La belle et la bête
Notes: Voilà la suite des aventures de la jeune Kyara que vous attendiez avec impatience. N’hésitez pas à me laisser un petit message pour donner votre avis, ça fait toujours plaisir et ça me permet de m'améliorer, et de savoir qui me lit.
Profitez bien de ce chapitre car la suite risque de mettre un peu de temps à arriver, bien que déjà écrite, car il se trouve qu'il faut que je travaille pour mes études, et si je ne révise pas mes partiels, c'est moi qui vais me retrouver sur les genoux de Monsieur. Je vais donc essayer d'être raisonnable. Mais pas d'inquiétudes d'ici la fin de semaine vous aurez largement la suite...
Pour le plaisir de votre imaginaire,
Lee.
Profitez bien de ce chapitre car la suite risque de mettre un peu de temps à arriver, bien que déjà écrite, car il se trouve qu'il faut que je travaille pour mes études, et si je ne révise pas mes partiels, c'est moi qui vais me retrouver sur les genoux de Monsieur. Je vais donc essayer d'être raisonnable. Mais pas d'inquiétudes d'ici la fin de semaine vous aurez largement la suite...
Pour le plaisir de votre imaginaire,
Lee.
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Chapitre 5: Cavalcade fleurie.
Narrateur: Kyara
SAMEDI 4 JUILLET (après-midi)
Il était là assis en face de moi, mangeant son dessert et
je réalisais une fois de plus ma situation. Ma course folle pour tenter de
fuir. Le ridicule dans lequel je m’étais mise en tentant de monter la grille à
la force de mes bras. Grilles qui au final n’étaient pas fermées à clef…
J’aurais pu fuir… Mais je ne voulais pas
dénoncer Tony… En fait tout à coup je m’en foutais de ce mec… Qu’il soit
attrapé par la police aussi… Mais si je fuyais, il fallait que je sois sure de
mon coup, que ce soit définitif et pour de bon, et qu’on ne puisse pas me
rattraper, car on ne me laissera pas de deuxième chance. Partir seule dans la
forêt sans connaitre les lieux, n’était donc pas un bon plan…
(Se perdre dans la forêt me paraissais être une mauvaise idée)
Mais au fond même
si je rêvais de ma liberté, quelque chose m’avait retenu. Lui. Il faisait parfois un
truc étrange, tantôt il me vouvoyait, tantôt il me tutoyait. Comme si pour me
rappeler à l’ordre il créait une distance, ce qui était plutôt réussi parce que
je n’avais pas l’habitude d’être vouvoyée. Et comme si par moment il cherchait
à être plus tendre, un peu comme hier soir… On aurait dit qu’il s’occupait de
moi avec sincérité…. Non je suis sotte
cet homme est fou… Peut être même un pédophile
qui aime toucher et frapper les fesses des jeunes filles ? Qui sait… A
vrai dire je le voyais mal me violer… Sinon il l’aurait fait depuis longtemps… Je
vais l’amadouer et à la première occasion je me sauverais. Pourtant cette
fessée dans le bureau que j’ai acceptée, je ne sais pas vraiment pourquoi, ne
m’a pas fait si mal… Je … Comme si il avait voulu être tendre avec moi… Non et
non c’est un pervers voilà tout…
J’étais en prise avec mes pensées et mes contradictions quand il s’adressa à moi :
J’étais en prise avec mes pensées et mes contradictions quand il s’adressa à moi :
- Ça va, le
déjeuner vous plait Kyara ?
-
Heu… oh
heu oui.
-
Oui
Monsieur… Me reprit-il exaspéré.
-
Oui
Monsieur.
-
J’ai une
proposition à vous faire pour cet après midi…
-
…
-
J’ai vu
que vous aviez l’air d’apprécier la vue sur la forêt jeune demoiselle, et les
jardins du manoir. Je vous proposerais
donc bien un petit cours d’anglais dans la nature. On se balade, on se promène
tout en discutant en anglais, au lieu de vous faire un cours rébarbatif dans la
bibliothèque. Est-ce que cela vous dirais ?
