La belle et la bête
Notes: Chapitre 8.... La fameuse et suprême punition tant promise de Monsieur à Kyara...
Bonne lecture :) !
Lee, que cette histoire fait tant rêver.
Bonne lecture :) !
Lee, que cette histoire fait tant rêver.
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Chapitre 8: Douce fermeté
Narrateur: Monsieur
LUNDI 6 JUILLET (au soir)
Je la fis tout d’abord s’agenouiller face au mur… pendant
de longues minutes… Le temps de réfléchir à la sévère sanction que j'allais lui administrer mais aussi qu'elle cesse un peu de trembler.
Puis je la fit revenir face à moi et lui ordonna de
mettre les mains sur la tête. Ce qu’elle
fit sans broncher. Je descendis délicatement son bas de pyjama et sa culotte, lui souleva les
jambes une après l’autre et lui ôta totalement, le plus lentement possible, lui laissant ainsi le temps de réaliser que je ne ferais preuve d'aucune indulgence. Je lui tendis ensuite ses
vêtement et lui demanda de les plier soigneusement au pied du lit. Elle s’exécuta avec soin.
Je lui intimais ensuite d’ôter entièrement son haut de pyjama. Je la voulais nue, dans le plus simple appareil, que la honte soit poussée à son extrême, la rendre totalement vulnérable à sa punition qu'elle méritais tant. Elle me regarda hébétée.
Incapable de bouger.
-
Pour la
deuxième fois, je vous demande d’enlever votre haut de pyjama et votre soutient gorge jeune fille.
Elle leva la main.
-
Kyara je vous donne la parole mais c’est l’unique fois de la soirée. Alors réfléchissez bien
à tout ce que vous voulez me dire. Car ce sera la seule clémence que je vous accorderais.
-
Monsieur…
J’ai peur… Je vous en prie pas le haut… Je vais être nue... Je pitié… pitié…
Je pris son visage dans ma main avec tendresse, elle évitait mon regard.
- Regardez moi !
Elle leva les yeux, le regard fuyant. Je plongeait les miens dans les siens.
-
Kyara... Je
ne vais pas te torturer, ni même te fouetter au sang, mais tu vas recevoir la
fessée magistrale que tu mérites. Je ne vais pas non plus te toucher ou tenter quoi
que ce soit de déplacé. Seulement qui dit bêtise inadmissible et impensable, dit sanction
à la hauteur de ta bêtise, que tu m'a toi même demandée, puisque j'étais prêt à te mettre à la porte. Tu as voulu rester, il faut désormais assumer ! Je veux que tu ressentes la honte en étant nue,
comme une petite fille qui reçoit la fessé, la même honte que tu aurait du
ressentir rien qu’à l’idée d’insulter Anna. Je ne parle même pas du fait d’oser
ne serait ce que d'imaginer de lever la main sur elle. Tu à commis une très grave bêtise, je veux que tu aies honte à en pleurer, tel une petit fille cul nue qui reçoit une très sévère fessée, et qu'ainsi tu ne recommence plus jamais. Tu comprends ?
Elle hocha la tête. Les yeux embués.
-
Bien. Alors ou
tu enlèves le haut ou je le fait moi même.
Elle prit son temps mais ôta tout, même son soutien
gorge. Elle était la entièrement nue les mains sur la tête. Quelle généreuse
poitrine. Ferme douce. Un délice pour les yeux.
Je la fis se pencher su la table et attrapa la règle en bois posée sur son bureau. Je lui fis compter 100 coups durant lesquels elle ne broncha pas. Jambes écartées, les fesses bien tendues. Ces fesses avaient beau marquées, pas un son, pas un bruit. Juste le frémissement des fesses avant chaque impact. Qu’elles étaient belles ainsi tendues, rougissantes, je voyais même le début de son intimité. Mais là n’était pas le problème.
