Ma petite Luciole: alcoolique anonyme
Note: Afin de bien démarrer cette nouvelle année et tenir mes bonnes résolutions qui sont de poster plutôt que de faire des belles promesses; je me permets de vous partager un petit récit que je vient d'écrire incessamment sous peu. Il est bien entendu fictif mais pour moi il à une saveur toute particulière. Un mélange d'amour, de discipline domestique... Dont rêve toutes les petites princesses adeptes de la fessée. Certes sévère mais moi cette histoire me fait rêver... En espérant que je n'y ai pas laissée trop de fautes d'orthographes mais avec la fatigue mon attention est quelque peu diminuée. N'hésitez pas à me donner votre avis. Bonne lecture.
Rêveusement, Lee.
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En ce premier matin de l'année Lou tente d’ouvrir les yeux. A peine ses paupières soulevées, sa tête se voit transpercée d'une douleur fulgurante. Une migraine à se taper la tête contre les murs. Elle tente de se relever, mais la nausée qui lui monte la conforte dans l'idée que allongée c'est peut être pas plus mal. Mais pourquoi est-elle aussi mal de si bon matin ? Aurait-elle pris froid hier soir quand... Ses yeux s'arrondissent tout à coup, au même rythme que lui revient la mémoire: Hier c'était le nouvel an, et elle à du un peu, beaucoup, passionnément abuser sur la boisson...
Pourtant la soirée avait plutôt bien commencée, tout le monde dansais, mangeais, rigolais. D'ailleurs elle se souvient bien qu'elle était bien plus sobre que la majorité d'entre eux, et qu'elle en à même aidé un ou deux à se trainer jusqu'à un lit pour cuver tranquillement. Et puis tout le monde à insisté pour qu'elle boive un peu, et elle ne s'est pas faite priée. Pourtant elle avait bu un peu de vodka et tequila, mais elle ne se sentais pas plus saoul que ça. Elle à donc ajouté deux petits verres de rhum à ce qu'elle avait déjà ingurgitée, espérant que cela fasse raisonnablement de l'effet, et qu'elle se déchaine comme les autres sans finir en rampant. Elle à bu et rien ne s'est passé, elle se sentait toujours aussi sobre. Dépitée elle s'est assise et à discuté longuement avec un ou deux de ses amis, encore capable d'aligner deux mots. Mais c'est quand elle s'est relevée qu'elle à compris son erreur...
D'un seul coup tout s'est mit à tourner, et son estomac à faire des loopings. Barbouillée, elle s'est trainée jusqu'à la salle de bain, à moitié debout, à moitié à 4 pattes. Et elle s'est allongée dans un lit de fougère à même le carrelage près de la baignoire, car son amie dans le même état qu'elle s'en était pris aux plantes "de la jungle"... Mon dieu elle aussi était allez loin hier. Puis Lou se souvient que son estomac à fini par rejeter son diner dans un sceau à pop-corn vide, et que ses amis l'ont raccompagnée chez elle, jusqu'à la porte. La fin de sa soirée est un peu estompée dans sa mémoire. Elle ne se souvient même pas de s'être déshabillée et pourtant elle est bien nue dans son lit ce matin.
Mon dieu mais qu'à telle fait ? Et son Maitre qui à promis qu'il passerait la voir aujourd'hui... Mais elle est tellement mal... L'année commence bien. Malgré son mal de crâne terrible elle s'auto-sermonne. Elle qui n'a jamais été mal à cause de l'alcool, pour la première fois elle à perdu le contrôle... Mais comment s'est t-elle débrouillée ?
Tout à coup le bruit des clefs se fait entendre dans la serrure, voilà son tendre Maitre qui arrive. Il ouvre la porte de la chambre de Lou, et s'approche pour le premier baiser de l'année. C'était sans compter que sa petite soumise adorée rabattrais la couette sur sa tête.
- Ben ma Lou adorée que fais-tu ?
- Je suis pas belle à voir et je suis malade !
- J'ai même pas le droit à mon bisous de bonne année dit-il penaud pour l'attendrir.
Alors elle sort le petit bout de son nez de sous la couette, et le regard mi-souriant, mi-désolée, elle lui chuchote:
- Ben si moi aussi je rêve d'un bisous, mais vu la cuite que j'ai pris, je doit sentir la chaussette.
