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vendredi 9 mai 2014

Songe d'une Lee d'été...




 La nuit était tombée. A travers les carreaux, son regard s’était posé sur la ville. Une douce nostalgie, lui réchauffait le cœur. La clope au bec, elle laissait échapper  des petites bouffées de fumée, et à chacune d’elle, elle prenait plaisir à imaginer la magnifique journée qu’elle aurait pu passer… Elle prenait plaisir à imaginer que...




Il l’avait prise en voiture, et à toute vitesse, avait traversé villes et collines, glissant de temps à autre une main sur sa cuisse.
Elle avait finie par repérer une jolie forêt bien cachée, de celle où l’on peut s’amuser, quelques petits regards langoureux avaient suffit à le convaincre.
Il l’avait alors fait descendre de la voiture et là aux yeux de tous, il avait lentement fait descendre sa petite culotte, pour la glisser dans sa poche.
Elle avait eu beau protester, rien n’y avait fait, elle marchait à présent à ses côtés dans les sentiers, s’enfonçant dans la forêt, les fesses à l’air.
Il la faisait marcher devant elle, pour avoir le plaisir, de glisser sa main sous sa jupe, voir même de lui relever, pour voir ses fesses se balancer à chaque pas.
Elle sentait sa présence dans son dos, sa main se glisser sur ses fesses, ses claques qui parfois la surprenaient, son souffle dans son cou.
Il avait trouvé l’endroit idéal, il l’a pris par surprise, ne lui laissa pas le temps de réfléchir, la plia sous son bras, et claqua vivement ses deux belles pommes.
Elle entendait sa fessée résonner dans toute la forêt, deux oisillons colorées l’épiant de leur branche, elle eu beau supplier, impossible de s’échapper, son cul s’enflammait.
Il l’avait déshabillée, et avait reprit sa volée ; qu’il aimait saisir avec passion ses fesses, sentir qu’en cet instant elle lui appartenait sous le regard de deux oisillons moqueur.
Elle, Coincée sous son bras, entièrement nue, se faisant grondée comme une gamine, risquant d’être vue, honteuse, le rouge au joue, elle mouillait.
Il avait étendu une petite couverture, l’avait agenouillée à quatre pattes dans l’herbe mouillée, pour la fustiger, d’une fine baguette de bois ramassée.
Elle était à présent, la croupe tendue, le dos cambrée, le sexe trempée, les seins pointés, soumise à ses désirs, elle lui appartenait.
Il l’avait caressée, claquée, fouettée, embrassée, léchée, tout partout, dans chaque recoin de son corps, pendant de longues minutes.
Elle avait tremblé de tous ses membres, elle avait eu beau serrer les lèvres, son souffle rauque, avait trahit le plaisir qu’elle avait pris.
Il aimait entendre qu’elle jouissait sous ses doigts, que son plaisir dépendait de son bon vouloir à lui ; que là dans cette forêt, il la pénétrait.
Elle s’était glissée dans ses bras pour arrêter le temps, humer l’instant, s’imprégner de chaque sensations, se les coller à la peau, épuisée par ses baisers.
Il aimait sentir l’odeur de ses cheveux, la dorloter, malgré la pluie qui s’était invitée, il avait continué de la tenir serrée contre son torse.
Elle s’était rhabillée, apaisée, sur son petit nuage, envahie d’une douce chaleur qui lui recouvrait le cœur, le postérieur, et tout le reste de son âme.
Il l’avait longuement câlinée, embrassée, telle une petite fille qui à besoin d’être rassurée, il aimait la protéger, sentir qu’il était là pour elle, comme un repère.
Elle s’était résignée après un long moment à accepter, de retourner à la réalité, de cesser de rêver, elle était repartit envahie d’une douce nostalgie.

Elle fût tirée de sa rêverie, au moment ou sa cigarette avait finie de se consumer,  car il ne restait plus aucune bouffée de rêverie à tirer…




A présent, la jeune fille écrasait sa clope dans le cendrier. Il était temps de sortir de ce songe, de cette imagination débordante. Il était temps d’aller se coucher. Elle n’était plus une gamine, il fallait cesser de rêver. Pourtant quand elle  passa la porte se dirigeant vers sa chambre, la lune éclaira son corps nu, son cul, marqué par les songes de la journée… 



Lee.
 

2 commentaires:

  1. Réponses
    1. Merci je suis flattée surtout venant de toi, qui écrit de si beau texte dans ce domaine. ;) Et je vais même te dire, quand je l'ai posté et que je l'ai relu, j'ai justement penser toi, en espérant que cela te plaise. :)

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