ou moins dit précédemment et comme vous avez pu le voir sur les quelques photo que je partage avec vous, Ruby, est une jeune femme qui s'intéresse beaucoup à toutes les lingeries qui pourraient sublimer la femme; et ouverte d'esprit, elle pose dans des tenues qui parfois se réfèrent à des sexualités bien particulières, et il y en à pour tous les gouts ! Et ses photos BDSM sont pour moi la cerise sur le gâteau de son art. Car soumise ou domina elle reste sublime et sensuelle, à en faire mouiller plus d'une ! Oui oui je suis crue, mais il faut finir par assumer ce qui est les filles, nous sommes belles et la fessée on aime ça !! ;)


 En domina

 Un petit coup de martinet pour la route ? 


 
 J'adore cette tenue, si seulement je pouvais trouver la même.
Pas que je sois très latex, mais son air de défi dans cette tenue, Miam !


 La domina dans toute sa splendeur !


 
 Un/Une volontaire ?!



En soumise


 
 Version bonne sœur, pas mon truc, mais elle m'a fait rire sur ces photos !



Ah la cravache ...


Ruby Roxx serait-elle indisciplinée ?! Et vlan le coup de paddle !


Une fois la jupe enlevée après la fessée, un cœur rouge flamboyant 
doit se dessiner sur son fessier, à croquer... Je veux la même !


 Prisonnière...


Ma petite chatte...



Mords-moi...Je t'attends...



Article à méditer...
Lee.


mercredi 24 septembre 2014

Le Mariage BDSM de Leïna et Zaël


 Un amour libre et éternel


Avant propos: Voici un récit complétement fictif, que je me suis amusée à écrire ce matin. En effet ayant récemment découvert la teneur d'un mariage BDSM, cela m'a inspiré cette petite romance. Ne vous attendez pas à une histoire de fessée comme j'ai l'habitude de le faire. Il s'agit plus ici, d'une romance fantasmagorique, un peu poétique, surement hors des clous réels de ce genre de mariage, et peut être un peu trop tendre pour les adeptes de ce genre d'union. Voilà une douce rêverie que je partage avec vous, et qui sait peut être qu'un jour, elle  deviendra réalité... Mais bon ne mettons pas le craker (bout du fouet qui claque) avant le manche ! Bonne lecture. N'hésitez pas à laisser un petit message de votre passage où quelques infos, ou expériences à ce sujet !

Note de la rédaction: Il ne s'agit là que d'un récit fictif, je respecte donc les adeptes chevronnés qui vivent ce genre de mariage de façon plus réglementaire et stricte, mais il me plaisait d'être plus fantaisiste, et de le faire à ma façon.

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Aujourd'hui est un grand jour pour Leïna, autant que pour Zaël. Fou d'amour l'un pour l'autre, ils ont décidé de se marier... D'une façon un peu particulière, dans la plus grande intimité. Un mariage pas tout à fait comme les autres, un mariage BDSM...Quand elle lui en avait parlé Zaël avait d'abord refusé...
- Enfin Leïna, je comprend que ça te fasses plaisir, moi aussi j'en aurai eu envie, mais tu sais bien ce que tout cela signifie, et pour moi c'est hors de question. Le côté esclavage complet, c'est hors de question ! Quand je voit comment ça se passe dans certains couples... Pas question. Je respecte que les gens se marient ainsi et si ils sont heureux tant mieux mais pour moi ce serait te rabaisser ça ne me plait pas....
- Mais Zaël on n'a jamais fait de cérémonie depuis qu'on est ensemble, jamais rendu hommage à ma soumission envers toi. Ça me plairait beaucoup de montrer que je suis tienne et l'officialiser... Steuuu plééééé.... ajouta- t-elle dans une moue d'enfant boudeuse.

Il l'avait alors embrassée sur le front, et tout en la serrant debout contre lui, il lui avait relevé le visage, d'une main douce, afin de fixer ses yeux dans les siens, son menton contre sa poitrine.
- Leïna nous ferons une cérémonie si tu le souhaites, avec plaisir même, mais je ne veux pas que les engagements soient ceux d'un mariage BDSM au sens où on l'entend. Nous aimons tout deux, cela autant l'un que l'autre. Mais tu sais très bien, que nous ne le vivons pas tout à fait en 24/24. Autant je tiens aux règles de Discipline Domestique que nous avons choisies ensemble, autant j'aime également te soumettre pour mon simple plaisir et le tiens, autant je tiens hors de ce cadre à avoir ma femme en face de moi à certains moments, sur un pied total d'égalité, où elle puisse être totalement libre de ses faits et gestes.
Elle avait  alors rie un peu moqueuse:
- Zaël comment peux tu penser une seule seconde, que je te laisserais régenter tous les aspects de ma vie sous prétexte d'un mariage BDSM... Tu sais très bien que je resterais toujours la femme libre que tu aimes, que je continuerais à te tenir tête quand il le faut dans les aspects de notre vie de couple hors BDSM. Et tu sais très bien que je ne deviendrais jamais "une nunuche" servile qui s'occupe de toutes les tâches, pendant que son conjoint se dore la pilule au soleil. Puis je compte bien avoir des enfants un jour, et tu sais très bien que concernant l'éducation et mon rôle de mère, jamais je ne laisserais quiconque me dicter ce que je doit faire.
 
