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mercredi 20 mai 2015

Ma petite Luciole: fête son anniversaire cuisant (Partie 2/3)


 Ma petite Luciole: Fête son Anniversaire Cuisant

Note: Promenons nous dans les bois pendant que le loup n'y est pas. Si il y était il nous fesserais, mais comme il n'y est pas, il nous fessera pas... Loup y es tu ? M'entend tu ? Que fais tu ? ... Je prend la badine et... J'ARRIVEEEEEE !! Ahhhhhhhh..... Oui Lee à toujours autant de soucis dans sa tête (rires) n'empêche que cette petite chansonnette illustre parfaitement la suite de mon histoire... Tout y es le loup, le petit chaperon rouge, la forêt et même l'instrument de bois... Mouhahahah... Cette histoire bien que toujours aussi fictive, à une saveur toute particulière pour moi... Je la dédie à quelqu'un qui me permets chaque jour de continuer à virevolter dans les bois en faisant tournoyer ma jupette... C'est à lui que je veux amener des tartes et de la confiture... Mais pas à n'importe quel goût la tarte... Mais ça c'est ma recette secrète !

 Si vous voulez un petit rappel le premier épisode est ici.... Contrairement à des récits comme la belle et la bête, Ma petite Luciole n'est normalement pas une histoire en continue, même si il peut y avoir deux ou trois épisodes pour un même titre (comme aujourd'hui) mais pour le coup ce sont plus des histoires ponctuels à un instant donné... La suite arrivera certainement quand la chevillette cherra...



Lee, qui virevolte en direction de chez sa grand mère, 
qui à désormais des poils pleins les pattes...



 


***

Lorsque la voiture s'engage enfin sur un petit chemin de terre qui mène à l'hôtel, Lou relève la tête de son petit carnet et n'en revient pas de la longueur de sa liste de bêtises... Si Monsieur se montre aussi sévère que sur l'air d’autoroute, il ne laissera vraiment rien passer, et cette idée lui donne de la peine à déglutir... En même temps cela fait vraiment des jours et des jours qu'elle le pousse à bout et elle qui lui demande souvent d'être plus sévère, ou de ne pas hésiter à la reprendre sur le fait, elle sent qu'elle va être servie. La voiture est cahotée sur le chemin de terre qui est bordé d'immenses arbres à la végétation très dense. Lou à presque l'impression d'être secouée dans tous les sens comme dans une machine à laver, même si elle reconnait ne jamais être montée dans une d'entre elle. Au loin se dessine une immense propriété, au cœur de la forêt. Lou n'en croit pas ses yeux et est émerveillée... Une sorte de petit château en pierre pointe le bout de son nez parmi les arbres, et est encadré par deux grandes tourelles. De grands vitraux colorés ornent les immenses fenêtre. Un petit coin de paradis digne d'un séjour romantique. 
- Oh mon amour, c'est magnifique, c'est endroit est... féerique ! C'est...
- Ça te plait ?  
Elle se retourne vers lui, un immense sourire aux lèvres.
- Si ça me plait ? Bien sur que ça me plait, c'est ... je suis très touchée j'ai l'impression d'être une petite princesse. Lou se mord alors une lèvre rougissante de plaisir. Merci vraiment c'est un très beau cadeau... ajoute telle un peu émue. 

Monsieur venant à l'instant de garer la voiture sur le parking, Lou se penche vers lui et l'embrasse timidement, se souvenant tout à coup de la pénitence promise, et ne sachant pas trop si à cette instant elle doit être sa petite soumise docile, ou son petit bout de femme folle amoureuse. Un peu des deux sans doute. Alors sentant son hésitation qu'il trouve touchante, son Maitre tendrement mais fermement la saisie par le cou, et l'embrasse fougueusement en introduisant sa langue dans sa bouche, il joue avec la sienne, la retire, puis revient profondément l'embrasser, lui mordille une lèvre, goûte sa petite langue sucrée, encore et encore, puis s'écarte enfin; leurs quatre yeux pétillent de bonheur. 