Et si il y à bien une chose qu'elle déteste c'est de ne pas avoir une hygiène irréprochable.
Il éclate de rire.
- Même avec des lèvres gout "chaussette" , je t'aime quand même.
Alors il s'asseoit sur le bord du lit, et l'embrasse tendrement sur le front. Au moment où ses fesses rebondissent sur le bord du lit, une grimace se dessine sur le visage de Lou.
- Pourquoi tu fais la grimace comme ça, ça ne va pas ?
- J'ai mal à la tête, dit elle en bougonnant.
- Parce que tu as trop bu hier c'est cela ?
- Oui.. un peu..
- Je m'en doutais figure toi, vu la teneur de tes sms, et le fait que tu ne m'est même pas prévenu que tu étais bien rentrée.
Les yeux de Lou s’arrondirent alors et elle demanda inquiète
- Je vous ai envoyé des sms comment Maitre ?
- Tu ne t'en souviens même pas... dit il mi amusé, mi réprobateur, en lui caressant le visage. Oh ma petite Lou mais qu'est ce que t'a bricolé pour avoir la gueule de bois à ce point là et ne même pas te souvenir de toute ta soirée ? Pfff... Tu commences mal l'année...
- J'ai pas fait exprès d'abord, c'était pas prévu au programme.
- Encore heureux.
Elle fronce les sourcils bougon, et croise les bras boudeuse.
- Ah non jeune fille tu n'a pas le droit de faire la tête. Et sache pour ta gouverne qu'avec tes âneries tu viens de gagner ta première fessée punitive de l'année !Et tu peux me croire sur parole que tu vas t'en souvenir...
Son ventre fait des loopings entre peur et plaisir comme à l'annonce de chaque punition.
- Oh Maitre...
Il lui coupe la parole.
- Stop Lou je ne veux rien entendre, c'est non négociable. Mais vu ton état, ce ne sera pas pour aujourd'hui. A la place, même si tu ne le mérites pas vraiment, je vais m'occuper de toi et t'aider à traverser cette horrible gueule de bois ma petite luciole.
Le cœur de Lou se serre alors, il est si gentil avec elle. Toujours juste, tendre, attentionné. Elle à tellement d'admiration pour lui. Elle se demande même parfois comment il fait pour supporter la grande gamine qu'elle est...
- Je suis désolée... Tu dois en avoir marre de moi... dit elle le regard triste.
Il sait qu'elle se sent coupable et il ne supporte pas de la voir triste, alors tendrement il la rassure.
- Ma petite Lou, je t'aime comme tu es. Et pour tes bêtises je sais comment te remettre dans le droit chemin. Arrête de te torturer l'esprit, tu es ma soumise, et mon petit bout de femme, je ne compte pas t'abandonner, je t'aime, d'accord ?
- D'accord.. dit-elle d'une toute petite voix, presque enfantine. Moi aussi je t'aime.
Alors il pose un baiser délicat sur ces lèvres.
Puis l'entraine vers la douche pour lui donner son bain. Il la dorlotera ainsi tout le reste de la journée, en lui préparant des bon petits plats pas trop lourd à digérer, en la câlinant dans ses bras devant un bon film, en lui apportant du doliprane pour la migraine. En se comportant comme un gentleman pour sa petite princesse. Dans leur bulle d'amour qu'elle affectionne tant...
Quelques jours plus tard, un après midi de janvier, alors qu'elle travaille tranquillement dans le cadre de ses études et tente de terminer des dossiers à rendre. Il vient se glisser dans son dos, et pose tendrement mais fermement ses mains sur ses épaules.
- Ma luciole...
- Hmmm... répond t'-elle trop concentrée pour répondre.
- Ma soumise, je te parles.
- Je t'écoutes mais je travailles..
- Et bien je te demande de t'interrompre quelques instant il faut que je te parle.
Comme elle sait qu'il ne la lâchera pas tant qu'elle ne l'aura pas écouté elle se retourne excédée.
- Quoi ?!
- Dis donc ma soumise tu va descendre d'un ton immédiatement, c'est pas le moment pour allonger la liste de tes bêtises.