Il avais souri un peu moqueur:
- Je reconnais qu'avec ton sale caractère, je ne devrait avoir aucun doute sur le fait que tu garderas ta liberté...
- Ah ah très drôle, sale caractère toi même ! Avais t-elle répondu avec insolence en lui tirant la langue. Défaut qu'il avait tenté de corriger pendant des mois à coups de brosse à cheveux, mais c'était bien le seul défaut chez elle dont il n'était jamais parvenu à changer. Et finalement il s'était habitué à ce que cette petite langue rose pointe le bout de son nez régulièrement ornée de son petit piercing doré habituel.
- Dis donc jeune fille, ne commencez pas à être insolente, ou je serais malheureusement obligé de vous coucher sur mes genoux...
Rougissante elle ajouta:
- Mais heu... on ne parle pas de mes fesses là. Mais de notre mariage BDSM. Tu me connais j'aime pas être dans les clous, faisons le à notre image. Et on se fout de ceux qui râlent, qui disent qu'on est pas dans les codes. On le fera pour nous, pour se faire plaisir et si ça ne plait pas tan pis. On le fait pour nous, pas pour les autres. Un lien symbolique et d'amour...
- Dans ce cas si c'est à notre main, à notre image... pourquoi pas... j'ai même quelques idées pour tes fesses moi... avait-il dit un sourire espiègle sur le visage.

Son visage s'était ensoleillé en un clin d’œil, folle de bonheur, en se jetant dans ses bras, elle lui avait demandée toute mielleuse:
- C'est vrai tu dis oui ?
- Oui souffla t-il en l'embrassant. D'ailleurs il vaut mieux s'entrainer de suite... Parce que avec toi, il y à du boulot pour que tu te tiennes sage lors d'une cérémonie comme celle-ci...
Et il l'avait emporté , l'emprisonnant contre son torse, dans la chambre à côté. Elle riant aux éclats, et lui l'embrassant tout partout... vers des ébats plus intimes.





*** Quelques mois plus tard ***

Le grand jour était donc enfin arrivé. Ils avaient passé des semaines, et même des mois, à penser, et repenser cette cérémonie. Quels invités ? Quel lieu ? Quels témoins ? Quels symboles forts pendant la cérémonie ? Fallait t'il quelqu'un pour mener la cérémonie ?  Ils avaient passé des heures, des journées entières, des semaines à organiser ce mariage à leur image, sans écouter les quand dira t-on. Quelque chose qui leur ressemblait et leur correspondait, à l'image de leur amour mutuel et de leur conception de la soumission, à la hauteur de la tendresse qu'ils se portaient tout deux. Pour l'occasion ils avaient donc loué une petite salle de théâtre à un ami proche. C'est Zaël qui avait insisté, parce qu'il savait que ce serait un peu comme réaliser un des rêves de petite fille de Leïna. Une petite salle de spectacle , avec une petite scène en bois ébène, assez près du sol, recouverte de chaque côté par deux grands rideaux rouges et or. Il l'avait loué sans lui dire... et quand il l'avait emmené visiter pour lui faire la surprise, elle en avait perdu ses mots, sous l'émotion. Seule la larme qui avais perlé sur sa joue ce jour là, avait traduit à quel point elle l'aimais pour ce cadeau. Elle n'aurait pas pu imaginer de lieu plus parfait pour une telle occasion. L'endroit cosy et parfait pour célébrer leur bonheur...

*** Quelques secondes avant le début de la cérémonie. ***
*** Derrière un grand rideau blanc.***
 
A présent elle se tenait là, dans les coulisses qu'elle avait crées pour l'occasion, situées derrière le public, un grand rideau blanc la camouflais soigneusement. Elle était seule et nue. Le brouhaha des invités déjà présent dans la salle lui parvenait. Il y avait une petite cinquantaine d'invités, leurs amis les plus proches, les vrais, les intimes, ceux qui possédaient le même respect qu'eux aussi bien pour le BDSM, que pour la liberté de la femme, que pour la liberté de l'homme. Elle était également ravie que Zaël ait trouvé son idée de parrainage judicieuse... Et puis il savait que certaines personnes de son passé et présent avaient beaucoup compté dans sa soumission. Dès qu'elle lui avais posé la question, il avait su quels seraient les fameux désignés, qui étaient désormais également ses amis à lui aussi. Il aimait cette idée, que elle petite soumise novice choisisse un parrain et une marraine, qui se chargeraient durant ce mariage d'organiser une sorte de passation de soumise. Et que lui l'homme sombre et ténébreux, il viendrait la dérober, pour qu'elle lui appartienne enfin. Comme deux anges gardiens qui lui confierait pour l'éternité leur petite protégée. Leïna quant-à-elle, était si honorée et touchée qu'ils aient accepté, cela comptais tant pour elle. Tandis qu'elle se souvenais de ce fameux jour où elle leur avais fait sa demande de parrainage pour l'occasion... Sa marraine vint justement interrompre sa rêverie pour l'embrasser, et la serrer dans ses bras une dernière fois avant le début de la cérémonie. 