C'est à ce moment là que Monsieur décide de reprendre les commandes.   
- Ma Luciole, n'oublies pas toutefois que en fonction de ce que tu as à te faire pardonner, le weekend risque d'être plus ou moins mouvementé pour ton postérieur. Ton comportement ici, aura également un impact important sur le déroulement de ce weekend. Je n'admettrais aucune incartade. Nous sommes bien d'accord ? Je te veux obéissante, comme une jeune fille bien sage ? 
- Oui Maitre, dit elle à nouveau contrite.   
- Bien, je vais aller chercher les clefs de notre chambre, car ce soir nous ne dormons pas dans le château même et..
Lou lui coupa la parole:
- Mais on dort où alors ? 
- Depuis quand te permets tu de couper la parole à ton Maitre, je ne veux plus t'entendre, tu te tais. Dit il fermement la faisant automatiquement baisser les yeux. Sauf quand je te pose une question. Et tu lèves la main pour prendre la parole jusqu'à nouvel ordre, et attend que je t'y autorise pour parler. Je vais t'apprendre ce que obéir veux dire. C'est bien compris ? 
Un frisson troublant parcouru Lou de la tête au pieds, et bien que légèrement contrarié de devoir se taire, elle qui est si pipelette d'habitude, elle fit un énorme effort pour prendre sur elle.
- Oui Maitre c'est compris. 
- Bien, donc je disais. Je vais aller chercher les clefs de notre chambre qui est un peu à l'écart du château car je souhaitais que nous ayons un peu d'intimité. Pendant ce temps, tu vas aller me ramasser quelques branches d'arbres bien fines, qui quand on en donne un coup vif dans l'air, produisent un agréable bruit cinglant.

Les yeux de Lou s'arrondirent. Elle déteste tout ce qui est fin et qui brûle à l'impact, un peu comme le cracker d'un fouet par exemple. Décidément elle ne va pas rigoler. Elle répond d'un petit oui Maitre à peine audible et s’exécute tandis que Monsieur part annoncer leur arrivée à l'accueil. Quelques minutes plus tard les voilà, tout deux de retour dans la voiture, Lou tenant à la main très gênée, 5 longues branches d'arbres fines, qu'elle à tout de même essayée de choisir un peu épaisse; histoire, que l'impact soit plus sourd et moins effilé. Et Monsieur tient désormais dans sa main une clef un peu rouillée, à l'ancienne, digne de lourdes porte en chêne. Monsieur remet, le contact, contourne le château par la droite, s'engage dans une seconde petite allée de terre, qui monte de manière de plus en plus ardue, et seulement 5 min plus tard au détour d'un virage étroit, en épingle à cheveux, apparait un petit chalet en bois clair, isolé au milieu de la forêt. Lou trouve cette endroit encore plus cosy et adorable que le château; même si l'idée d'être isolée avec son Maitre alors qu'elle est en pénitence, ne la rassure pas. Elle pourra crier personne ne l'entendra... Au moment où elle se fait cette réflexion, un sourire un brin sadique se dessine sur le visage de son Maitre, qui doit surement en arriver aux même conclusions qu'elle.  A moins qu'il ne lise dans ses pensées...

A l'intérieur du chalet, se trouve un petit Hall d'entré en bois avec un petit porte-manteau. Chacun y accroche sa petite laine. En ouvrant la porte qui mène vers la salle à manger, cuisine, salon, des cris d'extase franchissent les lèvres de Lou. La pièce est immense et magnifique. A gauche se trouve une cuisine américaine, en granit, immense et bien, meublée, avec même un petit bar accompagné de ses deux chaises pour se préparer des cocktails. Ensuite se trouve un immense canapé d'angle avec de chaudes couvertures toutes douces, et des dizaines de coussins, face à une immense cheminée, remplie de rondins de bois, prête à être allumée. Un immense hamac en toile est suspendu au milieu de la pièce, et les murs sont recouvert d'une immense bibliothèque, et de centaines de livres. Mais le plus incroyable est lorsque l'ont descend les quatre petites marches dissimulées derrière le canapé; en effet, se trouve un immense jacuzzi enterré dans le sol. Et sur un petit guéridon gris à côté, des produits parfumés, des pétales de roses prêtes à être parsemées, ainsi que deux peignoirs de couleur noire. Lou est estomaquée, elle n'en croit pas ses yeux, car pour couronner le tout une immense baie  vitrée fait toute la longueur de la pièce et donne une vue imprenable sur la forêt. On aperçoit la ville au loin malgré le brouillard. Dans le chalet se trouve également une chambre immense avec un tapis si doux que l'on pourrais y dormir. Le lit king size qui trône au milieu de la pièce est si grand, que la première idée que Lou à eu en le voyant, est la probabilité qu'elle perde son chemin en se glissant dedans parmi la montagne d'oreillers et l'épaisseur de la couette. Une deuxième cheminée décore la pièce.  Et une petite porte donne sur la salle de bain, où se trouve un superbe baignoire, ainsi qu'une douche à l'Italienne... Lou émerveillée laisse ses fesses toutes rondes rebondir sur le lit, elle ne sait même plus quoi dire. Et son Monsieur semble satisfait de lire un tel plaisir sur le visage de sa petite protégée. Elle le remercie encore, et encore, une vraie princesse, qui à bien de la chance se dit t-elle...
 