Son ton est ferme et dur, il ne joue plus, alors et elle se tait et attend patiemment qu'il daigne exposer la suite de son propos. Et bizarrement elle sent cette petit chaleur au creux du ventre qui ne présage rien de bon pour son matricule.
- Comme tu le sais, tu t'es comportée comme une gamine irresponsable le soir du nouvel an et je t'ai promis une fessée, maintenant que tu vas mieux, il est temps de mettre en application la sanction prononcée. Donc ma question est: tu en as encore pour combien de temps de travail ?
- Je sais pas une demie heure, une heure.
- D'accord il est 15h02, je t'attend donc dans la chambre à 16h05 dernier délai pour la punition.
- Oh Maitre, je vais avoir du mal à travailler en sachant la punition qui m'attend.
- Ce n'est pas mon problème ma soumise, et ça te fera du bien de réfléchir un peu à tes actes.
- Oh Maitre...
- Bon Lou ça suffit, tu finis de travailler.
Il s'apprête à partir, quand elle réplique à nouveau.
- Mais s'il vous plait, c'est pas juste...
Il fait volte face l'air contrariée, et elle se mue dans un silence immédiat.
- Lève toi immédiatement !
Ça y'est il est faché... comment se débrouille t'-elle pour toujours empirer la situation? Histoire de pas accentuer à nouveau son courroux, elle ne se fait pas prier pour obéir.
- Penche toi sur la chaise.
Elle se penche presque tremblante.
Il lui soulèvre alors sa jupe de coton bleu à volant, et la coince dans l'élastique de celle-ci. Il saisi alors la règle en bois sur le bureau, et lui assène dix coups très appuyés. Elle ne moufte pas, comme paralysée.
- Maintenant écoute moi bien Lou parce que je ne te le dirais pas deux fois. Tu as dépassé les bornes, et je t'ai prévenu que tu serais punie. Ce n'est pas toi qui fixe les règles ici, c'est moi, pour ton bien être. Règles que tu as acceptées librement. Et tu m'a donné carte blanche en ce qui concerne ton comportement. Maintenant je ne veux plus entendre le moindre mot, tu travailles et tu obéis. Est ce que je suis clair ?
Elle deteste qui lui parle comme ça, et en même temps ça la trouble tellement. Son discours lui à fait l'effet d'une gifle. Son propos lui à fait l'effet d'une douche froide. Elle sent son coeur se gonfler de larmes, elle deteste le décevoir.
- Oui Maitre c'est clair.
Tout en acquiesçant son regard croise le sien, la profondeur de son regard si autoritaire à cet instant la brule presque, elle baisse les yeux et se remet silencieusement à son ouvrage.
Elle à beaucoup de mal à se concentrer mais prend sur elle; car elle n'a aucun doute sur le fait qu'il sera intransigeant si elle est en retard. Mais son esprit s'égare malgré elle... Son ventre se tord, ses mains deviennent moites, son entrejambe s'humidifie... Elle tente d'imaginer qu'elle sera sa punition mais il est si imprévisible... C'est elle qui lui à demandé d'être intransigeant sur son éducation... Et par amour pour elle, il s'y applique assidûment. Parfois elle tente de le supplier, mais il ne cède jamais... Il sait qu'elle à besoin de s'abandonner totalement pour son équilibre... Que c'est sa façon à elle de ne pas être rongée par la culpabilité et de s'améliorer, que ça l'aide vraiment, et que c'est presque un besoin vital pour elle...
Elle finit tant bien que mal son devoir, en tentant d’accélérer le mouvement car le temps file plus vite que ce qu'elle espérais. Elle enregistre son écrit, et se dirige rapidement vers la chambre elle est en retard. Quand elle pousse la porte, il est assis dans le fauteuil en cuir près de la fenêtre, et ne lève même pas le regard sur elle. Elle sait ce qu'il attend d'elle comme chaque fois qu'elle punie, contrairement au BDSM qu'ils pratiquent tout deux de manière érotique. Alors elle ôte tremblante son petit corsage blanc qu'elle pose délicatement sur un coin du lit. Puis retire son soutient gorge. Elle fait glisser sa jupe sans se retourner. Elle sait qu'il la regarde, mais tente d'ignorer ses yeux qui lui donne l'impression que sa peau s'embrase quand ils se posent sur elle. Puis elle retire enfin ses petites ballerines. Elle attend là debout face au lit, mains sur la tête avec pour seul atour sa petite culotte en dentelle rouge, qui laisse apparaitre le bas de ses fesses naissantes.