Leïna la chérissait de tout son corps, de tout son cœur et de toute son âme; cette femme, qu'elle admire tant. Elle était son modèle, sa référence, et sa présence lui était essentielle en cette journée si importante.
- Prête ma jolie ?
- Oui je crois S. Je suis peu angoissée quand même... Je dirais même au bord de l’apoplexie...
- Tu vas t'en sortir à merveille... Tout se passera comme tu le souhaites...Et tu es ravissante...
- Mais je suis nue...Répondit Leïna en riant...
- Ben oui c'est ce que je dis. Ajouta sa marraine en riant à son tour. 





 
C'est vrai que Leïna était magnifique. Sa longue chevelure d'un rouge violine tombait en cascade sur ses épaules, et ses grands yeux verts-bruns étaient maquillés dans de jolies couleurs sombres et rouges qui rehaussaient sa beauté. Sa marraine avait pris soin de la maquiller elle même, ce qui avait beaucoup ému Leïna, qui était très sensible à ce genre d'attention. Un rouge à lèvre rouge sang lui recouvrait également les lèvres, ce qui les rendaient pulpeuses à souhait. Sur le bout de chaque téton, des petits caches noir et rouge magnifiques ornaient et mettaient sa poitrine un peu trop volumineuse en valeur. Ses 20 doigts étaient également vernis de rouge à la perfection sans fausses notes et recouverts d'arabesque noires et fines. De longues boucles d'oreilles noires pendaient à ses oreilles... Et la fourrure de son sexe, avait été entièrement taillé, il ne restait qu'un petit cœur de poils taillé à la perfection qui donnait envie de l'embrasser à cet endroit avec de doux baisers. Elle portait également de grandes chaussures noires compensées qui creusaient son dos et faisait ressortir son magnifique fessier blanc. Immaculé. Des semaines qu'elle ne l'avait pas fait rougir, mais malgré la frustration de ne pas être fessée elle avais tenu bon, afin qu'il soit parfait pour ce jour si précieux à ses yeux.
 
Son parrain BDSM pour la cérémonie arriva à son tour. Elle rougie comme à son habitude quand il fixa son regard dans le sien. Il embrassa d'abord sa femme (la marraine de Leïna, qui s'enfuyait en courant pour assister au début de la cérémonie), puis il s'approcha à pas lents de sa petite protégée, humant l'instant. Il l'embrassa sur le front et sans un mot la serra tout contre lui tendrement. Depuis le temps, ils n'avaient plus besoin de se parler pour comprendre l'émotion qui les trahissait tout deux. Il sortit alors de sa poche un petit coffret en bois qu'il lui tendit:
- Tiens ouvres...
Le cœur battant, délicatement, elle ouvrit la fameuse boite. A l'intérieur, posé sur un écrin rouge, un collier... très simple... noir et élastique... avec de jolies arabesques un peu comme de la dentelle... Cette vision lui fit perdre ses mots mais ses yeux trahissaient l'affection qu'elle portais à ce collier. Elle fût submergée par une vague de souvenirs douce et bouleversante.
- Zaël m'a demandé que tu le portes pour le début de la cérémonie...
- Vraiment ? Dit-elle la larme à l’œil.
- Oui Leïna, vraiment. Tu me permets que je te le noue autour du cou une dernière fois...
- Oui Monsieur M, avec plaisir.
 
Alors il se glissa dans son dos et avec soin, lui noua autour du cou. Les pendentifs du collier, qu'elle avait elle même rajouté il y à bien longtemps de cela, ornaient à présent sa nuque. Un petit losange en argent gravé d'un P, pour la protection, avec inscrit Lee au dos de celui-ci (un nom qu'elle avait longtemps affectionné et qui faisait ce qu'elle était aujourd'hui: Leïna). Et de chaque côté du losange, deux autres pendentifs, soit deux ailes argentées. Au dos de l'une d'elle un S, derrière l'autre un M. Une fois le collier attaché, il l'embrassa à nouveau sur le front. Et sortit d'un deuxième écrin une longue laisse dorée fine et simple. Il l'attacha à un anneau de la même couleur qu'il avait ajouté récemment au collier qu'elle portais désormais. A cet instant la musique de Rose for Epona commença, il était temps, la cérémonie commençais.
- Prête ?
- Prête.

Elle s'agenouilla alors sur le sol, et se laissa guider, vers son avenir.