 
Une fois l'effet de surprise passée et l'après-midi étant déjà bien avancée, son Maitre décide qu'il est temps de passer aux choses sérieuses. 
- Bon Lou tu vas me chercher ton carnet, tu me le dépose sur la table du salon, et je te veux au coin, mains sur la tête, dos à la baie vitrée.
Lou semble interloquée, le retour à la réalité semble avoir mis un coup à son enthousiasme. Cet endroit est si romantique qu'elle hésite presque de lui demander de faire marche arrière, et de lui dire qu'elle veut effacer l'ardoise, l'endroit est trop fabuleux pour y être punie.
Sentant sa réticence à s'exécuter Monsieur insiste:
- Lou ne m'oblige pas à me répéter une troisième fois ou ça va barder. Obéis !
A pas lents Lou s'exécute la tête basse et vient ensuite se mettre sagement au coin. Son Maitre se glisse alors dans son dos:
- Combien de bêtises as tu notées dans ton carnet ma soumise, demande t-il en effleurant ses seins à travers son corsage. 
- 11, Maitre...
- 11 ! s'exclame t'il surpris.
- Et bien vous m'aviez dit de noter tout ce que je n'avais pas respecté depuis un mois, alors j'ai essayé de ne rien oublier... 
- Si tu as noté tout cela consciencieusement je t'en félicites. Dit il en passant sa main dans son entrecuisse.
Elle ne porte plus de culotte depuis qu'il lui à fait retirer, et son petit minou est déjà tout humide. D'un seul coup il prend un ton très dur et ferme, ce qui l'a fait presque sursauté.
- Vous pouvez m'expliquer l'état de votre entre-cuisse mademoiselle ?! Vous pensez que c'est une attitude correcte pour une jeune fille punie ?!
- Non je...
Une énorme claque vient abattre sur sa fesse droite. 
- Vous pouvez m'expliquer ?
- Je... Non je ne peux pas...
Une deuxième claque s’abat cette fois ci sur l’autre fesse, si forte qu'une marque de doigt apparait. 
- J'en déduit que lorsque je vous gronde, vous êtes en émoi... vous n'avez pas honte, de mouiller ainsi, je vais vous en faire passer, l'envie moi ! Penchez vous, mains aux chevilles !
Honteuse, Lou se penche en essayant de tirer sur sa jupe pour cacher ses fesses, mais une tape dissuasive sur le dessus de sa main, la ravisa aussi tôt. Ses fesses sont si rondes et lisses, qu'on mourrait d'envie de croquer dedans. 

A la place, Monsieur partit chercher le carnet sa petite soumise, et  tout en passant un doigt entre les fesses et sur le bouton d'or de sa bien aimée, dans un va et vient assez rapide, commence à lire:
-  un, J'ai séché à plusieurs reprises mes cours de fac mettant en danger ma formation. Deux. J'ai été en retard à plusieurs reprises, car je me suis couchée trop tard la veille. Trois, je fait toujours mes dossiers à la dernière minute... Et bien ça fait déjà pas mal pour commencer...
Monsieur réfléchit un instant et sort de la pièce. Lou frissonne et se demande ce qu'il à bien pu aller chercher. Son intimité ainsi exposée la rend vulnérable et accentue son émoi, mais surtout la main baladeuse de son Maitre, à décuplé son désir. Mais elle sait qu'il ne la satisfera pas avant la fin de sa punition. Alors qu'une envie la démange de tourner la tête pour voir où il est passé, une claque s'abat sur ses fesses, ce qui la surprend. Elle ne l'avait pas entendu revenir. 
- Tu enlèves le bas de ta jupe et tu vas te pencher sur l'accoudoir du canapé. 

