Afin de fêter dignement l'ouverture de mon blog, je vous fait un petit cadeau: un récit que j'ai écrit il y à environ 1 an, à l'époque où je rêvais encore ma première, où mes fesses étaient encore vierges... Il est bien entendu fictif, j'espère qu'il vous plaira...
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Le temps était passé si vite, il était déjà l’heure… Toute la journée j’avais attendu, angoissée
et pressée, et maintenant que 15h sonnait, la panique montait, ma gorge se
nouait et mon ventre se remplissait de papillons. Je mis mes petites chaussures
à talons noir, mon long manteau, prit mes clés et claquait la porte de chez
moi.
Je suis en avance. Je
décide de l’attendre à la sortie de la gare sur le trottoir d’en face. Chaque seconde dure des heures, j’hésites à
partir en courant… Je m’allume une clope pour me calmer. Je scrute les gens
descendant du quai en tirant chaque bouffée très lentement comme pour ralentir
le temps. Je vois au loin un jeune homme qui scrute autour de lui. Il me
fixe. Est-ce lui ?
Il traverse, approche timidement…
Il traverse, approche timidement…
« - Lee c’est
bien toi ?
Je hoche la tête.
-
Salut. »
Il me claque une
bise sur chaque joue.
J’ose à peine le regarder en face mais le dévisage du coin
de l’œil, après tout c’est la première fois que je peux enfin voir à quoi
ressemble mon correspondant mystérieux. Il est grand, très mince mais pas trop,
il à un regard doux, et à la fois sérieux. Quelque chose de rassurant et de
souriant se dégage de son visage. Nous échangeons quelques banalités, les
premières paroles sont maladroites. Je lui propose d’aller boire quelque chose.
Il accepte et m’emboîte le pas. Nous nous asseyons à une table dans un coin. Il
prend un café, moi un coca. Forcément avec mon coca j’ai l’air d’une gamine à
côté de lui. Il me met à l’aise, il est gentil et trouve toujours des sujets sympas
pour alimenter la conversation. Je crois vraiment que c’est le bon, mais le
temps avance si vite. Je me sens perdue. Nos boissons sont déjà finies, et il
me regarde avec un sourire en coin :
« - Alors pour cette première rencontre sa
va ? Je ne t’ai pas fait trop peur ?
-
(rougissante) Non, non sa va…
-
Tu veux
qu’on aille se balader ?
-
Oui, je
veux bien… »
Ouf je respire mieux il ne me propose pas tout de suite
d’aller chez moi.
Chacun réglons notre part, hors de questions qu’il paye
pour moi. Nous retournons vers le RER en nous baladant tranquillement. Il me
demande ce que je souhaite faire. L’espace d’une fraction de seconde j’hésite,
je la veux tellement cette F…. Mais un inconnu chez moi, qui touche ce que j’ai
de plus intime… Et puis il est tellement gentil… J’aurai du mal à trouver
mieux. Je souffle un bon coup, et m’allume une cigarette pour me détendre.
« Je lui dis timidement :
-
… Et
bien… vient à la maison si tu veux ?
-
Tu es
sûre Lee, je ne veux pas te forcer ?
-
Oui je
suis certaine.
Je me surprends même à le provoquer :
-
Tu crois
que tu me fais peur ?
-
C’est ce que
nous verrons jeune fille. »
« Jeune
fille »… Il m’a appelée jeune fille et j’ai eu cette chaleur qui m’est
remontée dans le bas ventre, j’ai les joues en feu. Je lui propose de prendre
la direction de chez moi. Nous passons par la voie piétonne, il fait beau et il
est très agréable de se balader avec un jeune homme par ce temps là en
discutant. Une dizaine de minutes plus tard, nous arrivons chez moi. Il fait
frais dans la maison c’est apaisant. Je lui demande s’il veut boire quelque
chose. Il refuse poliment. Je lui fais visiter le rez-de-chaussée. Et l’emmène
dans ma chambre. L’ambiance est palpable. Je lui propose de choisir un CD pour
le mettre dans le poste de radio pendant que je vais me repoudrer. Dans la
salle de bain, je respire calmement je sais que quand je vais remonter, je ne
pourrais plus reculer.