Il enroula la laisse, longue de plusieurs mètres autour de son poignet afin que celle-ci soit moins distendue, et ils quittèrent leur cache secrète. Quand ils sortirent de derrière le rideau blanc, tous les invités s'étaient levés, le sourire et l'émotion sur le visage. Il tirait sa petite protégée au rythme de la musique, entre les deux rangées de convives. La tête haute, le buste relevé, la croupe tendue dans une concentration non dissimulée, elle avançait tel une petite chatte sensuelle vers la petite estrade. Elle savourais cette traversée, honteuse, bercée par un grand bonheur, tout en évitant d'écorcher ses genoux. Heureusement son doux amant avait tout prévu, en installant un tapis rouge tout doux, pour que sa princesse, ne se fasse pas de mal, pendant sa petite balade à quatre-pattes. Elle voulais savourer chaque instant de ce mariage. Son parrain, Maitre.M, marchait à ses côtés aussi fière et ému qu'elle, tout vêtu de noir. Les invités soufflaient des bulles de savon sur leur passage. Qui pour certaines lui retombaient sur le creux du dos, laissant de petites auréoles à peine visibles sur la peau. Si elle n'avait pas eu peur de perdre sa concentration, elle aurait fermé les yeux pour arrêter le temps. Dans un coin de l'estrade, Zaël la dévorais du regard. Elle plongea son regard dans le sien, et passa sa langue sur ses lèvres. Il fut le seul à le voir, mais c'était leur secret. Une lèvre mordue languissante rien que pour lui. 

Arrivée devant l'estrade, son parrain d'un soir la fit monter toujours à quatre pattes, les trois petites marches qui surélevaient celle-ci. Au centre de la scène pendait deux anneaux de cuir noir. La musique avait cessé, et dans un silence religieux, il lui intima l'ordre se mettre dans la position la plus humble qui soit. Alors elle se coucha à ses pieds, ses deux bras étendus vers l'avant, au plus loin, la tête vers le sol. Il déposa la laisse doré sur son dos, sur plusieurs longueurs, avec douceur. Une nouvelle musique douce emplissait à présent la pièce. A cet instant un ami fidèle qu'elle avait choisit avec Zaël pour l'occasion, s'avança sur la scène dans son long manteau de cuir noir, afin de remplir la lourde tâche qui lui incombait: Maitre de cérémonie. Il hissa sa voix grave par dessus la musique:
- Maitresses, Maitres, soumises, soumis et électrons libres, je vous souhaite à tous la bienvenue aujourd'hui. En ce jour si particulier, vous serez les témoins de l'engagement de ma douce amie et soumise Leïna envers son Maitre Zaël. Et l'engagement de mon ami et Maitre Zaël envers la douce Leïna. J'espère que ce mariage à leur image vous émouvra autant que je le suis déjà, et que celui-ci les comblera de bonheur pour l'éternité. Je propose donc au parrain de notre petite protégée de commencer par la fouettée réglementaire de son dressage, afin de laisser ensuite la main, au Maitre, auquel elle est destinée. Maestro musique !
La salle applaudit avec fougue. Et une musique un peu rythmée commença.

Son parrain Maitre.M la fit se relever avec douceur et après l'avoir embrassée pour la troisième fois sur le front (signe de protection) il lui attacha les poignets aux anneaux suspendus. Elle était là les bras tendus au dessus de la tête, ses pieds touchant tout juste le sol, le regard droit, la respiration déjà haletante, tous les regards rivés sur sa nudité. Ce moment qu'elle avait tant attendu était arrivé, le mariage BDSM commençait. Elle prit une grande inspiration et se promis de savourer l'instant. Elle senti alors les mains de son amie et marraine S, lui poser un bandeau noir sur les yeux, elle jeta alors un dernier regard vers son cher et tendre, et finit par se soumettre au noir complet qui lui étais imposé. 




Les martinets vinrent alors rapidement lui lécher le corps. Avec douceur. Les seins, les fesses, le dos, le sexe. Puis sans crier gare, la fouettée devint plus vive, plus dure. Assez pour faire balancer sensuellement son corps suspendu sous la force des coups et faire rosir son corps; trop peu pour laisser la moindre marque, mais assez pour la faire danser. Son cœur se mit à battre la chamade, et elle se laissa ainsi bercée au gré de des coups tendres et vifs. Elle entendait très légèrement les anneaux grincer au fil de ses balancements. Elle avait occulté tout ce qui l'entourait, seul son touché était aux aguets. C'était un dressage après tout, aucune limite n'avaient été fixées. Mais si il y à bien une personne en qui elle avait totale confiance c'était Maitre.M. Il jouait avec habileté de ses deux martinets et frappait ou caressait sans prévenir de façon déstabilisante et très troublante, tout son corps était dans un grand émoi. Elle serra les cuisses, mais ses tétons pointaient sous les caches rouges et noirs, ce qui ne laissait planer aucun doute. Le rouge lui montait aux joues à cette idée. La fouettée ralentit alors et de longues caresses vinrent s'apposer sur son dos.