Lou se relève et n'ose le regarder, elle plie sa jupe soigneusement et va se pencher confortablement, fesses tendues. Une trentaine de claques s’abattent alors sur ses fesses sans crier gare, fortes, fermes en continue. Au début elle ne dit rien, et encaisse la punition dans le silence le plus complet, mais au bout de trois dizaines de claques bien appliquées,  Lou tente de glisser sa main, mais Monsieur lui bloque dans le creux du dos. Tout en la fessant il demande:
- Combien de fois à tu séché les cours Lou ? 
CLAC, CLAC, CLAC.
- Je ... CLAC... Je ne sais pas...CLAC.
- Combien ? réitère t'il fermement.
Lou sent ses fesses qui commencent à lui cuire, elle avais oublié à quel point quand il le voulais ses fessées pouvaient être douloureuses, elle ne pense qu'à se dandiner, à cette brûlure qui s'abat sans cesse, et qui l'empêche de se concentrer.
- Maitre... je sais pas ... CLAC, CLAC.... quelques fois... aë ça fait mal... pitié. CLAC, CLAC, CLAC, CLAC. D'accord beaucoup de foiiiisss....
Les claques sur ses fesses redoublent, Lou bat des jambes, mais ses mains sont fermement maintenues dans la main de Monsieur. Et la petite chipie commence à couiner en sourdine. 
- Je veux un chiffre exacte mademoiselle ! CLAC, CLAC, CLAC, CLAC.
- Je sais passs.... CLAC, CLAC, CLAC, CLAC, CLAC.... 10....CLAC.... 8 ou 12... CLAC, CLAC. Dans ces eaux là...CLAC. Dit elle le souffle court. Maitreee... supplie t' elle la voix commençant à chevroter... 
- 12 dis tu ?! CLAC, CLAC.
- Ouiiiii... CLAC, CLAC, CLAC, CLAC... ouiiii... dit elle au bord des larmes.

Enfin les claques s'arrêtent. Le silence se fait, Monsieur relâche enfin les poignets de sa jeune capricieuse, on n'entend plus que le souffle de Lou encore un peu saccadé, tandis qu'elle reprend ses esprits. Elle qui est très D/S ça la trouble toujours terriblement quand il la gronde en la fessant, en l'enfermant avec lui dans la bulle de la fessée, en empêchant son esprit de s'y soustraire, en l'envahissant d'une honte qui la ronge au travers de ses mots... Son entrecuisse est brulante de désir, et ses fesses de douleur, Lou ne sait plus ou donner de la tête.  Pile à cet instant elle sent un carré de bois frais venir se poser délicatement contre ses fesses, elle veut tourner la tête pour regarder mais son Maitre lui à saisi fermement les cheveux, l'obligeant à garder sa position. Elle sent le bois qui se balade sur sa croupe incandescente, cela lui rafraichirait presque le derrière et tandis qu'elle cherche quel instrument se promène ainsi sur son dodu  fessier, Monsieur rompt le silence:
- Tu vas compter à chaque coup et me remercier. C'est bien compris ? 
Elle sent que le bois à des espèces de petites nervures, comme des petits trou qui... PAN ! A cet instant l'objet s'abat sur son séant. Son corps entier se balance vers l'avant.
- Un paddle... souffle t-elle pour elle même.




- Je n'ai pas bien entendue ma soumise, est ce que c'est compris ?
- Oui... Oui Maitre, c'est compris. Dit elle tristement. Mais je... je ... ça va faire mal couine t-elle. 12 coups c'est beaucoup... dit elle un peu apeurée connaissant parfaitement les dégâts que peut causer un tel instrument sur ses fesses charnues.
- Qui à parlé de 12 coups....? C'est toi qui décide des punitions maintenant ?
- Non.. Je...
- Tais toi ! Ce sera deux cours séché pour un coup... Mais puisque tu couines et te plains ça t'en fera deux de plus. Et Tu l'a méritée jeune fille, tu sèches, les cours, et tu attends toujours le dernier moment pour me le dire. Tu crois que c'est comme cela que tu vas valider ta licence. Tu fais une formation à double cursus qui est difficile si tu ne vas pas en cours, tu n'y arriveras pas c'est sûr.... Tu me décois Lou... Vraiment tu me déçois.... dit il d'une voit posée et autoritaire. 

