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lundi 17 mars 2014

La belle et la bête (4)


La belle et la bête






Notes: Voilà enfin le chapitre 4 ! 
Bonne lecture ! 
Pour les retardataires le chapitre 1 est ici !

Et promis j'ai fait des gros efforts sur l'orthographe.
Deuxième promesse, d'ici quelques chapitres les fessées vont varier et devenir plus sévères !


**********



Chapitre 4: Feinte docilité.

Narrateur: Monsieur



SAMEDI 4 JUILLET (dans la matinée)

Je l’attendais dans le bureau-bibliothèque persuadé qu’elle était partie. Et qu’elle ne fût pas ma surprise quand je la vit arriver dans une jupe noire, avec un chemisier rouge. Une tresse dans les cheveux signée Anna.

-          Vous êtes en retard jeune fille…
-         
-          Vous n’avez rien à me dire ?
-          Je suis désolée pour mon retard ; Dit-elle maladroitement.
-          Je suis désolée pour mon retard Monsieur.
-         
-          Répétez !
-          Je suis désolée pour mon retard Monsieur.
-          Bien !

Je lui fis signe de s’asseoir sur la petite table que je lui avais réservée.

-          Nous allons commencer par un questionnaire général. Cela me permettra de connaitre vos connaissances, en français, en math, en histoire géo, et en anglais.  Vous avez deux heures.

Elle ne pipa mot et se mit soigneusement au travail. Elle ne tiqua même pas sur le fait que je la faisais écrire avec une plume et un encrier, comme l’école d’autrefois où les garçons et les filles étaient séparés.



 (Plume et encre comme autrefois)



Pendant deux heures elle travailla sagement et j’eus tout le loisir de l’observer. Elle était vraiment ravissante. Et il était agréable de la voir se mettre à la tâche. J’étais toutefois étonné qu’elle ne soit pas partie. Avait-elle eu peur réellement que je la rattrape ? Avait elle eu peur de se perdre dans la forêt environnante ? Je me demandais ce qui l'avait retenue au point d’être tout à coup si sage ? Et si c’était une manœuvre pour mieux s’enfuir ensuite ? Fallait-il que je sévisse à nouveau ? Je l’avais pourtant prévenue hier que toute tentative de fuite serait très sévèrement punie… Pendant que j’étais assis et réfléchissais au fait qu’elle soit restée, elle vînt face à moi, devant le bureau et me tendit sa copie.

-          Vous avez fini Kyara ?
-          Oui.
-          Oui Monsieur ! Kyara, c’est la dernière fois que je vous reprends à ne pas dire Monsieur. Chaque fois que vous oublierez, vous serez  punie à ma façon est ce que c’est clair ?
-          Oui Monsieur. Dit-elle en baissant les yeux. Je vis un frisson lui parcourir l’épaule.
-          Parlons maintenant de votre attitude de tout à l’heure, de votre escalade de ce matin. Vous  souvenez-vous  de ce que je vous avais dit hier soir si vous tentiez de fuir ?
-         
-          Kyara ?!
-          Oui je me souviens.
-          Vous avez  encore oublié Monsieur dans votre phrase. Vous serez punie pour cela aussi. Mais vous  souvenez-vous de la sanction que vous risquiez en cas de tentative de fuite ?
-          Une…
-          Oui ?
-          Une… Des larmes se mirent à couler sur son visage en silence.
-          Je vais vous aider. Une fessée magistrale que je devrais vous administrer immédiatement... Comme cependant vous êtes revenue à la raison jeune fille, par vous-même et que contrairement à ce que vous pourriez penser je ne suis pas un bourreau, vous évitez de justesse le martinet.
-          Le…le…. le… ma…ma… martinet… ? dit-elle penaude, bégayante, le regard horrifié.
-          Oui à la place vous recevrez une simple fessée, sur mes genoux.
-          Non… je … Elle se mit à trembler.

Je me levais, m’assis dans le canapé près de la cheminée, et lui fit signe d’approcher. Mais elle avait reculée, jusqu’à se retrouver dos à la bibliothèque.
-          Kyara voulez vous que je prenne le martinet… ?
-          Non pitié… je … pitié… elle tomba à genoux en sanglotant.
-          Alors venez ici,  approchez. Dis-je avec douceur.



(Kyara me suppliant à genoux)



Voyant qu’elle ne bougeait pas, je me levai, la ramassa délicatement telle une petite plume. Elle se laissa faire comme une poupée de chiffon tout en secouant la tête de gauche à droite.
Je la couchais en travers de mes genoux tendrement pour ne pas la brusquée, je voyais bien quelle faisait des efforts.

Je lissais sa jupe et lui assenais une claque. Elle sursauta mais ne bougea pas. Une deuxième, même frémissement. Puis je me mis  à claquer avec régularité mais à force modérée. Elle acceptait la punition assez vite, je ne voulais donc pas la braquer mais il fallait qu’elle commence à comprendre.  Je levais sa jupe, et continuais ma volée. Je voyais ses jambes commencées à se tortiller, le plus légèrement possible; son petit cul vibrait à chaque impact ; elle essayait de maîtriser la douleur le plus possible, en se retenant de bouger. Je m’arrêtais et frottait légèrement ses fesses, ce qui la fit couiner.

