La nuit était tombée. A travers les carreaux, son regard
s’était posé sur la ville. Une douce nostalgie, lui réchauffait le cœur. La
clope au bec, elle laissait échapper des
petites bouffées de fumée, et à chacune d’elle, elle prenait plaisir à imaginer
la magnifique journée qu’elle aurait pu passer… Elle prenait plaisir à imaginer
que...
Il l’avait prise en voiture,
et à toute vitesse, avait traversé villes et collines, glissant de temps à
autre une main sur sa cuisse.
Elle avait finie par repérer une
jolie forêt bien cachée, de celle où l’on peut s’amuser, quelques petits
regards langoureux avaient suffit à le convaincre.
Il l’avait alors fait descendre
de la voiture et là aux yeux de tous, il avait lentement fait descendre sa
petite culotte, pour la glisser dans sa poche.
Elle avait eu beau protester,
rien n’y avait fait, elle marchait à présent à ses côtés dans les sentiers, s’enfonçant
dans la forêt, les fesses à l’air.
Il la faisait marcher devant
elle, pour avoir le plaisir, de glisser sa main sous sa jupe, voir même de lui
relever, pour voir ses fesses se balancer à chaque pas.
Elle sentait sa présence dans
son dos, sa main se glisser sur ses fesses, ses claques qui parfois la
surprenaient, son souffle dans son cou.
Il avait trouvé l’endroit
idéal, il l’a pris par surprise, ne lui laissa pas le temps de réfléchir, la
plia sous son bras, et claqua vivement ses deux belles pommes.
Elle entendait sa fessée
résonner dans toute la forêt, deux oisillons colorées l’épiant de leur branche,
elle eu beau supplier, impossible de s’échapper, son cul s’enflammait.
Il l’avait déshabillée, et avait
reprit sa volée ; qu’il aimait saisir avec passion ses fesses, sentir
qu’en cet instant elle lui appartenait sous le regard de deux oisillons
moqueur.
Elle, Coincée sous son bras, entièrement
nue, se faisant grondée comme une gamine, risquant d’être vue, honteuse, le
rouge au joue, elle mouillait.
Il avait étendu une petite
couverture, l’avait agenouillée à quatre pattes dans l’herbe mouillée, pour la
fustiger, d’une fine baguette de bois ramassée.
Elle était à présent, la croupe
tendue, le dos cambrée, le sexe trempée, les seins pointés, soumise à ses
désirs, elle lui appartenait.
Il l’avait caressée, claquée, fouettée,
embrassée, léchée, tout partout, dans chaque recoin de son corps, pendant de
longues minutes.
Elle avait tremblé de tous ses
membres, elle avait eu beau serrer les lèvres, son souffle rauque, avait trahit
le plaisir qu’elle avait pris.
Il aimait entendre qu’elle
jouissait sous ses doigts, que son plaisir dépendait de son bon vouloir à
lui ; que là dans cette forêt, il la pénétrait.
Elle s’était glissée dans ses
bras pour arrêter le temps, humer l’instant, s’imprégner de chaque sensations,
se les coller à la peau, épuisée par ses baisers.
Il aimait sentir l’odeur de ses
cheveux, la dorloter, malgré la pluie qui s’était invitée, il avait continué de
la tenir serrée contre son torse.
Elle s’était rhabillée, apaisée,
sur son petit nuage, envahie d’une douce chaleur qui lui recouvrait le cœur, le
postérieur, et tout le reste de son âme.
Il l’avait longuement câlinée,
embrassée, telle une petite fille qui à besoin d’être rassurée, il aimait la
protéger, sentir qu’il était là pour elle, comme un repère.
Elle s’était résignée après un
long moment à accepter, de retourner à la réalité, de cesser de rêver, elle
était repartit envahie d’une douce nostalgie.
Elle
fût tirée de sa rêverie, au moment ou sa cigarette avait finie de se consumer, car il ne restait plus aucune bouffée de
rêverie à tirer…
A présent, la jeune fille écrasait sa clope dans le cendrier.
Il était temps de sortir de ce songe, de cette imagination débordante. Il était
temps d’aller se coucher. Elle n’était plus une gamine, il fallait cesser de
rêver. Pourtant quand elle passa la
porte se dirigeant vers sa chambre, la lune éclaira son corps nu, son cul,
marqué par les songes de la journée…
Lee.
J'adore, Lee !
RépondreSupprimerMerci je suis flattée surtout venant de toi, qui écrit de si beau texte dans ce domaine. ;) Et je vais même te dire, quand je l'ai posté et que je l'ai relu, j'ai justement penser toi, en espérant que cela te plaise. :)
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