Je haussais les épaules. Oh oui ces jardins me faisaient
envie, très envie même, seulement… Je n’avais pas envie de lui dire, il restait
mon ennemi.
- Je m'en fous...
-
Très bien
si vous ne voulez pas, je vous ferais un cours rébarbatif, sur une table.
Puisque que cela vous ai égale… Et faites moi la grâce de parler autrement !
-
…
-
Je sais jeune
fille têtue, que vous n’êtes pas contente d’être là mais si vous y mettiez du votre
sa se passerait beaucoup mieux…
-
…
-
Répondez-moi
quand je vous parle Kyara!
-
Oui
Monsieur.
-
Bien faites
votre tête de mule. Je vous attends dans le bureau dans 15 min comme pour votre
cours de ce matin.
Et il se leva contrarié.
Je n’avais pas du tout envie d’aller à se fichu cours
d’anglais, et suis donc partie me balader dans les jardins… Quand fut venu
l’heure de mon cours, Anna vînt me chercher, mais je refusais catégoriquement.
-
Ma petite
demoiselle, je vais être obligée d’aller chercher Monsieur.
-
Je m’en
fiche.
Quelques minutes plus tard il arriva calmement mais
surement.
-
Que faites-vous
là Kyara, je vous attendais dans la bibliothèque ?
Tout à coup je craignais une sanction. Mes fesses étaient
déjà à bout. Je n’en avais pas envie, je… Mon cœur se serra…
-
Je …
Je …
-
Je vous écoute
Kyara et vous avez intérêt à avoir une bonne raison. Je me suis montré
plutôt clément avec vous mais je peux être beaucoup plus sévère. Alors pour
qu’elle raison êtes vous ici, au lieu d’être avec moi en cours
d’anglais ?!
Je ne savais pas comment me sortir de ce mauvais pas.
Tout à coup je sentais mes précédentes fessées me chauffer le bas des fesses et
n’en voulait pas une nouvelle. Car je
savais qu’il avait bien plus de force que moi. Pourquoi n’avais-je pas fuie ce
matin ? Quelle sotte ! Je me sentais seule, abandonnée. Je ne savais
pas ou aller, quoi penser, j’étais
perdue, et même si je le détestais, j’avais presque envie de le laisser faire…
Je n’avais que lui… Ici… Mes parents se foutaient de moi… Mes amis, je n’en avais
pas tant que sa…J’avais envie de pleurer mais rien ne sortait de mes lacrymales.
-
Je …
-
Kyara
c’est la dernière chance que je vous donne pour vous justifier.
- ...
Sans espoir je lui dis la vérité.
-
Je…
J’avais très envie d’aller dans ce magnifique jardin.
-
Vous vous
fichez de moi je vous ai proposé de faire le cours ici espérant que cela vous
sois plus agréable, et vous avez dédaigneusement haussé les épaules en m'envoyant balader.
-
J’ai
changé d’avis. Je suis désolée…
-
Et vous
pensez qu’un petit désolé va suffire, que vous pouvez faire un caprice juste comme ça. Vous savez ce
qui va se passer maintenant pour vous ?
-
Non… non
je vous en prie…
Une douce chaleur envahie le creux de mon estomac. Une
peur, une honte mais s’en était presque agréable…
Il s’assit sur un petit banc de pierre. J’ai sentit que
je n’y échapperais pas. Mais je ne savais pas si il fallait que je lui tienne tête,
en sachant qu’il serait plus sévère, chose que j’avais bien cerné chez lui, ou
le laisser faire en sachant que c’était fichu d’avance, il finirai par me faire prisonnière...
-
Je vous
avez prévenu qu’à la moindre désobéissance vous recevriez la fessée. Comme je
vois que vous n’avez toujours pas compris, je vais recommencer la leçon. Venez
ici !