Une main, deux mains, trois mains, quatre mains, cinq.. Elle en perdit le compte, pourtant elle arrivait par le toucher à reconnaitre les doigts aussi bien de sa marraine, de son parrain et de son Maitre adoré Zaël. Entre les caresses, les petits picots qui roulaient sur son corps, les martinets tantôt doux, tantôt cinglants, les baisers, les petits gratouillis, son corps perdait la tête, et se mit à trembler. Six mains et/ou objets lui parcouraient le corps de façons différentes, partout. De la tête au pied celui-ci était sollicité, pour un trouble hors du communs. Le fait de ne pas voir décuplais ses sens, et la rendait fébrile, à fleur de peau. Chaque effleurement était démultiplié et accentuais son trouble. Les êtres qu'elle chérissait le plus étaient tous les trois autour d'elle, réunis pour son bonheur, et pour troubler toutes ses sensations et repères, pour dresser son corps de soumise. Elle sentais cette pression dans son entre-jambes et se mordais les lèvres au sang pour ne pas gémir de plaisir. Elle eu beau serrer les cuisses, elle ne put retenir un orgasme d'une intensité honteuse et inouïe. Son corps entier se mis à trembler, et elle eu beau pincer les lèvres, un petit couinement de plaisir s'échappa malgré elle, du fond de son âme. Intense et long. Elle avait l'impression d'avoir passé des heures sous leurs doigts respectifs. Les diverses sensations qui la submergeais cessèrent enfin, lui permettant de reprendre son souffle. Elle sentit un doux baiser sur ses lèvres, nul doute que que c'était celles de Zaël qui l'avait effleurée.  

Après quelques secondes de répit, seul un long fouet venait s'enrouler autour de son corps, désormais. Elle reconnue sans l'ombre d'un doute la frappe de son Maitre. De son doux et tendre aimé Zaël. Elle rêvais de l'embrasser, de parcourir son corps, encore et encore mais ainsi attachée, cela resterais fantasme pour l'instant. Au même moment, elle sentie que sa marraine lui dénouait le bandeau qui lui recouvrait les yeux, et elle se souvint tout à coup de la présence de tous ses amis dans la pièce. Elle les avait presque oublié, prise par l'intensité de l'instant. Elle plissa les yeux pour se remettre de l'éblouissement de la lumière et pû enfin plonger ses yeux dans ceux de son bien aimé, qui continuait à tourner autour d'elle en l'enroulant de son fouet. Bien que ce ne soit pas son objet préféré, elle l'avait choisit pour Zaël, et cette idée la troublais, de lui faire plaisir à lui aussi. Elle était fière qu'il puisse montrer son savoir faire aux yeux de  tous, et fière de tenir sous les cinglées sans le moindre cris. Son corps commençait légèrement à se zébrer, à se tortiller. Mais elle tenais bon pour lui, une façon de lui montrer tout son amour, toute sa soumission, à quel point elle pouvait se dépasser par amour, et lui obéir. Après trois derniers coups d'une force inouïe qui la fit se cambrer de douleur, il cessa. Elle était là le corps tendu et légèrement meurtri. Mais un sourire lumineux lui fendais le visage, dans une sorte d'extase d'avoir relevé ce défi sans la moindre plainte. Son Maitre vint glisser sa main fermement dans ses cheveux et couvrir ses lèvres de baisers. Tout en continuant à l'embrasser il la délivra, et lui massa tendrement les poignets.


 
Leur Maitre de cérémonie après les avoir laissé savourer cet instant repris le micro:
- A présent que la soumise est dressée et obéissante, et qu'elle à prouvé son mérite, il est temps qu'on l'habille dignement, afin qu'elle soit présentable pour son Maitre.
Sa marraine vint alors la chercher, et l'entraina dans un coin de la scène. Tandis qu'à l'avant-scène, le Maitre de cérémonie, poursuivais son propos:
-  Pendant ce temps, que Maitre Zaël s'installe dans son grand fauteuil rouge, afin de châtier les chairs offertes par sa soumise. Qu'il honore et colore les offrandes de celle-ci. Je demande donc aux cinq jeunes femmes choisies par notre douce soumise Leïna de s'avancer, afin d'être châtiées et d'éprouver le savoir faire, l'endurance, l'autorité, la tendresse, la persévérance et la bienveillance de Maitre Zaël. Afin que celui-ci prouve aux yeux de tous qu'il est à la hauteur de la soumise qui lui est offerte aujourd'hui. Que les hostilités commencent !
 