Je monte, j’ouvre la fenêtre et fume encore une
cigarette. Et oui quand je stresse, sa me détend. Il est adossé derrière moi,
je sens ses yeux dans mon dos qui me contemple. Je lui raconte ma passion pour
le théâtre mais à vrai dire, je ne suis pas sûre qu’il m’écoute encore,
moi-même je me perds dans mon discours.
Éteignant ma cigarette, je le sens juste derrière moi et suis parcourue d’un
frisson.
« - Dit donc jeune fille, tu fumes même à
l’intérieur ?
me demande-t-il
l’air sérieux. Tout bascule.
-
Seulement
quand mes parents ne sont pas là…
-
Ah oui,
quand le chat n’est pas là les souris dansent ?
M’éloignant de la fenêtre je réponds du tac au tac.
-
Oh que
veux tu que sa leur fasse, il suffit juste d’aérer.
-
Bravo !
dit il ironique. C’est du joli jeune fille.
-
…
Ne sachant pas quoi lui répondre, je fais la moue et lui
tire la langue.
Il se redresse de toute sa hauteur et fronce les sourcils
en se fâchant.
-
Et puis ce
n’est pas bientôt finie cette manie de tirer la langue ?!
-
…
Je baisse les yeux pour l’attendrir.
-
Lee tu
n’a plus dix ans, bon sans ! Tu tires encore la langue comme une gamine,
fume en cachette et je ne parle pas des horaires auxquels tu te couches, ni de
ton orthographe qui laisse à désirer !
Non mais, pour qu’il se prend, il va en énumérer combien
des bêtises, sa va je ne suis pas non plus une délinquante. Et puis je me sens
honteuse de toutes ces reproches. Mon côté rebelle prend le dessus à ma grande
surprise.
-
Toi aussi
tu te couche tard d’abord, et toi non plus tu ne te relis pas quand tu m’envoi
des mails !
-
…
Un long silence se fait. Oups je suis peut être à aller
trop loin. Il à l’air furax.
-
Lee je ne
peux tolérer ce comportement… Cela fait trop longtemps que sa dure tu vas être
punie.
Mon estomac fait des loopings, ces quelques mots on réussit
à déclencher en moi des sentiments et des sensations fabuleuses. Je n’ose plus
le regarder en face et regarde mes pieds.
-
Je suis
désolée je me suis emportée…
Dis-je penaude.
-
Tais-toi !
Sa remarque est cinglante comme une gifle.
-
Je me
fiche bien de tes excuses Lee. Tu ne veux pas comprendre, tu provoques, tu
tires la langue,… Tu seras punie un point c’est tout. Comme une petite fille,
c’est tout ce que tu mérites. Sais-tu comment je vais te punir Lee ?
-
…
-
J’attends !
-
Non…je…
je ne sais pas.
-
Je vais
te donner une fessée. Une vraie. Tu vas t’allonger sur mes genoux, je vais te
déculotter. Et te mettre une fessée, jusqu’à ce que tu me promettes de ne plus
jamais recommencer.
-
…
-
Viens
ici !
Je suis comme paralysée, je n’ose plus bouger.
-
… non…
-
Ne me le
fait pas dire deux fois ! Viens ici !
Je m’approche lentement, en traînant les pieds, la tête
basse, la tension est telle que j’ai déjà envie de pleurer. Je n’ai pas le
temps de réfléchir qu’il me saisit et me met en travers de ses genoux, je n’ose
pas bouger, pas réagir, je suis
paralysée. Il défroisse ma robe. Je regarde fixement les lignes sur le sol. Il
pose délicatement sa main sur mes fesses. Elle est ferme. Je me sens comme une
proie à la merci de son prédateur.
-
Lee tu n’as
vraiment pas été sage et je vais t’administrer la fessée que tu mérites. Si tu
oses mettre ta main pour protéger tes fesses tu seras sanctionnée. Est-ce que
c’est bien clair ?
-
…
CLAC !
-
Tu réponds
quand je te parle. Est-ce que c’est bien clair ?