Je prie mes jambes à mon cou. Je me mis à courir à travers les jardins, le plus vite
possible. C’était immense, et magnifique, mais je n’avais pas le temps
d’observer ni même de détailler, ces allées, ces dédales de fleurs, d’arbres, de buissons, de bancs, de petites fontaines… Un vrai labyrinthe.
Je tournais dans une contre allée à l’ombre des arbres, tournais à droite, longeais un plan de roses blanches et orangées, et je me dirigeais vers des buissons immenses de taille humaine, tournais à gauche, une allée toute en longueur ou des fleurs grimpas sur une tonnelle en bois de la longueur de l'allée; je poursuivais ma course et me rendit compte que c’était un cul de sac. Je fis volte face pour faire demi tour, il venait de s’engager dans l’allée…
(Les magnifiques fleurs du jardin)
Je tournais dans une contre allée à l’ombre des arbres, tournais à droite, longeais un plan de roses blanches et orangées, et je me dirigeais vers des buissons immenses de taille humaine, tournais à gauche, une allée toute en longueur ou des fleurs grimpas sur une tonnelle en bois de la longueur de l'allée; je poursuivais ma course et me rendit compte que c’était un cul de sac. Je fis volte face pour faire demi tour, il venait de s’engager dans l’allée…
Il m’attrapa par l’oreille, je tentais de me débattre. Il
me prit les mains, qu’il bloqua, dans mon dos, me pencha en avant et me bloqua
la tête entre ses cuisses. J’eu beau gigotée, ainsi coincée impossible de me dégager de cette position ridicule. Il me ligota les
mains avec un foulard en soie très solide qu’il avait fait apparaître de je ne
sais où. Il me releva. Je lui crachais dans la figure. Il me gifla… Je tombais
sur le sol… Dans les cailloux… Je me mis à pleurer, j’abandonnais… Et restais
là assise, les fesses dans les cailloux.
Il me releva, doucement et fermement. Il prit mes deux mains attachées et les
fixa à l’espèce de tonnelle en bois qui recouvrait l'allée.
J’avais les mains légèrement au dessus de la tête. Et il me laissa là. Toute
seule durant 10 bonne minutes. Les mains liées en hauteur, le corps pantelant. Je
pleurais… Qu’allait-il donc me faire…
(J'étais là, accrochée à la tonnelle en bois...)
Il revient, il tenait dans la main, une sorte de sacoche
rouge. Il souleva ma robe. Pas un mot. Même la nature s’était tue, comme si le
temps s’était arrêté. Il bloqua ma jupe au niveau de la taille. Et me tourna
vers lui. Il s’accroupit. Je ne comprenais
pas très bien où il voulait en venir. Il ouvrit la sacoche et sortit un petit
tube de désinfectant qu’il passa délicatement avec du coton sur mes cuisses, le
bas de mes fesses ; là où je venais de m’écorcher dans les cailloux. Et
sans un mot il rangea son petit matériel. Puis il baissa ma culotte, m’ôta ma
jupe tant bien que mal.
J’étais la pendue par les mains, avec mon corsage rouge et tout le bas de mon corps entièrement nue. Je réalisais qu’il voyait, mon entrejambe également. Je tortillais un peu. Rouge de honte. Mes bras à force d’être maintenus commençaient à me faire souffrir . Je craignais par avance la douleur sur mon fessier déjà meurtri.
J’étais la pendue par les mains, avec mon corsage rouge et tout le bas de mon corps entièrement nue. Je réalisais qu’il voyait, mon entrejambe également. Je tortillais un peu. Rouge de honte. Mes bras à force d’être maintenus commençaient à me faire souffrir . Je craignais par avance la douleur sur mon fessier déjà meurtri.
-
Cela fait
50 min que nous aurions du commencer le cours Kyara. Vous recevrez donc 50
coups de canne. Dit-il.
La sentence était tombée… La canne… Était-il fou à ce point ?…
J’étais estomaquée. Il fit quelques pas en arrière et je le vit revenir avec de
longues et fines branches d’arbres. Il en choisit une et me dit.