Je dégrafais ma ceinture, ce qui la fit frissonner et lui assena de compter à nouveau les coups. Je passait la ceinture une ou deux fois sur son fessier tremblotant et sans crier gare je l’abattit très sévèrement avec le plus d'amplitude possible sur ses dunes. Rapides, forts, cinglants, les uns à la suite des autres, j'abattais ainsi le cuir sur son dodu derrière. Des soubresauts qui laissaient supposer des larmes faisait trembler sa poitrine sur la table. Sa poitrine ainsi écrasais roulait à chaque coup sur le bois de la table. Je la fessais ainsi longtemps, sans lui laisser la moindre seconde pour reprendre son souffle. Ma ceinture battant l'air à grande volées. Son corps balançait de droite à gauche, mais son séant était immobile. Ses fesses étaient marquées et rouges. D’un rouge détonnant et uniforme. Et pourtant qu'elle était endurante... Elle s'était offerte avec tant de repentance et de soumission à cette punition...
Je la fis mettre au coin à genoux. Et lui demanda de me raconter en détails son méfait de la veille, lui laissant ainsi le temps de reposer ses fesses. Elle n’omit aucun détail. Ni les griffures, ni les insultes, ni la raison de sa recherche à la bibliothèque. Une fois son récit fait, je la fit revenir, et la pencha cette fois ci au dessus du lit, les bras sur le matelas, le corps bien cambré. Puis je lui administrais bien plus d'une soixantaine de coups de cannes. Elle gémissait, pleurerait, mais ne pipa mot. J’ignorai, le bruit de ses sanglots, certes je lui avais interdit le moindre son mais la punition était très sévère, et je lui accordait donc de souffrir un peu. Ses jambes sautillaient sur places à chaque coup, puis se repositionnaient chaque fois. Quand elle hésitait à tendre ses fesses à nouveau je la guidais du bout de la canne. Plus les coups s'enchainaient plus elle était parcouru de tremblements dû à la douleur, et plus de longs couinement sortaient du fond de sa gorge. Sa tête se relevais chaque fois faisant balancer ses cheveux. Le bruit de la canne sifflait dans l'air tel un lent métronome.Cela faisait bien prêt d’une heure que je la corrigeais. Je la fit se mettre à genoux entre mes cuisses, face à moi, moi assis sur le lit.
(Un délice pour les yeux)
Je la fis se pencher su la table et attrapa la règle en bois posée sur son bureau. Je lui fis compter 100 coups durant lesquels elle ne broncha pas. Jambes écartées, les fesses bien tendues. Ces fesses avaient beau marquées, pas un son, pas un bruit. Juste le frémissement des fesses avant chaque impact. Qu’elles étaient belles ainsi tendues, rougissantes, je voyais même le début de son intimité. Mais là n’était pas le problème.
Je dégrafais ma ceinture, ce qui la fit frissonner et lui assena de compter à nouveau les coups. Je passait la ceinture une ou deux fois sur son fessier tremblotant et sans crier gare je l’abattit très sévèrement avec le plus d'amplitude possible sur ses dunes. Rapides, forts, cinglants, les uns à la suite des autres, j'abattais ainsi le cuir sur son dodu derrière. Des soubresauts qui laissaient supposer des larmes faisait trembler sa poitrine sur la table. Sa poitrine ainsi écrasais roulait à chaque coup sur le bois de la table. Je la fessais ainsi longtemps, sans lui laisser la moindre seconde pour reprendre son souffle. Ma ceinture battant l'air à grande volées. Son corps balançait de droite à gauche, mais son séant était immobile. Ses fesses étaient marquées et rouges. D’un rouge détonnant et uniforme. Et pourtant qu'elle était endurante... Elle s'était offerte avec tant de repentance et de soumission à cette punition...