Tandis qu'elle dévorait la scène des yeux, son amie et marraine S, se mit à lui lacer sur le corps un magnifique corset rouge, que Leïna avait fait faire sur mesure pour l'occasion. Au centre de la scène se déroulait une toute autre scène. Son Maitre à présent installé dans un grand fauteuil rouge, retroussait ses manches. Cinq magnifiques femmes dans le plus simple appareil vinrent alors sur la scène. Des amies qui avaient acceptées de se prêter au jeu pour l'occasion. Les unes après les autres, sur une musique endiablée, vinrent se coucher sur les genoux de celui qu'elle aimais tant. Et une à une il leur caressa le dos et les fesses tout en entrecoupant ses douceurs de vives claques sur leurs fessiers rebondis. De belles femmes plantureuse à la peau douce. Elle les avaient choisies pour faire plaisir à son Maitre, cela l'enchantait qu'il puisse jouer avec d'autres femmes, et prouver ainsi qu'elle n'avait aucun doute sur sa fidélité et sur ses qualités de Maitre et de Dominant. Quand à lui, le défi était à présent de prouver, qu'il pouvait toutes les soumettre, les unes à la suite des autres, sans faillir, faiblir, ou outrepasser leurs limites respectives. Une myriade d'objets cinglants avait été mis à sa disposition. 

Chacune d'elle fut donc fessée, cravachée,ou encore paddlée avec vivacité, caresses et tendresse; Jusqu'à ce que chacunes de leur fesses soient assez rouge, pour que le public puisse en savourer la couleur, même de loin. Parfois il variait les positions imposées à ces demoiselles. A genoux, penchée en avant, sur le dos jambes relevées... Chaque fois que l'une d'entre elle finissait d'être châtiée, elle se relevais alors du mieux qu'elle pouvais et venait se placer à gauche du fauteuil. Tandis qu'il fessait la dernière, le corset de Leïna était à présent lassé, et elle enfila une petite jupe de cuir noire. Et profita de cet instant de répit pour se blottir au creux des bras de son amie S, qui la rassura. Les jeunes femmes semblaient ravies de leur séance avec Maitre Zaël, ce qu'elle confirmèrent d'ailleurs au micro, suite aux questions du Maitre de Cérémonie.

Une fois leurs fesses incandescentes, les cinq femmes au fessiers rosis, emmenèrent alors Maitre Zaël, dans l'autre angle de la scène en même temps que le Maitre de cérémonie annonça:
- Sous vos yeux Maitre Zaël vient de prouver sa bravoure et son savoir faire, même si pour ma part je n'en doutais pas un seul instant. Il n'a même pas une goutte de sueur pour perler sur son front et trahir l'effort que cela lui à demandé de châtier des demoiselles comme celle-ci. Ahhh... il à vraiment tout pour plaire. Dit-il en rigolant. A présent, à la demande de nos deux tourtereaux, nous allons les soumettre à un difficile exercice. En se liant pour l'éternité dans ce mariage BDSM, ils ont choisit de se jurer fidélité de leur jouissance. Afin de prouver leur volonté respective à tenir cet engagement, que chacun se soumette à la torture respective qui lui est réservé pour l'occasion et retienne son plaisir. Que les ré-jouissances, commencent ! 

Debout et fière, Maitre Zaël, laissa donc les cinq femmes qu'il avait châtiées, lui défaire sa chemise. Il devait à présent résister à leurs caresses langoureuses sans faillir, sans jouir. Chacune d'elle s’évertuait à lui caresser le torse, à l'embrasser de partout (sauf sur les lèvres, interdiction formelle de Leïna), à le caresser avec de petites plumes, et à lui mordre les tétons. Immobile il gardait toute sa concentration pour sa chère et tendre. Il faisait preuve d'un sang froid incroyable. Leïna rigolais intérieurement. Quelle homme pouvais se vanter, d'avoir ainsi 5 femmes nues à ses pieds, tentant de le faire plier. Mais elle n'eût que peu de temps pour y songer, car pour elle s'annonçait d'autres hostilités. Un deuxième fauteuil rouge avait fait son apparition. Sa marraine et son parrain s'installèrent alors dans chacun d'eux. Et comme prévu elle vint se placer sur leurs genoux, fesses vers le public. Le Maitre de cérémonie intervint alors à nouveau:
- Même loin du cœur, loin de la chair et loin du fouet, chacun de ses deux êtres s'engagent à résister à ce qui pourrait les détourner de leur route. Chacun s'engagent en cet instant à s'aimer sans faillir.


 
 