Son cœur se serra, elle détestait lorsqu'il lui disait cela, l'envie de pleurer la prenait toujours. Elle se sentait si coupable tout à coup. Il avais raison dans le fond... C'est elle qu'elle pénalisais en séchant... Et elle agissait toujours sur un coup de tête par flemme ou ennui, et après c'était toujours un enfer pour elle de rattraper son retard... Et c'est lui chaque fois qui l'aidais à réparer les pots cassés... Elle se mit alors à calculer 12 divisé par 2, ça fait 6 plus deux.. Huit coups de paddle.... Son record... Elle allais s'en souvenir c'est sur...  elle sentit le bras de son Maitre se lever, elle serra les fesses instinctivement, et un premier coup atterrit sur son popotin. Dur et lourd, dans un bruit sourd.
- Uhhhh... geint-elle. Un...Merci Maitre. 
Le remercier lui écorcha la bouche, mais elle voulais à tout prix éviter de s'ajouter des coups supplémentaires. PAN !
- Ouhhh... souffle t'elle à nouveau en geignant presque. Deux... merci... Merci Maitre.
PAN ! Réitère t'il sans lui laisser le temps de se ressaisir.
- Ahouuu.... Ahouuu... couine t'elle en secouant ses jambes comme pour faire passer la douleur. Ohhhh... Maitre... Trois. Merci... Maitre. 
Quelques secondes passe le Paddle, caressa sa croupe et s'abat à nouveau. PAN !
- Uhhh ... ouhhhhhh... dit elle en se frottant les fesses.
- Tu enlèves tes mains tout de suite ! tonna t'il.
Elle obéis. 
- Maitre ça fait mal. geint t'elle à nouveau. 
- Le but n'est pas que tu prennes du bon temps. C'est une punition ! s'énerva t'il. Et puisque tu ne comptes pas celui là ne compte pas, dit il en lui assenant le 4ème coup à nouveau. PAN !
Lou agrippa ses mains dans l'accoudoir pour éviter de se frotter les fesses, aucun son ne sortit de sa bouche, puis tristement elle chuchota.
- Quatre Maitre. Merci Maitre... Je vous demande pardon...uhhh... je vous en prie...
- Je suis obligé de te déculotter les fesses à l'air, et de te punir, comme une petite fille, parce que tu n'écoutes rien. Je ne peux pas te faire confiance. Crois mois tu vas pleurer à chaudes larmes jeunes filles et avoir honte toute ta vie de cette fessée. 
Il jouais sur son esprit en pesant bien ses mots, et cela la troublait terriblement même si l'envie de pleurer commençais à devenir insistante. Il savait parfaitement quelle discours la ferais s'abandonner. PAN !  
- uhhh... Cinq.. Maitre..Merci... merci.. commença telle à sangloter.
- Tu es une petite fille désobéissante ! 
- Je ne suis pas une petite fille, chouina t-elle. 
PAN !
Elle se mit à pleurer silencieusement.
- Six. Merci... uhh.... uhhh... Maitre. 
- Tu n'est pas une petite fille, alors pourquoi je suis obligée de te mettre au coin, de te rappeler lorsque tu as cours, et de te gronder. De te rougir les fesses jusqu'à ce que tu pleures comme une sale gamine. Il n'y à que ça qui marche avec toi.
- Non... pardon... je suis désolée.. Maitre... 
- C'est trop tard pour les excuses... dit il visiblement déçu...
PAN ! Lou éclata définitivement en sanglot. Son corps fut prit de petits soubresauts. On entendait ses petits couinement aigus saccadés.
- Sept...Maitre... elle déglutit difficilement, les yeux baignés de larmes. Merci Maitre.
Il posa alors une main au creux de son dos, le temps qu'elle reprenne un peu son souffle. Le contact de la main de son Maitre au creux de son dos, l'apaisa un peu. Il l'aurait prise à cet instant, elle était persuadée qu'elle aurait jouit comme jamais, mais c'était une punition... Ses fesses commençaient avoir de sacrées marques. Le Paddle ça ne pardonne pas. Mais aux groses bêtises les grands remèdes. Il lui demanda tendrement:
- Ma Luciole, il reste un coup.. tu es prête ? 
- Oui... oui Maitre.
PAN !
- Huit. Merci Maitre.
Il posa le paddle et lui caressa tendrement les fesses sans non plus trop la cajoler. Ca restait une punition et bien qu'il mourrais d'envie de glisser son sexe entre ses deux fesses au fin fond de son vagin, afin de la prendre en levrette, avec sous les yeux son séant rougi, il se retient. Il la releva délicatement. La câlina rapidement contre son torse et lui demanda de se déshabiller et de se tenir au coin, les bras le long du corps. Elle se frotta les yeux et obéis sans demander son reste, et tout en reniflant alla occuper la position demander. 