(Je l'avais mise au coin, à genoux, ses fesses bien rouges)
Je la fis mettre au coin à genoux. Et lui demanda de me raconter en détails son méfait de la veille, lui laissant ainsi le temps de reposer ses fesses. Elle n’omit aucun détail. Ni les griffures, ni les insultes, ni la raison de sa recherche à la bibliothèque. Une fois son récit fait, je la fit revenir, et la pencha cette fois ci au dessus du lit, les bras sur le matelas, le corps bien cambré. Puis je lui administrais bien plus d'une soixantaine de coups de cannes. Elle gémissait, pleurerait, mais ne pipa mot. J’ignorai, le bruit de ses sanglots, certes je lui avais interdit le moindre son mais la punition était très sévère, et je lui accordait donc de souffrir un peu. Ses jambes sautillaient sur places à chaque coup, puis se repositionnaient chaque fois. Quand elle hésitait à tendre ses fesses à nouveau je la guidais du bout de la canne. Plus les coups s'enchainaient plus elle était parcouru de tremblements dû à la douleur, et plus de longs couinement sortaient du fond de sa gorge. Sa tête se relevais chaque fois faisant balancer ses cheveux. Le bruit de la canne sifflait dans l'air tel un lent métronome.Cela faisait bien prêt d’une heure que je la corrigeais. Je la fit se mettre à genoux entre mes cuisses, face à moi, moi assis sur le lit.
La tête baissée, le souffle haletant je la laissais reprendre ses esprits et essuyer ses larmes. J'étais touché de la fragilité de sa position.
-
Kyara
qu'avez vous à me dire ? Que penses-vous de votre comportement jeune fille ?
Elle prit une grande inspiration et se lança :
-
Monsieur
je vous demande pardon je regrette mon comportement, d’avoir tenté à nouveau de
vous échapper, d’avoir tenu tête à Anna, de vous avoir désobéis en lui manquant
de respect, de l’avoir insulté, de vous avoir insulté, de m’être battu avec
Anna, de l’avoir griffé au visage, de vous avoir caché la vérité… Pardon pour
tout… Pardon....
Ces excuses étaient sincères mais je voulais être certain
qu’elle comprenne la leçon.
Je l’allongeai sur mes genoux. Elle était là plat ventre
en travers de mes cuisses. Entièrement nue. Elle ne pleurait même plus. Elle
s’abandonnait. Je me mis donc à la fesser méthodiquement à la main. En claquant ni trop fort ni trop peu. Voyant que
j’avais atteint largement son seuil de tolérance, je lui saisit les mains, et bloqua ses
jambes. Ainsi elle put gigoter, à sa guise, à nouveau geindre, rien ne m'empêcherai de finir de lui claquer son rond popotin écarlate. Elle ondulait, mais ne tentais pas de s'échapper, elle semblait épuisée.
Pour les dix dernières claques je lui demandais de me remercier à chacune
d’elle. Ce qu’elle fit sans broncher. Je
la fis se pencher en avant mains aux chevilles dans un angle de la pièce… Le
cul ainsi tendu, j’admirais le travail… Espérant qu'elle n’oublierait plus jamais cette correction et n'oserai plus jamais lever la main sur quiconque dans un accès de colère... Je crus un instant apercevoir quelque chose couler entre ses cuisses… Sous prétexte
de regarder son postérieur de plus près, je lui posais une main sur le bas du dos, je me penchais, mon nez à quelques centimètres de son derrières rouge cerise, et me rendit compte,
qu’elle n’étais pas insensible à ma fessée… Elle mouillait... Mal à l’aise, je décidai d’éjecter
cet aspect de mon esprit pour l’instant. Et je lui ordonnais de se glisser dans
les draps.