Sa jupe de cuir noire fût alors relevée, et une tonitruante fessée à quatre mains s’appliquait désormais sur son postérieur, tandis qu'elle entendait les cinq femmes glousser, continuant de caresser son mari, tentant de détourner son Maitre de son engagement. La fessée était vive et caressante comme elle les aimes. Tantôt des claques sèches et sévères venaient s'abattre, tantôt elles venaient s'enrouler sous ses fesses, ce qui bien entendu déclenchais toujours chez elle un plaisir difficile à retenir. Mais elle se devait désormais n'accorder ce plaisir qu'à son Maitre. Mais ainsi placée sur les genoux de ces deux êtres qu'elle chérissait tant, qui savaient la lire si bien, et qui l'avait fessée si souvent, il lui était difficile de résister à l'appel de la chair. La fessée était douce et douloureuse, mais si plaisante. Mais sa peur de faillir,  ne la faisais rêver que d'une chose, courir vers son Maitre à elle, afin qu'il l'enserre enfin dans ses bras. Alors l'émotion l'envahie et elle se mit à pleurer de bonheur, troublée, angoissée que l'un des deux craque, et très émue de recevoir sa dernière fessée, avec ceux qu'elle aimais tant et avec qui elle avait tant partagé... Sanglotant le plus légèrement possible, la musique s'arrêta enfin, et la fessée cessa. Et se laissa alors épuisée par toutes ces émotions, glisser sur le sol. A genoux sur le bois elle laissa alors son parrain et sa marraine d'un soir, l'entourer de leurs bras si tendres, et la réconforter comme ils savaient si bien le faire. Ils lui chuchotèrent à l'oreille:
- Nous aussi on t'aime Lee, mais il est à présent temps de laisser place à Leïna. On te souhaite tout le bonheur que tu puisse souhaiter.
- Moi aussi je vous aime tous les deux si fort. Chuchota t'-elle en resserrant son étreinte.

Solennellement Maitre Zaël se rhabilla, tandis que soumise Leïna finissait discrètement de sécher ses larmes. Les fauteuils furent ôtés de la scène. Et les cinq femmes s'alignèrent en fond de scène. Son parrain Maitre.M et sa marraine et amie S vinrent se placer à genoux devant elle. A présent s'étaient eux qui tenait le micro. D'un même voix il déclamèrent alors:
- Lee notre petite protégée nous te libérons de la soumission à laquelle tu t'étais engagée envers nous. Afin que tu fleurisses et t'épanouisses petite pâquerette et deviennes définitivement Leïna. Tu as trouvé un Maitre à la hauteur de la soumise que tu es, et nous sommes fière de ce que tu accompli aujourd'hui. Nous te souhaitons le plus grand des bonheurs. Va, vie et devient. Carpe Diem !
 Ils dénouèrent alors son ancien collier pour la dernière fois. Ils l'embrassèrent tremblant, et sous le coup d'une vive émotion, et se relevèrent. Toujours à genoux, avec sa longue laisse doré toujours accrochée autour du coup et éparpillée sur le sol, Leïna releva la tête très émue, pouvant enfin s'adonner complétement à son cher et tendre. 

Son Maitre aimé se tenait à présent devant elle, sérieux et doux. Près d'eux avait été placé un petit feu de joie, qui crépitait comme un brasier. Son Maitre s'agenouilla alors face à elle. Ému et bégayant il parla enfin dans le micro, tout en ouvrant un écrin en bois.
- Leïna, ma tendre aimée, ma femme, ma soumise, ma compagne pour la vie, acceptes tu ce collier, signe de mon engagement envers toi. En t'offrant celui-ci, je m'engage à te faire évoluer, à te soumettre pour ton plaisir et pour le mien. A sublimer la belle femme que tu es, à t'aimer à te chérir, à te protéger envers et contre tout, à toujours m'assurer de ta sécurité et de ton bien être. A être à la hauteur de ta soumission dévouée. A t'aimer et à t'être fidèle sans ne jamais faillir.
- Zaël, mon amour adoré, mon mari, mon Maitre, mon compagnon pour la vie, j'accepte ce collier, signe de mon engagement envers moi. En acceptant ce collier, je m'engage à progresser, à me soumettre, à t’obéir, pour ton plaisir et pour le mien. A représenter fièrement le Maitre que tu es, à t'aimer, à te chérir, à te protéger envers et contre tout, à toujours m'assurer de ton bonheur et de ton bien être. A être à la hauteur de ta domination dévouée. A t'aimer et à t'être fidèle sans ne jamais faillir. 
 
Il se releva alors solennellement, passa le collier au dessus du feu afin d'effacer les douleurs du passé et d'éloigner les démons, tandis qu'elle se couchais humblement à ses pieds. Il lui noua alors le collier  de cuir rouge et noir autour du cou. Un collier simple et doux au touché, tout à son image. Un grelot y était accroché avec un P gravé dessus. Et à l'intérieur leurs deux prénom, qui comme des petites billes venaient faire sonner le grelot à chaque mouvement. Ils ont choisit soigneusement le son de celui-ci chez un horloger, un bruit, une musique unique bien à eux, qui trahira désormais le moindre de ses pas. Il la releva enfin et l'embrassa avec une fougue non dissimulée. Leurs amis applaudirent alors vivement, certains sifflaient même,  tandis qu'ils s'embrassaient sous une nuée de pétales rouges jetées par les cinq femmes qui se tenaient depuis en fond de scène. Ils sentaient en cet instant tout l'amour qu'ils se portaient mutuellement les envahir et les saisir de tout leurs êtres.