Elle attend... Elle sait qu'il fait exprès de la laisser mijoter, mais qu'il ne faut surtout pas qu'elle montre son impatience d'attendre ainsi bêtement, il prendrais ça pour de l'effronterie et il déteste l'entendre souffler ou la voir gigoter quand elle est punie. Tout à coup il se lève et vient se glisser dans son dos, son corps est alors parcourue d'un frisson. La punition va débuter elle le sait, elle ne fait plus la fière et se mord une lèvre inquiète.
- Tu à 4 minutes de retard ma soumise .
- Oui Maitre.
- Chacune d'entre elle te vaudra 3 coups de canne....
Elle fait le calcule rapidement dans sa tête.. 12 coups pour 4 malheureuses minutes.
- Mais Maitre 12 coups pour 4 minutes... Je travaillais, c'est pas de ma...
Des claques très sèches s’abattent alors sur ses fesses, en même temps qu'il lui intime de se taire. Il cale sa main sur son ventre pour la retenir, et frappe fermement son derrière... Elle deteste qu'il la fesse debout... Mais elle sait que pour le coup elle n'a aucun pouvoir de décision. Il continue ainsi pendant deux, trois minutes. Son derrière chauffe, les claques son sèches, elle sent que la punition va être sévère... très sévère...
Il s'arrête, la contourne et s'asseoit face à elle sur le lit.
- Regarde moi.
Il sait que c'est très dur pour elle de le regarder quand elle est punie. Elle essaye de faire un effort pour lui mais chaque fois elle ne peux s'empêcher de baisser les yeux morte de honte.
- Lou regarde moi immédiatement.
Elle se mord la lèvre et soutient son regard tant bien que mal, tout en tournicotant son pied droit, qui s'arrête aussitôt de s'agiter après qu'il lui est assené une claque sèche sur la cuisse.
- Je ne suis pas content ma soumise. Au nouvel an tu as vraiment trop bu, en laissant tes amis t'influencer, en prenant le risque de ne plus rien contrôler. Est ce que tu réalises qu'il aurait pu t'arriver n'importe quoi ? Qu'on aurait pu abuser de toi de milles et une manière ?
- C'est mes amis proches....
Une claque sèche s'abbat à nouveau sur sa cuisse, laissant apparaitre la marque des doigts.
- Je ne veux pas le savoir Lou. Ajoute t'il en s'enervant légèrement. Tu ne te souviens même pas de toute ta soirée. Et tu as pensé un peu à moi ? Je me suis inquiété de pas recevoir de message pour me dire que tu étais bien rentrée !
La lèvre de sa bien aimée se met alors à trembler, lui qui pense toujours à elle, et elle n'est même pas capable de lui envoyer un petit message pour le rassurer... Elle s'en veut terriblement.Ses yeux s'emplissent alors de larmes qu'elle tente de retenir.
- Regarde moi.
Elle lève à nouveau le regard vers lui.
- Je ne veux pas que tu te mettes en danger, ni te rende malade comme ça. Plus jamais. Et tu vas être punie pour toutes ces raison là. Est-ce que c'est bien clair ?
- Oui ... Oui ... Maitre. Dit-elle de manière à peine audible la voix chevrotante.
- Je vais donc abaisser ta petite culotte et commencer par te donner la canne pour ton retard.
Elle plonge son regard dans le sien, il sait que son corps fait des loopings quand il l'oblige à la regarder droit dans les yeux, tandis qui lui descend sa culotte. Elle ne failli pas, et ne veux pas le decevoir une fois de plus. Il en profite pour passer un doigt dans son entrecuisse. Elle est trempée...
Il se relève alors et saisi deux petites pinces sur le bureau. Le visage de Lou s'assombrit... Les pinces ça fait mal... Délicatement il les pose l'une après l'autre sur chacun de ses tétons. Tout en crispant ses mains dans son dos, Lou se tortille d'une jambe sur l'autre. Mais son Maitre adoré ne dis rien sur son agitation, il sait à quel point c'est douloureux pour elle, et une véritable punition. Il lui attrape alors le visage entre les mains et lui chuchote:
- Tu vas résister pour moi ma soumise, parce que je te le demande. Parce que c'est ta punition, d'accord ?