Quelques minutes plus tard, son Maitre revint vêtu d'un maillot de bain, il caressa rapidement les orifices de son corps nu, son entrecuisse ruisselait abondamment. Alors là, comme ça sans prévenir, il la pénétra en levrette, au début doucement puis très vivement. Une main maintenant fermement sa fesse droite, l'autre posé sur sa gorge émettant des sons de plaisir assez bruyant. Quand les râles de sa petite chipie se firent plus bruyant et rapprochées, il lui chuchota à l'oreille.
- Tu n'es qu'une vilaine fille, qui va prendre une fessée déculottée sur mes genoux, jusqu'à pleurer toutes les larmes de ton corps... 
- Non... ohhhhhhhhh ... oui... Non ! Encore... 
- Une fessée déculottée insista t-il comme une sale gamine, les fesses toutes rouges ! dit il fermement en claquant une de ses fesses.
A cet instant elle se mit à trembler et un terrible orgasme comme elle n'en avait jamais eu l'envahie des pieds à la tête. A l'intérieur tout son sexe se mit à trembler à s'embraser, et d'un cri bruyant elle jouit... longtemps... le souffle saccadé... 
Une larme coula sur sa joue, elle se blottit dans les bras de son Maitre qui la prit par la main et la fit entrer dans le jacuzzi avec lui. L'eau était si chaude et si bonne qu'elle n'avait plus qu'une envie y rester pour le restant de ses jours. Son cher et tendre s'assit sur un petit rebord intérieur prévu à cette effet, et en lui attrapant les seins, il la tira tout contre lui. Elle fit une grimace de douleur et quelques secondes après elle se pelotonna contre lui. Elle lui embrassa tout le corps et chuchota:
- Merci Maitre... pour mon plaisir... et pardon... pardon... je  sais que sans vous je ferais vraiment n'importe quoi avec mes études... J'aime ce que je fais mais je manque de rigueur et c'est vous qui m'apportez tout ça. Je vous aime Maitre. Je t'aime mon amour. Merci... pour tout.
Tout en lui caressant la tête tendrement il ajouta:
- Ma Luciole, tu es pardonnée. Je sais que tu as compris et que tu vas faire des efforts, et je vais t'aider à t'y tenir. Promis. Je t'aime ma petite soumise, je t'aime mon petit Koala.




Et il déposa un tendre baiser sur son front.... 

(A suivre...)

13 commentaires:

  1. j'adore j'adore j'adorrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrre les récits de lee <3 ralala cette Lou n'est pas très différente
    de Lilou et c'est monsieur et aussi sévère que le monsieur de Lilou et il sais y faire ! vivement la suite je suis impatienteeeeeeeee !!

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    1. Merci chère Lilou, prochain récit c'est le tiens... que je te ferais lire avant publication bien sur.
      Merci pour le compliment tu m'en vois ravie. Dans Lou il y à beaucoup de Lee, encore plus que dans Kyara, et un Monsieur comme ça, clairement je l'épouse.
      Bisous ! :)

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    2. de rien Lee =) cool j'en meurt d'impatiente ! j'ai hâte hâte hâte ! t'ai-je déjà dis que j'avais hâte de le lire ? rires moi aussi un monsieur comme cela je l’épouse mdr
      gros bisous de Lilou qui s'impatiente

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  2. C'est un texte qui fait un peu écho à celui que j ai écrit il y a maintenant 3mois. Quoiqu'un poil plus sm mais qui se passe dans un manoir et un peu en foret. Bref. Je me relis en vous ;-).
    Comme dit le proverbe "les grands esprits se rencontrent" rires. Ceci dit nous avons certainement le meme age donc c'est peut etre normal.
    Au plaisir de vous lire.