Il restait à présent la cérémonie des roses, à laquelle ils tenaient tant tout les deux, et qui fût annoncée par le Maitre de cérémonie avec émotion:
- A présent que leur relation D/S est scellée par ce magnifique collier, preuve de leurs engagements respectifs, il est temps de lier l'amour de ces deux être pour l'éternité en faisant couler le sang. Qu'on apporte les roses...
A présent debout l'un en face de l'autre, on leur amena deux roses. Une blanche pour elle signe de sa pureté, comme une petite chose fragile et naissante, et une rouge pour lui preuve de sa bienveillance et de sa maturité... Ils avaient décidé de ne pas prononcer de grands discours, car les silences sont parfois bien plus fort que les mots. Et puis de toute façon l'essentiel avait été dit pendant la pose du collier. Elle prit d'abord la sienne , en détacha une épine et se piqua le doigt afin de faire perler le sang sur celui-ci. Elle fit tomber trois gouttes sur la rose blanche et trois gouttes sur la rose rouge. Puis tout en jetant l'épine dans le feu elle déclama:
- Mon Maitre en faisant perler mon sang, je m'engage, à souffrir pour toi envers et contre, et à t'aimer et me soumettre pour l’éternité.
A son tour Zaël détacha une épine de la magnifique rose rouge qu'il tenais à la main et se piqua le doigt, jusqu'à en faire perler son sang, avant de jeter l'épine dans le feu.
- Ma Soumise en faisant perler mon sang, je m'engage, à souffrir pour te protéger envers et contre tout avec bienveillance, et à t'aimer et te dominer pour l'éternité.
Alors leurs deux doigts griffés entrèrent en contact l'un contre l'autre et leur sang se mêlèrent signe de leur engagement et de leur amour éternel. 




A cet instant chaque convive présent alluma un cierge distribué à chacun pour l'occasion et tous furent invités par le Maitre de Cérémonie à participer:
Maitresses, Maitres, soumises, soumis et électrons libres, je vous invite à présent à venir allumer votre cierge dans le feu de joie ici présent, et à passer votre flamme sur la la chaîne et laisse de la douce soumise Leïna, afin ensuite que nous scellions leur amour et leur relation de Maitre et soumise à jamais. 
Les convives, un à un , vinrent donc allumer leur cierge, et brûler quelques secondes la laisse de plusieurs mètres qui pendait au cou de Leïna, et trainais sur le sol. Toute la chaîne doré fut ainsi brûlée de part en part. Les convives retournèrent s’assoir et  Maitre. M et sa femme S, saisirent alors la chaine et  au nom de tous leurs amis, ils les entourèrent tous deux  avec pour les lier à jamais.
Pendant qu'ils restaient lier, le regard plongé chacun dans celui de l'autre dans une très intense émotion, sa marraine, pris de l'encre de chine et une aiguille de tatouage. En effet Zaël ne voulant pas marquer sa bien aimée au fer, ils avaient convenu de tout deux se tatouer à l'encre de chine. S fit donc un point avec l'aiguille entre le pouce et l'index de la main droite de Maitre Zaël, dans le petit creux entre les deux doigts. Et fit de même sur la main gauche cette-fois ci, de Leïna.

Pendant l'acte le Maitre de cérémonie tout en chuchotant précisa:
- Maitre Zaël et sa Soumise Leïna ont choisis l'encre noir afin de marquer sur leurs corps cette journée à jamais, car le BDSM est un engagement de corps, d'âme et d'esprit. Par ces deux points respectifs, chaque fois qu'ils seront en difficultés, ou à l'inverse très heureux, ils devront se rappeler qu'en se donnant la main, leurs points seront côte à côte et qu'ils seront ainsi plus fort face à l'adversité, mais aussi plus heureux en partageant leurs réussites.
Une fois les points ancrés dans leur peau, on défit la chaîne qui les liait. Elle fut remise dans l'écrin rouge du début de cérémonie, afin comme le veut la tradition , que celle-ci soit offerte à un autre couple qui ne pourrait l'utiliser que dans l'unique condition où ils feraient eux aussi une telle cérémonie. En effet une chaîne de mariage BDSM ne sert qu'à cela et se doit chaque fois d'être offerte à un autre couple comme le plus grand des trésors à perpétuer. Leïna a sa petite idée de à qui l'offrir, mais cela, elle ne l'écrira pas dans cette histoire. Pour finir le Maitre de cérémonie prononça alors les paroles tant attendues:
- Je vous déclare à présent mariés Soumise Leïna et Maitre Zaël pour l’éternité , vous pouvez fesser la mariée... Heu pardon embrasser la mariée. 

Alors tout en lui assenant une douce caresse sur les fesses, Zaël embrassa Leïna, et il glissa son autre main dans la sienne afin que leur deux points se retrouvent côte à côte. Épanouis comme jamais, ils savourèrent leur bonheur, et avant de partir trinquer avec leur amis, ils se promirent de vivre heureux et d'avoir beaucoup d'enfants... Dans un dernier "je t'Aime" ils s'embrassèrent, lèvres contre lèvres, âme contre âme, corps contre corps, cœur contre cœur
 



Lee.