-          Kyara… savez-vous pourquoi vous êtes punie ?
-         
CLAC !
-          Kyara je vous parle, vous me répondez.
-          Oui
-          CLAC !
-          Oui Monsieur. Assenais-je.
-          Oui Monsieur… souffla t’elle en murmurant…
-          Savez pourquoi vous êtes punie jeune fille ?
-          Parce que… je … je me suis enfuie ?
-          Oui et parce que vous oubliez de…
-          … Je… De… Je ne sais pas…
-          De dire Monsieur.
CLAC !
-          Savez-vous comment se donne une vraie fessée Kyara ?
-         
CLAC !
-          Kyara !
-          Non…
-          Une fessée se donne déculottée. Je vais donc descendre votre petite culotte le long de vos cuisses, et ma main va venir s’abattre sur vos  jolies fesses rebondies, jusqu’à ce qu’elles finissent de rougir et que vous me promettiez de ne plus jamais recommencer jeune fille !
-          Non non… trembla t’elle.
Elle glissa ses mains sur ses fesses que j’entravais aussitôt. Elle se mit à pleurer. Je lui caressais les cheveux.
-          Calme-toi Kyara… Dis-je avec douceur.
-           …
-          Une simple fessée à la hauteur de ce que tu mérites, ni plus, ni moins.

J’ajoutais le geste à ma parole. Son rond fessier rebondi venait d'apparaître, quel merveille, pour mes yeux !


(Je déculottais son fessier rebondi)



Elle se mit à battre des jambes que je bloquais aussitôt entre les miennes.
Ses deux bras dans ma main gauche. Ma droite caressa ses magnifiques dunes rosies, où l’on pouvait voir encore les traces de la fessée de la veille... Je me mis à fesser doucement. Elle pleurait en silence. Se tortillait sans se débattre.

-          Pardon Monsieur… pardon….

Je lui donnais encore une dizaine de claques et m’arrêtais. J’avais été clément.

-          Maintenant tu vas aller au coin, les mains sur la tête, culotte baissée aux chevilles, jupe relevée et fesses nues, pour réfléchir à ta punition. Si tu le fait sagement je te laisserais allez déjeuner sans autres sanctions. Et tout sera oublié.
-           …
-          Est-ce que c’est bien compris ?
-          Oui Monsieur.

Elle se releva avec douceur, cachant son joli minois dans ses cheveux et se plaça docilement dans le coin. La culotte aux chevilles. Sa jupe était retombée sur ses rondes fesses. Je me glissais donc derrière elle, releva  avec douceur sa jupe, la coinçant au niveau de la taille. Elle pleurait, je glissais une main dans ses cheveux avec tendresse. Ma chipie avait l’air métamorphosée. Mais je n’étais pas dupe et savait que cela n’allais pas durer. J’étais même embêté. Si la seule raison qui la faisait rester était de craindre mes sanctions ou ma personne, c'est que j'avais fait une erreur quelque part… Je la laissais là une dizaine de minutes.

Je l’autorisai à se rhabiller et à me suivre dans la salle à manger. J’aurais pu la punir plus et lui demander des excuses à genoux, mais elle n’était pas prête. Nous montâmes dans la salle du déjeuner, un excellent saumon au riz blanc nous attendait sur la terrasse. Nous mangeâmes en silence elle n’osait me regarder.



(A suivre...)


9 commentaires:

  1. Petit avis personnel : le narrateur, le Monsieur de Kyara, ne devrait pas avancer et reculer dans sa relation avec elle; c'est lui l'autorité, c'est lui le meneur, c'est lui qui va aider Kyara à décrocher le bac, et même si elle se rebelle, le narrateur ne doit pas avoir peur de la perdre en la soumettant à une sévère discipline.

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    1. Ne vous inquiétez pas, ce ne sont que des réflexions personnelles, je suis sûre qu'il sera gardé son autorité... Et même si je sais que certains lecteurs n'apprécieront pas forcément j'aime exposer les tergiversions de chacun... Souvent le Monsieur est présenté dans ce genre de relations et de "jeux" comme un homme intransigeant et sure de lui... Mais j'aime coller à une certaine réalité qui fait que lui peut également être en proie à des doutes sur ce qu'il impose à sa chipie... Je trouve que sa rend plus réelle l'histoire... Mais ce n'est que mon point de vu. Après sa ne veut pas dire qu'il cédera...surprise ! Simplement sa le rend plus humain... Pour moi en tout cas.

      Merci en tout cas pour ce commentaire,
      Dommage que vous postiez en anonyme ;)

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    2. et moi qui était sûr d'avoir signé ce précédent commentaire...
      Steorfan

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    3. sa mériterais une fessée :p

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    4. Et pourquoi pas, petite Lee !
      Steorfan

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    5. Pour vous hein pas pour moi ? Mais c'est pas moi qui vous la donnerais... Vu mon inexpérience de dominante :)

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  2. "Et promis j'ai fais (FAIT) des gros efforts sur l'orthographe.
    Deuxième promesse, d'ici quelques chapitres les fessées vont variées (VARIER) et devenir plus sévères !"

    Et oui!

    Steorfan

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    1. Hé hé... Dès les deux premières phrases... deux fautes... Ok j'ai du pain sur la planche en matière d'orthographe :) Je vais corriger cela de suite !

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  3. Il vaudrait mieux...

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