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    1. Ouhhh mais chère Cléa savez vous que ce que vous dites là me donne très envie de dévorer votre récit, dont je suis si friande (et pas le friand à manger... :p , oui je sais j'ai un humour "à la mord moi le noeud", sans mauvais jeu de mots) ! Ah j'aime bien ça les "grand esprits", tout de suite vous monter de 12 niveaux dans mon estime :D ! Merci en tout cas.

      Et bien il est fort possible que nous ayons le même âge en effet, même si je ne suis encore qu'un bébé novice (bon ok un bambin qui fait ses premiers pas) qui découvre le monde BDSM ! D'ailleurs à ce propos, faut pas me vouvoyer pitié j'ai l'impression d'avoir 40 ans ! Bien que les gens de 40 ne soient pas si vieux... ou presque (ouh la vilaine que je suis, si quelqu'un lit ça je vais prendre cher) !

      Au plaisir partagée,
      amicalement,
      Lee. :D !!!!

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  3. Alors si je te tutoie ca en va de meme pour moi, un quart de siecle c est pas si vieux pour etre vouvoyer;-) bien qu il n y ai pas d age pour etre vieux. Il n y a pas que toi qui fait ses premiers pas, mais l imaginaire parfois dépasse la réalité mais celle ci nous rattrape vite les fesses si j oses dire.
    J avoue hésiter à partager mes récits mais une apréhension se fait insistante. La suite me le dira. Pour le moment c'est Monsieur mon seul lecteur et correcteur de fautes rires

    Aux plaisirs
    Cléa

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    1. Promis je vais essayer de tutoyer aussi, et combattre ce vouvoiement qui revient naturellement au galop, par politesse inconsciente je suppose.

      Ah oui l'imaginaire est parfois la sublimation de la réalité qui ne peux pas toujours avoir cet équilibre parfait du récit fantasmée et en même temps c'est parfois cette réalité qui nous surprend sans crier et nous bouleverse avec passion, et qui devient l'inspiration de nos plus beaux écrits.

      Très dur de soumettre ses premiers écrits. Moi au début je faisait beaucoup de fautes d'orthographes et j'avais peur que mes récits passent moins bien. Ou encore quand je regarde mes débuts avec la belle et la bête que je souhaite malgré tout terminée, et mes écrits de Lou, la Luciole, je trouve mes débuts moins bon que maintenant, avec moins de finesse. Mais en même temps, c'est une autre forme de douce adrénaline à découvrir, de savoir si un lecteur là bas que tu ne connais pas sera emportée de plaisir par tes mots.. Mes prends ton temps, il est parfois important d'avoir des écrits rien que pour soi...

      Merci sincèrement pour toutes les gentilles attention de ton passage sur mon blog (T'a vu je me suis pas trompée j'ai dit tu :p ), au plaisir, Lee.

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  4. Huuum, j'adoooooore!

    Lilas!

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    1. Merci Mam'zelle, ravie d'éveiller vos sens.

      Amicalement,
      Lee. :)

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  5. Très bon récit ma soumise, tellement réaliste ...

    Maitre SpanKlee

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    1. Vous m'en voyez ravie, espérant que cela me vaudra une remise de peine la prochaine fois ! :D
      Très sagement,
      Votre douce Lee.

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    2. Une remise de peine certainement pas :). Je crois même que je vais maintenant graduer les punitions en fonction des fautes d'orthographe de tes posts (et de tes réponses aux messages).
      En tout cas je trouve que ce récit est l'un des plus évocateurs que tu aies pu écrire, qu'il nous plonge véritablement dans le monde fantasmé de tes envies de DD et qu'il me guide pour le monde réel. Tu as un vrai talent d'écrivain, lee (désolé pour la majuscule ma soumise;p), ce qui renforce pour moi le respect que je te porte.

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