-
Ensuite
je vous donnerais 30 claques pour la
galopade que vous venez de me faire faire dans le jardin. Est-ce que c’est
clair ?
-
Je vous
en prie, je regrette… Je serais sage.
-
Oui
d’autant plus si vous recevez une sévère punition pour ce comportement, ainsi j'en suis sûr vous retiendrez cette leçon. Vous
comptez les coups que je vous donne. Si vous vous trompez, je recommence.
-
Mais…Non
je ne veux pas.
Schlak ! Sa baguette cingla l’air… Et je reçu un
méchant coup en travers de mes fesses nues. Sa m’avait coupé le souffle.
-
Vous
comptez, ou je continue ? Parce que
celui là je n’en tiens pas compte vu que vous ne comptez pas. Etes-vous prête ?
Je me mis à pleurer… Hocha la tête. Tremblante… A quoi bon…
-
Oui
Monsieur…
-
Bien.
Schlak !
-
1.
Moins douloureux que le tout premier que je n’avais pas
compté.
Schlak !
-
2.
Il laissa quelques secondes filées. « Aaah »... Le coup en lui-même
n’était pas douloureux mais la morsure qui venait après... Me mordais, m’enflammais les fesses, tel le
filament d’une méduse.
Schlak !
-
3
Un couinement sortit de ma gorge.
Schlak !
-
4
Et ainsi de suite jusqu’à’ à 30. Je pleurais et tremblais de tout mon corps. On en était à
peine à plus de la moitié et j'étais à bout. Il fit une pause me laissant le temps de respirer.
Et vient se placer face à moi. Je baissais la tête. Il me la releva avec
douceur.
-
Kyara est
ce que tu comprends, pourquoi je te punis ?
-
Je…
-
N’aie pas
peur de parler. Ma sanction ne sert à rien, si tu ne la comprends pas.
-
Je… Vous
me punissez parce que je me suis enfuie…
-
Oui entre
autre. Mais connais tu le vraie fond de cette punition me dit il en me
regardant droit dans les yeux.
Ses magnifiques yeux… Je soutiens
le regard puis baissa les yeux.
-
Non… Mais
ne me punissez pas… Je…
En soutenant mon visage, il me caressa les cheveux.
-
Kyara je
te punis, pour tes caprices, pour ton attitude, quand comprendras tu que je ne
suis pas ton ennemi. Je veux vraiment t’aider… Prendre soin de toi, t’aider à
réviser. Je sais que sa ne te plait pas d’être là. Mais je sais aussi, que tu
en es capable. Et que tu en as besoin de ce bac. Tu as envie de prendre ta
liberté, d’être adulte. Ce bac c’est ta clef pour l’obtenir. Et je serais très
fière de toi si tu réussissais. Alors au lieu de perdre du temps comme sa
bêtement, fais moi confiance. Ce qui nous laisserais du temps libre pour aller
visiter les jardins par exemple, écouter de la musique, ou ce qu’il te plaira…
Je sanglotais encore… Pour mon plus grand agacement, moi
qui ne pleure jamais. A ma grande surprise il détacha le foulard en soie de la tonnelle, libéra mes mains et m’attira dans ses bras. Il me berça. Jusqu’à ce que j’ai
fini de sangloter. J’étais presque bien là. Je me sentais presque en
sécurité, dans ses bras. C’est vrai qu’il m’avait proposé de faire le cour dans
le jardin, et que c’est moi qui par envie de contradiction lui avait dit non… Je
n’étais toutefois pas d’accord avec sa punition, mais je ne voulais pas en
rajouter, et préférais faire profil bas pour l’instant… Je me sermonnais
moi-même de lui donner raison… Quand j’eu sécher mes larmes il me dit:
-
Vous
comprenez ma sanction ou pas Kyara ?...
-
Oui
Monsieur… Je suis sincèrement désolée...