-
Oui…
-
Bien.
Il passe sa main sur mes fesses et frotte lentement,
l’attente est longue. Je sens qu’il resserre son bras autour de ma taille.
CLAC ! La première n’est pas trop forte, et m’a juste surprise. Il caresse
de nouveau. CLAC ! Sa va c’est supportable. CLAC ! Aïe ! Celle
là était un peu plus piquante. CLAC ! De nouveaux il caresse. Et puis sans
crier gare il serre sa poigne et là…. CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC ! …
Les claques s’enchainent fortes sans être douloureuses, 5…10…13…17… Je perds le
compte. Il prend une pause et me caresse.
Puis de nouveau il claque sans plus s’interrompre de plus
en plus vite et de plus en plus fort. J’ai envie de gigoter. Mais je veux
garder ma fierté. Les claques pleuvent, encore et encore, je commence à
gigoter. CLAC ! Il s’arrête. Je sens mes fesses qui commencent à bien
chauffer. Ma robe ne me protège pas tant que sa.
Il me relève doucement et me demande d’enlever mon
collant. Je fais cela rapidement, sans réfléchir, sans le regarder et me
rallonge docilement. Sans prévenir il soulève ma robe et me claque la
culotte : CLAC ! CLAC ! Par réflexe je mets une main, mes joues
deviennent rouges vives, car je sais qu’il à vu sur mes dessous. Il m’attrape la main et me la coince. Et
reprend de plus belle. Cette fois-ci les claques sont fortes. Mes pieds battent
dans le vide je ne peux m’empêcher de me tortiller. Ouf il s’arrête. Il me
bloque les bras. Je ne peux plus bouger. Ma respiration est forte et rapide, je
me sens toute chose.
« - On fait
moins la maligne ?
-
…
CLAC !
-
N’est ce
pas ?
-
Heu...
oui.
-
Qu’est ce
que tu mérites ?
-
…
CLAC ! CLAC !
-
Répond !
-
Une
fessée.
-
Pourquoi ?
-
Parce que
je… Je n’ai pas été sage.
CLAC ! CLAC ! CLAC !
-
Quelles
bêtises as-tu fait ?
-
Aïe
ouille ! Mais tu me fais mal !
CLAC ! CLAC ! CLAC !
-
Je
t’écoute jeune fille.
-
J’ai …
J’ai… fait des fautes d’orthographes.
CLAC !
-
Quoi
d’autre ?
-
Je me suis couché tard et j’ai fumé à
l’intérieur.
CLAC !
-
Et ?
-
Aïe. !
Et c’est tout tu me fais mal !
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
CLAC !
-
C’est la
dernière fois que je te le demande qu’elle est la dernière bêtise que je te
reproche ? Si tu ne réponds pas je te fesse jusqu’à ce que tu me le dises !
Alors ?
-
… Que…
Que je suis une fille trop parfaite !
Dis- je en souriant.
-
Très bien,
tu l’auras voulu !
Il me tient ferment les deux
bras, coince mes jambes entre le siennes. Un crépitement de claques tombent sur
mon derrière. Elles font mal ! Aie ! Ouille ! Impossible de
bouger, quelques larmes coulent. Je perds toute ma fierté, je n’en peux plus.
« - J’ai tiré la langue !
Voilà dis-je en m’égosillant !
-
J’ai tiré la langue ».
Les claques continuent de pleuvoir, il ne s’arrête pas.
Je pleure en silence et sanglote. Il s’arrête. Me relève et me demande d’aller
au coin. Face au mur. Je dois relever ma robe pour qu’il puisse regarder, le
rouge de mes fesses dépassant de ma culotte. Je renifle et je suis honteuse.
Les minutes au coin sont très longues mais me permettent de sécher mes larmes.
J’écoute les oiseaux qui sifflent à la fenêtre. Mes fesses picotent un peu
moins :
« - Lee vient ici !
Je me dirige vers lui sagement, je ne veux pas en
rajouter. Désormais il est assis sur le lit. Je m’approche. Ni une, ni deux, il
me couche à plat ventre sur le lit. Mes fesses sur ses cuisses, les jambes dans
le vide. Il me serre à la taille.