- D'accord, dit-elle en s'efforçant de respirer calmement.
- Allez penche toi sur le lit.
Lou se penche alors doucement sur le lit, en posant ses mains bien à plat. La douleur de la pose des pinces est entrain de passer mais elle sait que le plus dur sera de les enlever. Elle entend la canne fouetter l'air. Ses petites fesses se resserrent alors l'une contre l'autre le plus discrètement possible.
- Écarte les cuisses.
Elle les écartes légèrement.
- Encore.
Elle écarte un peu plus. Un coup de canne s'abat alors.
- Mieux que ça...
Elle ouvre alors en grand, tentant d'oublier qu'il voit toute son intimité et en refrénant son envie de se frotter les fesses.Un silence s'installe alors, elle attend que le premier des 12 coups tombe. Elle sent la canne qui caresse ses fesses dans un va et vient très doux. Il la fait rouler lentement sur son derrière rebondi. Cette attente est insoutenable. La canne se lève, et dans un sifflement vient abattre au beau milieu de sa fesses droite. Elle ne peut s’empêcher de couiner. Le coup est fort. Un deuxième vient rapidement rejoindre le premier mais sur l'autre fesse cette fois-ci. Les coups s'enchainent ainsi, il n'y va pas de main morte. De temps à autre il caresse délicatement sa peau meurtri pour atténuer un peu la douleur du coup avant de reprendre la punition. Au 7ème coup , elle commence à se dandiner. Au 9ème elle commence à supplier...
- Maitre je vous en prie... pardon...
- Ma soumise je ne veux pas t'entendre, dit il tendrement en passant une main sur le bas de son dos. Tu es punie et je serais intransigeant.
Il abat alors le 10ème et le 11ème coup sans lui laisser le temps de souffler. Elle sautille. Elle sent les zébrures sur ses fesses. Ça la brûle terriblement. Heureusement sa main à lui vient apaiser le coup. Elle attend le dernier coup, et s'écroule enfin sur le lit. Quand tout à coup une douleur fulgurante lui traverse les seins... Elle avait oublié les pinces. Elle se relève alors précipitamment... Il la prend par les épaules et la tourne face à lui. Et lui ôte les pinces une à une. Elle crie une demie seconde pour chacune d'entre elle comme si elle venait de se prendre un coup. Il passe alors sa langue sur chacun de ses tétons pour soulager la douleur.
Il place ensuite quelques coussins sur le lit. Lui bande les yeux, et l'allonge ainsi. Elle entend alors qu'il dégraffe sa ceinture. Le bruit de la boucle et du cuir, la trouble terriblement. Elle à peur, mais ne dit mot. Puis la ceinture commence à tomber de manière rythmée sur ses lunes rosées, zébrées et toutes rebondies. Il adorerais pouvoir croquer dedans mais il faut qu'il se concentre sur sa punition. Alors tout en fouettant sévèrement ses fesses avec la ceinture pliée en deux, il prend son ton le plus sévère:
- Je veux que cette punition se grave à jamais dans ta mémoire ma soumise et je ne veux plus jamais que tu te mette dans un état comme ça.
- Oui Maitre dit elle le cœur gros.
Ses jambes s'agitent, elle tente de rester immobile. Mais le cuir lui mord les fesses. Ses fesses la brûle de plus en plus. Elle comment à couiner et à envie de pleurer.
- Tu es punie comme une gamine, une petite fille.
- Je suis pas une... gamine... dit elle au bord des larmes.
- Si tu en es une... Parce que je suis obligée de te donner la fessée déculottée pour t'éduquer.
Et de te faire rougir les fesses pour te faire obéir...
C'en est trop , la honte qui l'envahie à raison d'elle, elle éclate alors en sanglots le plus discrètement possible. Le visage de son bien aimé s'assombrit, il n'aime pas la faire pleurer mais il sait que c'est la seule manière de marquer son esprit et pour elle de s'abandonner. Il lui donne encore une dizaine de coups bien appliqués, puis la relève. Il lui dénoue le bandeau et en profite pour l'embrasser sur le front. Elle à les yeux embuées de larmes qu'elle tente de dissimuler tant bien que mal.