Elle se retourna dans les draps sans dire un mot. Je m’assis sur le bord du lit et la contempla. Sentant qu’elle avait le cœur gros je posais une main sur son épaule. Tout à coup elle éclata à nouveau en sanglot. Encore... De gros sanglots de chagrin... Je la tirais de sous la couette et la pris entièrement nue dans mes bras. Je l’entourais. Elle pleura longuement, ainsi blottit. Elle resta là un long moment sur mes genoux, nue comme un vers. Ces fesses étaient brûlantes mais avait moins marques que deux jours auparavant, à mon grand étonnement. Au bout d’un certains temps elle me dit d’une toute petite voix, en étant toujours blottie, le nez dans mon coup, son corps tout chaud entre mes bras..
-
Monsieur….
-
Oui Mademoiselle la chipie, dites moi…
-
Je ne
voulais pas je vous assure… Je… Ce n’est pas dans mon habitude d’agir comme
cela.
-
Je me
doute Kyara, mais pourtant vous l'avez fait. Lui dis-je avec douceur en lui
passant une main dans le dos.
-
Anna est fâchée
après moi ? Vous croyez qu’elle me pardonnera ?
-
Je ne peux
répondre à sa place. Vous lui demanderez. Mais la connaissant, gentille comme
elle est, je ne pense pas qu’elle vous en tienne rigueur longtemps. A conditions
que vous ne recommenciez jamais…
-
Non
promis… Même si je déteste être ici, Anna est gentille avec moi… Je sais
qu’elle n’y est pour rien…
-
Kyara
dit-je en la redressant sur mes genoux. Si vous détestez vraiment être ici, pourquoi n'êtes vous pas partie ?
-
Je… Vous
me punissez tout le temps… Je suis malheureuse… Mais je ne veux plus jamais rentrer chez moi…
-
Que
dirais votre père si il apprenais cela ?
-
Je… Je…
Mon père est… je le déteste. Je fuirai…
-
Et au
fond de vous jeune fille, vous ne voulez vraiment pas avoir votre bac ?
-
Si… mais…
-
Mais
quoi ?!
-
Monsieur…
Je l’ai déjà raté deux fois… Et… Je me fiche du bac… Je veux partir loin de
tout… Je…
-
Je ne vous demande pas combien de fois vous l'avez raté par manque de sérieux mais si vous apprécieriez de l'obtenir ?
-
Ben oui…
bien sur, mais…
-
Alors il n'y à pas de mais ! Donnez vous les moyens pour que ce soit le cas !
-
…
- Je vous l'ai déjà dit jeune effrontée, je peux vraiment vous aider.
-
Mais vous
êtes un fous furieux, dit elle en se relevant de mes jambes et en
s’éloignant.. Vous me fessez à bout de
bras. De quel droit ? Vous n’êtes pas mon père ; Je ne vous connais
même pas… Vous vous occupez de moi, sans même me connaitre… Un tuteur pour l’été,
sa n’existe même pas. Je ne sais jamais à quoi m’attendre avec vous. Je ne sais
même pas comment vous vous appelez. Je vous déteste ! cria t’elle en
tournant dans la pièce entièrement nue, ses fesses rouges à l'air. Je trouvais cela
très mignon ce petit popotin furibond qui s'agitais dans la pièce. .
- Vous me détestez Kyara, et pourtant c'est vous qui avez demandé cette sanction ! C'est vous qui à deux reprises êtes restée de votre plein gré. Parce que vous savez que parfois quand je vous puni, j'ai raison et que c'est pour votre bien...
Reconnaissez le... Ce soir vous aviez tant de culpabilité que vous souhaitiez cette fessée, car vous aviez envie d'être pardonnée... Et Pourquoi ne me demandez vous pas comment je m’appelle si cela vous obsède
autant ?
-
Je…
-
…
-
Pourquoi
vous vous occupez de moi comme ça ?
-
Parce que
cela m’importe réellement. Vous avez l'air d'être une jeune fille très intelligente, pleine de capacité et je veux vous aider.. Et puis vous me rappelez ma sœur...
-
Normal
vous avez été payé pour ça ! Vous ne tenez pas à moi, mais à votre fric.