-
Très bien
tu vas compter les claques, à chaque erreur on recommence à zéro.
CLAC ! Elle est bien plus forte que tout à l’heure.
-
Un.
CLAC !
-
Deux.
CLAC !
-
Trois.
CLAC ! Les claques s’enchainent jusqu’à 20. J’ai les
fesses en feu. Et m’accroche à un oreiller. Il caresse tendrement mes fesses.
Et retire ma culotte. Par réflexe je mets de nouveau ma main.
« -
Lee ! Je t’avais dit que si tu protégeais tes fesses, tu serais punie
encore plus. Et c’est déjà la deuxième fois. Tu vas compter de nouveau.
-
Non… pas
sa ! S’il te plaît…
CLAC ! CLAC !
-
Dépêche-toi !
CLAC !
-
Un.
CLAC !
-
Deux.
CLAC ! Je sens sa paume sur mes fesses nues. Sa main
est brûlante. Je suis troublée. Je suis gênée de savoir qu’il à juste sous les
yeux mes deux fesses nues rougissantes.
CLAC ! CLAC ! CLAC ! CLAC !
CLAC ! CLAC !
-
Lee tu
vas compter oui ! Tu reprends à un.
Je sais qu’il
n’est plus la peine de négocier.
CLAC !
-
Un.
CLAC !
-
Deux.
Ainsi de suite juste qu’à 20. J’ai mal, je veux me
tortiller. Chaque claque est comme une morsure. Cela fait bien plus mal que ce
que j’imaginais.
Il alterne désormais longues caresses et séries de
claques fortes rapides, j’en perds le compte, je me tortille. Mes jambes sont
bloquées, mes bras aussi. Je supplie.
-
Pardon !
Pardon je suis désolée !
-
Il
fallait y réfléchir avant.
Dit-il pendant que les claques pleuvent.
-
Je le
referais plus. Aïe aie.
Dis-je dans un sanglot.
-
Tu as
intérêt. Et tu vois ce qui arrive aux jeunes filles pas sages ! Une
fessée !
Mes mots se perdent dans mes sanglots. Je ne plus
m’arrêter de pleurer, je sanglote comme une gamine, les claques continuent.
Je me laisse aller. Je ne me débats plus. Il à raison je
la mérite cette fessée. Je me suis comportée comme une sale gamine. Je
m’abandonne sur ses genoux. Je pleure encore et encore. Les claques
ralentissent, s’adoucissent. Il me lâche enfin et me laisse là à plat ventre
sur le lit, pleurant à chaudes larmes. J’aimerai tellement qu’il me serre dans ses
bras. Je l’entends qui revient.
Il me caresse doucement les fesses, les cheveux, le dos.
Il me prend sur ses genoux. Mes fesses sont comme un brasier.
Je me blottis contre lui. Je lui demande pardon. Il me
berce. Là ! Qu’il me dit d’une voix douce. La prochaine fois tu seras sage
n’est ce pas ? Je lui promets, en essuyant mes dernières larmes. Il
m’allonge délicatement sur ses genoux et me passent de la crème. Il caresse
doucement. Je me sens comme une petite chose, mais je me sens en sécurité. Il
me masse longuement. Puis il me relève, me berce encore un peu et m’autorise à me rhabiller.
Nous descendons. Buvons un jus sur la terrasse. Pas
facile de m’asseoir. Puis je le raccompagne au RER. Je le remercie de toute sa
gentillesse, et lui fait la promesse, de le revoir bientôt. Moi qui me croyais
folle, je ne regrette rien. C’était le bon. Je suis plus heureuse que jamais
lorsque je rentre chez moi. Mes fesses
rouge framboise sous ma robe, m’irradient tous le bas des reins. Je me sens
bien. Heureuse et légère, d’avoir enfin reçue ma première fessée.
Aaaah troop bien ! Vivement tes autres textes !
RépondreSupprimerMerci beaucoup c'est gentil ! je suis flattée ! Mais pourquoi poster en anonyme ? ^^ Sa mériterais une fessée ! :p
RépondreSupprimersuper comme d’habitude
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