- Est ce que c'est compris ma Lou d'amour ?
- Oui Maitre adoré.. c'est .. c'est ... compris.
- Bien alors comme à chaque fois je vais terminer par une fessée. Et cette fois-ci à la main et à la brosse. Et ça ne sert à rien de geindre.. préfère t-il prévenir.
Alors il l'allonge délicatement sur ses genoux et commence par une fessée à la main. Elle se laisse faire comme une poupée de chiffon, morte de honte, de se retrouver ainsi sur ses genoux. Elle sait de toute façon qu'il ne cessera pas la fessée et qu'elle n’a pas d'autres choix que d’obéir. Ses fesses sont à présent douloureuses, chaque claque devient difficile à encaisser. Elle ne peut s’empêcher de se tortiller, mais il la maintient ferment. Au bout de quelques minutes il se saisit de la brosse, et frappe sévèrement. Elle tente de se soustraire, alors il bloque ses jambes batifolantes entre les siennes, et lui bloque sa main au creux du dos. Ainsi maintenue et fessée, Lou se sent impuissante et à sa merci, alors elle éclate en sanglots, sans aucune retenue cette fois-ci... Le haut de son corps est pris de soubresaut qui trahissent ses larmes et sa repentance. Elle souffle à plusieurs reprises d'une toute petite voix, tout en pleurant à gros sanglots...
- Pardon... Pardon ... Maitre... j'ai compris... je vous demande pardon... Je me mettrais plus jamais en danger comme ça.... pardonnnnnnn....
Les trois derniers coups tombent lentement et la punition s'achève enfin. Il lui laisse le temps de reprendre ses esprits. Puis la relève délicatement comme une poupée de cristal et la blottit sur ses genoux tout en glissant une main sous ses fesses embrasées et en l'entourant de l'autre.
- Je te pardonnes ma soumise adorée, je sais que la leçon est comprise.
- Oui promis, pardon ... Je ... Je...
Ses larmes l'empêche de parler.
Alors il la serre contre lui.
- Là là ma Luciole, c'est fini, c'est fini...
Une fois qu'elle est un peu calmée.. Il la glisse sous les draps et vient la rejoindre pour d'autres ébats plus intimes. Il jouiront ensemble avec une intensité de plaisir inégalée. Puis elle se serrera tout contre lui, protégée et apaisée. Elle embrasse alors le creux de sa main qu'elle recouvrira de milliers de petits baiser tout en lui chuchotant un tendre merci. Puis ils resteront là nus, et amoureux dans un tendre câlin, en se chuchotant des mots doux.
Eh bien tu commences bien l'année.
RépondreSupprimerSuper récit continue comme ça.
Ajenky
Merci du compliment. Ravie qu'il te plaise. Heureusement que je ne suis pas Lou, sinon je crois que j'aurais très mal aux fesses :D
SupprimerMême si j'envie la fessée finale !
Amitiés ,
Lee.
Ahhh ce surnom c'est fou ce qu'il évoque en moi. Ah oui, j'ai le même :)
RépondreSupprimerBonne année Lee
Ben figures toi que le titre m'a été soufflé par quelqu'un que j'affectionne particulièrement. Alors du coup il fallait bien que ce petit surnom tout mignon réapparaisse dans le texte, et je trouvais que cela correspondais bien à la Lou de mon imagination, à ma petite "alcoolique anonyme", rires. Maintenant que tu le dis, c'est vrai que je l'ai lu dans tes textes qui chaque fois me transporte. Ils ont très intenses et j'adore te lire.
SupprimerBonne année petite Luciole,
Amitiés,
Lee.
Super texte et j'avoue avoir eu un choc en lisant que Lou bourrée avait envoyé des sms à son Maître et qu'elle ne s'en souvenait plus...
RépondreSupprimerIl m'est arrivé cela il y a une semaine et demi...Mon Maître était content de me découvrir en mode "lâcher prise" car il ne m'avait jamais "lu" comme ça...Paraît que le nombre de fautes d'orthographe PAR mot était assez impressionnant...Rire...Mais pas content de me savoir dans cet état-là...Du coup, la sanction était plutôt redoutable...D'autres instruments, mais tout aussi intense je pense...Mais à part ça, c'est un plaisir à lire...vraiment !