-
Bien … puisque
je vois que vos fesses sont endolories, je mets vos 20 derniers coups de canne
en sursis, car je ne veux pas vous blesser et je pense que vous comprenez cette
fois-ci le fond de la punition. Et que je n’ai pas besoin de rajouter les
derniers coups. En revanche je vous dois toujours une fessée pour la course que
vous m’avez fait faire dans les jardins.
-
Êtes-vous
d’accord avec cela jeune effrontée?
-
Oui … Oui
Monsieur.
Il me plia sous son bras droit. Et avec la main gauche il
me mit 30 claques. Quasiment indolores. Pas fortes. Assez pour les sentir, mais suffisamment
pour ne pas rajouter à la chaleur de mes fesses et aux traces rougeoyantes laissées par la baguette de bois. Il me releva en ce bel après midi. Je me frottais les fesses. J’avais mal. Je
grimaçais. Je ne savais plus ou me mettre
ni même ou regarder. Des picotements et des tiraillements insoutenables
m’embrasaient le postérieur. Il m’a tiré très doucement par le bras à quelques mètres de l'allée ou il m'avais corrigée, s'est assis sur un banc en pierre et m’a allongée sur ses genoux.
(Il s'assit sur le banc de pierre et m'allongea sur ses genoux).
Qu’allait-il faire me punir encore ?
-
Pitié
non.
-
Kyara je
ne vais pas vous punir, je vais soulager vos fesses.
Il prit un tube de crème dans la même sacoche rouge où se trouvais également le désinfectant , prit une énorme noisette, et me
l’apposa sur les fesses. Et il massa délicatement mes deux globes rouges écarlates,
striés horizontalement de rouge. C’était frais et agréable. Pas désagréable… J’étais bien contre lui. Je me sentais toute
petite. Quand il eu finit il me redressa, et me fit asseoir sur sa veste qu’il
avait posé sur le banc. Vu que je n’avais plus de culotte, cela m’empêchait que
les petits cailloux du banc en pierre viennent se coller directement à mes
fesses crémées. J’étais là assise à côté de lui. Je me sentais vidée et apaisée. Il
m’effrayait, mais l’espace d’un instant je n’avais plus vraiment envie de
partir.
-
Kyara que
diriez-vous d’aller vous balader. Je vous ferais visiter les jardins et nous
pourrons parler fleurs, oiseaux et nature autant que vous voudrez, mais en
anglais.
-
Oui je
veux bien Monsieur. Je dis d’une petite voix.
J’enfilai ma jupe, puis nous nous mîmes à nous balader l’un à côté de
l’autre à pas lents. Moi sentant l’air caresser mes fesses nues rougeoyantes
sous ma jupe (ma culotte étant restée près du banc). Je lui fis part de mon
admiration pour la nature, tout en parlant en anglais. Au début timidement, et
puis peu à peu il me mit à l’aise, me posait des questions, sur la couleur des
fleurs, les formes des arbres, les bruits des oiseaux. Je me détendis peu à
peu. Et pour la première fois nous avons eu une vraie conversation. Enfin d'après-midi, après deux heures de balade, il me dit toujours en anglais qu’il était très
impressionné, que je parlais mieux anglais qu’il le pensait. Que j’avais
beaucoup de vocabulaire, et qu’il me manquait juste un peu de conjugaison. J’étais
très fière. Et reteint un sourire face à ses compliments. Pour une fois qu’on me disait que j’étais
bonne dans un domaine.
Après la balade nous avons dîné vers 19h30. Nous avons
discuté du repas, des fleurs, de mon amie Capucine. Mais banalement. A petits
pas. Maladroitement. J’avais du mal à me confier c’était un inconnu après tout.
Ensuite je pris une douche, sous le contrôle d’Anna qui à mon grand regret sur
l’ordre de Monsieur est restée tout du long. Puis vers 21h30. Je me suis mise à
bouquiner un livre que j’avais emporté au cas où… Je lue quelques pages, et
tomba dans un sommeil profond, avant même qu’il ne passe me dire bonne nuit….
(A suivre...)
(A suivre...)
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