Cria t-elle, mi apeurée, mi défiante. Craignant surement que je la sermonne pour
son ton inapproprié.
-
Je
reviens accordez moi un instant Kyara.
Je filais dans mon bureau et revient dans la chambre avec
l’enveloppe, que son père m’avait donné.
Elle avait enfilé une nuisette légère en mon absence, qui la rendais si féminine, si femme, si jolie. Je lui tendis :
(Enveloppe remise par le père de Kyara, en guise de paiement).
Elle avait enfilé une nuisette légère en mon absence, qui la rendais si féminine, si femme, si jolie. Je lui tendis :
-
Tenez cet
argent est à vous… Je vous l’offre…
-
Vous…
-
Je vous
donne cet argent jeune effrontée. N’en parlez pas à votre père. Et faites ce que vous voulez avec ces sous dès la rentrée. Comme cela vous saurez que si vous restez, c’est parce que je le veux.
Parce que je pense que le cadre que je vous apporte est une chance pour vous.
-
Vous
bluffez…
-
Non.
Dis-je en posant l’enveloppe sur son bureau.
-
Pourquoi
vous feriez ça ?
-
Parce que vous le méritez Kyara malgré vos bêtises et que je me suis attaché à votre personnalité de feu. Comme une petite sœur dont on prend soin. Et
que j’ai l’impression qu’on à peu cru en vous. Moi je crois en vous Je sais que vous pouvez réussir des tas de choses, si tu vous vous en donnez les moyens. Vous avez l'intelligence pour.
-
…
-
…
-
Vraiment ?
demanda t-elle d’une toute petite voix.
-
Vraiment.
- ...
Nos yeux se fixèrent un long moment, une certaine émotion était palpable.
- Simplement si vous prenez la décision de rester jeune fille, je serais intraitable, mais en échange je vous promet votre bac et votre liberté !
- … .
-
N’ayez pas
peur de me parler Kyara. Je suis sévère mais je suis toujours favorable à la
discussion. Vous pouvez me dire tout ce que vous voulez, du moment que c’est avec
respect. Je ne vous punirais jamais pour cela. Vous vouliez me dire quelque chose ?
-
Non rien…
Je vais me coucher.
Lança t-elle l'air de rien... Elle souhaitais donc rester... Mais refusais de le reconnaitre... Ah rebelle jusqu'au bout... Son attitude étais comme un défi stimulant pour moi... Je savais que j'arriverai à l'adoucir mais que le combat serait rude...
Elle s’approcha du lit, à côté duquel je me tenais
debout. Arrivée à ma hauteur elle s’arrêta. Je sentais qu’elle avait besoin de
réconfort, car elle semblait, un peu perdue. Tiraillé par ses propres contradictions.
Je la pris à nouveau dans mes bras contre moi. Un long instant elle resta tout serrée contre moi. Puis elle se
glissa dans les draps.
-
Croyez
pas que je vous aime bien. Je
veux quand même partir d’ici. Dit elle peu sure d’elle en rabattant la
couette.
-
Je ne vous
demande pas de m’aimer mais de me faire confiance. Bonne nuit Kyara.
-
Bonne
nuit… Monsieur.
Elle bailla. Je remontai la couette jusqu’à son menton.
Caressa ses cheveux. Éteignit la lumière et quittais la pièce. Il était prêt de
minuit. Pas grave, car ma petite ingénue, commençait à accepter la situation.
J’étais satisfait. Je voulais vraiment qu’elle s’épanouisse, et je voyait bien
que son enfance avait dû être compliquée… Mais je ne désespérais pas de l’aider
à soulager ce qui lui pesait, sur le cœur, afin qu’elle puisse aller de l’avant.
Elle me faisait penser à ma sœur… Jeanne.. Ma petite Jeanne… Mon cœur se serra... Je ravalais mes
larmes et je filais me coucher. J’eus
beaucoup de mal à trouver le sommeil ce soir là.
(A suivre...)
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